La passerelle

La passerelle


Tu as jeté une passerelle entre nous deux.
Doucement, tu es venu me chercher,
Me dire "Viens, il faut avancer,
Ferme la porte, celle des faux aveux ".

Accompagne-moi, mes pas sont lents,
Mes mots un peu balbutiants.
Tu dis : "Je suis patient,
Mais ne laisse pas filer le temps."

Tu as dressé la table des agapes,
Des passions, des folles nuits.
Je ne suis pas toujours au diapason.
Ne m’en veux pas, je te demande pardon.


H

Leon a écrit: (Vous n'êtes pas dignes que je développe.
Mais vous méritez que je vienne vous embêter.)

Finalement on a bien de la chance de t'avoir, toi qui prends soin de notre santé au point de venir nous taquiner par bonté d'âme.
En fait nous devrions te recevoir comme le Messie et nous nous comportons comme des mécréants incrédules que tu viendrais sauver du mal.

Nilo, dis seulement une parole.

J'aime bien ces petits morceaux de vie, ces instantanés aux mots lancés comme pour panser la douleur sentimentale, oui la poésie n'est pas que dans les mots, elle est tout autour, c'est le fait même d'écrire. Certains ont une connerie trop formelle pour l'envisager comme nous le prouve une nouvelle fois léon, devenu commun & inutile.

De la fraîcheur, l'expression simple d'un bonheur calme.

Une lecture en douceur.

Je suis d'accord avec Spandrell, c'est un joli morceau de vie que tu livres ici... Frais, simple, mais tellement agréable !

Merci à tous...

H.

J'ai aimé la sincérité de ton poème, même si celle-ci reste un peu trop respectueuse.

Léon Hyde : A force de se foutre de tout et de tout le monde, on finit comme tout et tout le monde. Moi je ne dirais pas inutile, mais DOMMAGE. (on voudrait bien que ça le soit, inutile, mais en attendant c'est vraiment dommage)

On peut ne pas aimer sans pour autant le dire à tout bout de champs ? Et dans le genre critique facile, tu es un génie ! Je ne me demande même plus pourquoi tu te rabaisses de la sorte ? Masochisme ?

Dam, perplexe...

Informez-moi
Je vous prie,
Qui est ce Léon ?

H.