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Le silence où me met ton départ
+2
eznogood
Nilo
6 participants
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
Le silence où me met ton départ
Le silence où me met ton départ
Tu dessinais la vie du fin trait d'un crayon
Que ta foi dans les hommes affûtait aux arcanes
Des nobles sentiments que tu avais pour eux,
Allant de l'un à l'autre, en arbitre d'un jeu
Dont tu savais les règles ignorées des profanes,
Enflammés trop souvent du feu des contritions.
Quand d'un coup de compas, arrondissant les angles,
Tu mettais ton savoir au service des autres,
Dispensant à l'envi, au creux d'un monde plat,
Ton amour de l'humain, à l'abri des éclats
Tu redressais le cœur de tous ceux qui se vautrent
Aux troubles vérités que le mensonge étrangle.
Traçant l'humilité du droit de ton équerre
Tu rendais au centuple ce qu'on t'avait prêté,
Et sans qu'on te demande, apportant ton soutien
Tu savais retrouver dans le regard des chiens
Les couleurs de l'amour et les mots de la Paix
Quand tant autour de toi ne savaient que se taire.
Tes grands éclats de rire, éclairant ton regard,
Résonnaient clairement à l'entour de la table
Où souvent tu conviais tes amis, tes parents,
A partager le pain autour du feu ardent
De tes mots d'amitié que maintenant le sable
Va couvrir du silence où me met ton départ.
Nilo.
Tu dessinais la vie du fin trait d'un crayon
Que ta foi dans les hommes affûtait aux arcanes
Des nobles sentiments que tu avais pour eux,
Allant de l'un à l'autre, en arbitre d'un jeu
Dont tu savais les règles ignorées des profanes,
Enflammés trop souvent du feu des contritions.
Quand d'un coup de compas, arrondissant les angles,
Tu mettais ton savoir au service des autres,
Dispensant à l'envi, au creux d'un monde plat,
Ton amour de l'humain, à l'abri des éclats
Tu redressais le cœur de tous ceux qui se vautrent
Aux troubles vérités que le mensonge étrangle.
Traçant l'humilité du droit de ton équerre
Tu rendais au centuple ce qu'on t'avait prêté,
Et sans qu'on te demande, apportant ton soutien
Tu savais retrouver dans le regard des chiens
Les couleurs de l'amour et les mots de la Paix
Quand tant autour de toi ne savaient que se taire.
Tes grands éclats de rire, éclairant ton regard,
Résonnaient clairement à l'entour de la table
Où souvent tu conviais tes amis, tes parents,
A partager le pain autour du feu ardent
De tes mots d'amitié que maintenant le sable
Va couvrir du silence où me met ton départ.
Nilo.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Le silence où me met ton départ
correspondance...
alarmée de l'ennui
une étoile
qui s'en tenait là
poitrine de mai
en un lointain choisi
une étoile
du bout des lèvres
à se débrouiller avec le dehors
trop enfuie
trop en nuit
pour partir en beauté
et tellement à dire qui se sont tus
à ta la langue de l'affront
et du double silence
B...ez
alarmée de l'ennui
une étoile
qui s'en tenait là
poitrine de mai
en un lointain choisi
une étoile
du bout des lèvres
à se débrouiller avec le dehors
trop enfuie
trop en nuit
pour partir en beauté
et tellement à dire qui se sont tus
à ta la langue de l'affront
et du double silence
B...ez
Re: Le silence où me met ton départ
Sans vouloir te vexer, car, à l'évidence, l'intention est louable, voire: aimante, j'ai trouvé le poème pompeux et lourd. Que de grands mots ! La muse a des sabots de plomb.
Formellement, aussi, ça coince.
Tu dessinais la vie du fin trait d'un crayon
L’antéposition de l’adjectif ne me semble pas heureuse d’un point de vue sonore, elle attire inutilement l’oreille, nuit au vers, surjoue le « pouétique ».
Que ta foi dans les hommes affûtait aux arcanes (13, à moins que tu n’élides ?)
Dont tu savais les règles ignorées des profanes,(idem, donc j’imagine que tu élides… et fais donc, comme au dessus, une liaison bien curieuse: les règlignorées?)
Tu redressais le cœur de tous ceux qui se vautrent (« se vautrer à », là, c’est une faute de langue, ça n’a pas de sens.)
Traçant l'humilité du droit de ton équerre (joli)
Tu rendais au centuple ce qu'on t'avait prêté,(13 tjs, etc.)
Quand tant autour de toi ne savaient que se taire (ce cantan arrache l’oreille et tout ces "t" tambourinent aux tympans...)
Tes grands éclats de rire, éclairant ton regard,
Résonnaient clairement à l'entour de la table
(Beaucoup d’allitérations encore, d’autant que « éclairant » et "clairement" sont un peu liés, non ?)
Formellement, aussi, ça coince.
Tu dessinais la vie du fin trait d'un crayon
L’antéposition de l’adjectif ne me semble pas heureuse d’un point de vue sonore, elle attire inutilement l’oreille, nuit au vers, surjoue le « pouétique ».
Que ta foi dans les hommes affûtait aux arcanes (13, à moins que tu n’élides ?)
Dont tu savais les règles ignorées des profanes,(idem, donc j’imagine que tu élides… et fais donc, comme au dessus, une liaison bien curieuse: les règlignorées?)
Tu redressais le cœur de tous ceux qui se vautrent (« se vautrer à », là, c’est une faute de langue, ça n’a pas de sens.)
Traçant l'humilité du droit de ton équerre (joli)
Tu rendais au centuple ce qu'on t'avait prêté,(13 tjs, etc.)
Quand tant autour de toi ne savaient que se taire (ce cantan arrache l’oreille et tout ces "t" tambourinent aux tympans...)
Tes grands éclats de rire, éclairant ton regard,
Résonnaient clairement à l'entour de la table
(Beaucoup d’allitérations encore, d’autant que « éclairant » et "clairement" sont un peu liés, non ?)
vieux-chien- MacaDeb
- Messages : 43
Date d'inscription : 22/01/2012
Re: Le silence où me met ton départ
Désolée mais après tout, même si je suis admin, j'ai le droit de donner mon avis. Il vaut autant que le tien pas plus, Vieux chien. A mon sens, tu n'as rien compris à la poésie mais vraiment rien.
(pour ceux que ça interesse les messages suivant polluant le texte ont été placés dans le flood)
(pour ceux que ça interesse les messages suivant polluant le texte ont été placés dans le flood)
Dernière édition par Lalou le Ven 10 Fév - 10:40, édité 1 fois
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LaLou
Re: Le silence où me met ton départ
Mais qui sont ces serpents qui sifflent sur [ma] tête ?vieux-chien a écrit:
Quand tant autour de toi ne savaient que se taire (ce cantan arrache l’oreille et tout ces "t" tambourinent aux tympans...)
Tes grands éclats de rire, éclairant ton regard,
Résonnaient clairement à l'entour de la table
(Beaucoup d’allitérations encore, d’autant que « éclairant » et "clairement" sont un peu liés, non ?)
Quant à moi j'élide, oui, ça m'arrive et me permets d'éviter les liaisons dangereuses.
Pour le reste je te laisse le loisir d'aimer ou pas. Je pense en tout cas que tu n'as pas compris à qui s'adressaient ces mots. Le message n'est pourtant pas subliminal.
Tu devrais, toi aussi cent fois sur le métier remettre ton ouvrage pour accéder à ces arcanes qui semblent t'échapper..
Nilo, c'est au pied du mur que l'on voit le maçon.
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... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Le silence où me met ton départ
"Bref, ici on considère que toutes les critiques sont bonnes à prendre et
à lire. Même celles qui ne flattent pas suffisamment l'ego de ceux à
qui elles s'adressent.
Nilo, la maison ne fait pas de crédit."
Ah Ah Ah Ah Ah Ah
Ah AhAh Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah
Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah
Ah Ah Ah Ah Ah Ah
Ah Ah
Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah
Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah Ah A
à lire. Même celles qui ne flattent pas suffisamment l'ego de ceux à
qui elles s'adressent.
Nilo, la maison ne fait pas de crédit."
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vieux-chien- MacaDeb
- Messages : 43
Date d'inscription : 22/01/2012
Re: Le silence où me met ton départ
Elle t'a fait crédit trop longtemps et tu en as abusé.
On n'a pas effacé ton ardoise mais désormais la porte restera fermée pour toi.
Nilo, bons comptes et mauvais amis.
On n'a pas effacé ton ardoise mais désormais la porte restera fermée pour toi.
Nilo, bons comptes et mauvais amis.
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... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Le silence où me met ton départ
Bel hommage !
H.
H.
hortense- MacadAccro
- Messages : 832
Date d'inscription : 19/09/2009
Re: Le silence où me met ton départ
Je m'arrête ici et je lis...
Je m'arrête ici et je laisse mon imagination faire le reste...
Je m'arrête ici et j'avoue que j'en ressors avec une certaine admiration.
Je suis contente d'avoir pris le temps de m'arrêter ici.
Je m'arrête ici et je laisse mon imagination faire le reste...
Je m'arrête ici et j'avoue que j'en ressors avec une certaine admiration.
Je suis contente d'avoir pris le temps de m'arrêter ici.
Re: Le silence où me met ton départ
Merci pour lui Sylvie.
Il est parti presque seul, lui qui aimait tant les hommes dans toute leur diversité.
Il me reste un grand vide à chaque fois que j'y pense.
Nilo, au pied du mur.
Il est parti presque seul, lui qui aimait tant les hommes dans toute leur diversité.
Il me reste un grand vide à chaque fois que j'y pense.
Nilo, au pied du mur.
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... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
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