variations chromatiques d'un journée

Passez au monde de ton visage prit en amour
L’hébétude des généalogies

O l’ordre, la sainteté

Le revers de ton cœur
Et les variations chromatiques de Bizet

Aujourd’hui, la rue monochrome entre le chemin de guet
Et la caserne de l’enfance

(Le dealer sur la place dans son quart d’heure de gloire)

Le crâne rasé de la beauté
L’art –nouveau ?- d’être vulgaire
Renier le monde dans les yeux
Renier le monde dans tes yeux
Tranquilles, fiévreux dans leurs orbites

Un clown transformiste s’effondre devant une pulsion endocrine
On rêve on devient contre les rituels du jour

Une tour posée dans ma tête

La prison
Ma prison
La jouissance a débordé de mon verre

A vif, c'est assez inégal. De la musique,

"Aujourd’hui, la rue monochrome entre le chemin de guet
Et la caserne de l’enfance"...

Parallèlement, certains vers

"Renier le monde dans les yeux
Renier le monde dans tes yeux
Tranquilles, fiévreux dans leurs orbites"

sont peut-être plus faciles.

J'ai globalement apprécié.

Z, panoramique.

J'ai ressenti en lisant ton texte comme des détours :
- les détours des yeux
- les détours de la mémoire
- les détours ce qu'il n'y a pas
- les détours de qui doit se taire.

"Renier le monde dans les yeux
Renier le monde dans tes yeux "

Passage très fort

Un plaisir ...
Celui de t'avoir lu !

Sylvie

Clic sur le Mur à Dédé.
Tiens, un texte de Marc.
Tiens, très peu commenté.
Tiens je le remonte.

Nilo, et UP !