Imbécillité

aaaaaaaah quel accueil !

si tu avais utilisé ton correcteur orthographique, tu te serais aperçu qu'il ne se trompe pas sur le mot imbécilité http://www.rue89.com/2011/11/09/imbecilite-ne-prend-plus-deux-l-compris-226390

Je crois que tu as perdu une bonne occasion de te taire... (J'espère que ce boulet ne te sera pas trop lourd.)

http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=3843714450;

cause toujours

J'attendais au moins une espèce d'excuse... Quand on donne des leçons et qu'elles sont fausses, en général, c'est ce qu'on fait... sous peine d'être taxé "d'imbécillité".

zenobi a écrit:Quand on donne des leçons et qu'elles sont fausses

Encore faudrait-il qu'elles le soient.
Car dans le même article que tu nous proposes il est bien précisé
l'institution précise que l'ancienne orthographe n'est pas fautive

Au demeurant ton agressivité ici n'est pas de mise.
Ce texte est d'une grande qualité et inventivité, ce qui semble t'avoir échappé.
Mais quand on cherche ses raisons de s'opposer dans le Parisien on est certain d'être beaucoup pardonné du peu de sensibilité et de culture qu'on affiche.

Nilo, imbécile heureux.

Je n'ai pas tout compris, Nilo, à ton message, ne sachant trop si la totalité m'est adressée.
Le "commentaire" d'antius n'avait qu'une seule phrase et une seule teneur: le reproche de ne pas savoir orthographier "imbécillité" en me renvoyant à mon correcteur orthographique...
Si ce n'est pas agressif et discourtois (rien sur le texte), faut m'expliquer.

De plus, j'ai correctement orthographié le mot.
La leçon, peu civile, était donc non fondée.

Voilà.

Dites donc, ça donne foutrement envie de fréquenter votre forum !

Effectivement, je me suis emmêlé les pinceaux.
Je te dois donc un mea culpa que je t'adresse bien volontiers.
Quand à la partie de mon commentaire concernant le texte, elle reste d'actualité. Histoire de rendre à César.

Nilo, ça m'apprendra.

Donc, ce qui m'était adressé, c'était...?

J'ai bien aimé lire ce texte... une voix différente pour Macadam !

(les commentaires qui suivent sont surprenants)

Merci.

Ce que j'ai aimé dans ce poème, c'est son originalité.

J'ai toujours eu un faible pour les personnes qui savent manier les mots, les vers et "l'histoire" en se servant d'un +.

Ici, ce +, je l'ai trouvé et je suis contente de t'avoir lu.

Et puis, l'essentiel c'est que l'on garde ses deux ailes à soi...

Il est vrai qu'il se dégage du travail d'un tailleur de pierres en plein ouvrage comme une sorte de musique qui s'exprime tout en nuances puisqu'une expression tout en "forte" n'aurait que pour effet d'éclater la matière noble. C'est d'ailleurs plus significatif dans le travail du bois. Mais j'ai cru déceler dans le texte quelque chose de plus subtil. A la première image succède celle du marteau piqueur qui au premier chef pourrait paraître antagoniste. Et pourtant...On se prendrait au jeu tant la délicatesse qui se rapporterait plutôt au premier sujet rend cet outil au son agressif sympathique. Quel effet des mots sur les maux. Bref ! C'est du bon boulot. Avec tous mes compliments - LOUP.

Je ne comprends pas trop l'engouement. C'est précieux et creux. Des effets de manche et pas grand-chose dedans. La répétition du mot, surexposé dans ses majuscules et guillemets, est lassante. Et puis franchement, 'un gazouillis d'oiseaux sur les épaules d'un saint'... tu te ramollis Nilo ! C'est le genre de prose gnan-gnan, aux antipodes des salves d'un BeBop ou d'un LC, que je m'attendrais plutôt à te voir recaler.

Bref, sans intérêt.

Z.

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