Les hommes de pierre

Lu deux fois de suite. Je donne ma première impression (même si elle peut évoluer rapidement). Je trouve ce poème assez explosif ; un peu comme quand après un arrêt sur image on s'attend à ce que tout (tous) bougent , un peu comme si j'espérais que ces géants figés éclatent le vernis qui semble les recouvrir, un peu comme si la glace allait fondre sous le sourire du mendiant. Qui mendie, quoi ?
(j'édite et je précise que j'ai aimé ce poème)

J'aime le ton incisif de ton poème qui est tout sauf contemplatif.
Un sisyphe (c'est drôle comme les mots... !)

Dam, pierre qui roule...

Je m'arrête ici pour louer tout à la fois ton poème et le commentaire de Dam.

Nilo, gravé dans le marbre.

Je reste toujours aussi passionnée pour ton travail Sylvie. C'est percutant, avec des images saisissantes et une émotion non négligeable...
J'ai beaucoup aimé celui-ci au contraire de Carmen P., c'est cet espèce d'immobilisme qui m'a charmé.
Comme si tu peignais un tableau que j'ai envie de voir et de revoir.
Merci.

Bonjour ma Belle !

J'ai aimé !

La brièveté de mon commentaire ne peut faire douter de sa sincèrité
Et toi, tu le sais !

Bisous

H.

Taillé dans le roc !

Je lis dans le dernier passage tout ce qu’il faut pour comprendre et mettre à nu le message de ton poème – cracheur des pierres. Et surtout ne pas baisser ni la tête ni les bras. Tes mots coulent en torrent sans ménager les pierres.
« Ces hommes n'avaient comme souci
que de n'être des mufles liés à pierre »
Cordialement Solweig