Derniers sujets
Statistiques
Nous avons 448 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est Marine8316
Nos membres ont posté un total de 56714 messages dans 10705 sujets
la vindicte du rêve
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
la vindicte du rêve
Aux environ 1H.
Sans que cela se dise depuis lui !
J'opère bien plus bas, je sais y respirer. Vocation d'un monde !
(je ne sais pas me faire a ce silence d'un opus qui serait posthume et ferait honte)
sans silence donc
un rôle plus féminin, l'esprit avec souplesse. On ne regrette rien de ses vertiges.
Je sourie tendrement a mon amant. Son âme est tremblante, dans un corps parfait
ses mains sont ardentes, d'une telle fragilité
d'autres avec des mots plus durs, des marches forcées !
Comme on se réveille, on sort, on a peut-être redouter de respirer !
Je cracherai sur lui des serpents et des joyaux !
Mon grand silence, celui du corps !
Il souriait. J'avais l'impression que son esprit hoquetait sans cesse. Je l'appelle l'homme orchestre.
Après, après tout ce qui était à faire
mon corps retourne à la rue non loin de la cathédrale.
Et nous sommes aujourd'hui, a dire, a se redire tout cela
comme c'est aimer !
« as-tu du temps ? »
« j'ai tout le temps »
sans avenir, même proche
...
« oui lui dis-je j'ai tout mon temps »
l’obscurité, son corps endormis
tout, la vindicte du rêve !
Sans que cela se dise depuis lui !
J'opère bien plus bas, je sais y respirer. Vocation d'un monde !
(je ne sais pas me faire a ce silence d'un opus qui serait posthume et ferait honte)
sans silence donc
un rôle plus féminin, l'esprit avec souplesse. On ne regrette rien de ses vertiges.
Je sourie tendrement a mon amant. Son âme est tremblante, dans un corps parfait
ses mains sont ardentes, d'une telle fragilité
d'autres avec des mots plus durs, des marches forcées !
Comme on se réveille, on sort, on a peut-être redouter de respirer !
Je cracherai sur lui des serpents et des joyaux !
Mon grand silence, celui du corps !
Il souriait. J'avais l'impression que son esprit hoquetait sans cesse. Je l'appelle l'homme orchestre.
Après, après tout ce qui était à faire
mon corps retourne à la rue non loin de la cathédrale.
Et nous sommes aujourd'hui, a dire, a se redire tout cela
comme c'est aimer !
« as-tu du temps ? »
« j'ai tout le temps »
sans avenir, même proche
...
« oui lui dis-je j'ai tout mon temps »
l’obscurité, son corps endormis
tout, la vindicte du rêve !
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
Aujourd'hui à 8:26 par Io Kanaan
» Quartefeuille de mars
Hier à 8:45 par Io Kanaan
» Poisson qui danse
Mar 26 Mar - 8:24 par Io Kanaan
» C'est la guerre
Mar 26 Mar - 7:18 par Dimitryet
» Oiseau bavard
Lun 25 Mar - 9:15 par Io Kanaan
» Rongeur vert
Dim 24 Mar - 8:45 par Io Kanaan
» Coups de plume
Sam 23 Mar - 7:58 par Io Kanaan
» Planète amorphe
Ven 22 Mar - 8:24 par Io Kanaan
» Les animaux des fables
Jeu 21 Mar - 7:44 par Io Kanaan