C'est quoi ce forum ?

[Dédé]

Salut les gonzesses, c'est Dédé.

J'viens vous présenter encore une de mes idées à la con comme dit Papy.
J'vous explique, c'est mes fabuleuses interviews des MacadaStars que vous êtes qui a fait germer dans ma tête d'ours en peluche cette petite merveille de mystification.
C'est simple, il s'agit de réaliser une interview bidon de n'importe qui par n'importe lequel d'entre vous.
Bidon pasque c'est l'intervieweur (ouais j'ai envie de l'écrire comme ça) qui fait les questions ET les réponses de son interlocuteur qu'est même pas en face de lui. Sachant que l'interlocuteur peut être n'importe qui, soit un auteur de Macadam, soit n'importe qui pris dans la rue ou dans peopleland, j'vous donne quelques exemples :
Interview bidon de Bob Dylan par Nilo
Interview bidon d'un syndicaliste de base par Dédé
Interview bidon de Lalou par LCBeat
Interview bidon du Maire de Fréjus par Dam
…
Bon faites gaffe quand même, faudrait pas que les tauliers aient des emmerdes, y a des gens qu'aiment pas qu'on se foutent de leur gueule et comme on commence à avoir pas mal d'audience on est pas à l'abri de voir débarquer ici un de ces interlocuteurs qu'aurait pris la mouche, surtout qu'on a pas que des potes sur la Netsphère…
Moi je m'en tape que Papy ait des soucis avec Bob Dylan (quoique…) mais j'voudrais pas qu'on ait une fermeture administrative du clandé.

Voilà, à vous de jouer.
Ah ouais, j'ai failli oublier, rien que pour faire chier je vous impose des titres de la forme :
Interview bidon de XXXX par YYYY
Où YYYY est OBLIGATOIREMENT le pseudo du posteur, comme dans les exemples que j'vous ai généreusement filés.

Salut les gonzesses, c'était Dédé et une nouvelle idée à la con.

[Lalou]

Oh oui ! Oh oui ! Oh oui!

[Nilo]

On n'est pas vraiment à l'abri de plaintes avec ça.
Mais il devrait y avoir de quoi se marrer.
D'ailleurs ça commence plutôt bien.

Nilo, secrétaire de rédaction.

[coline dé]

C'est à force de te secouer que t'as toutes ces idées là, Dédé ? Ben continue, c'est plutôt chouette !

[Ratoune]

Excellente idée que j'ai failli rater.

[Ratoune]

Je suis en ce moment dans le salon de la mort qui vient d’entrer. Elle est à l’heure, comme d’habitude ; elle porte un très joli ensemble ton sur ton en cachemire. Je la voyais plus grande, en fait elle est assez petite, plutôt ordinaire.
Je vous épargne les préliminaires de conversation extrêmement pénibles sur la santé, le temps, l’avenir et les tracas journaliers pour en venir au cœur de l’entretien :
- Alors comme ça vous vous faites appeler la " faucheuse" ?
- Oui, un vieux souvenir d'enfance
- On peut en parler ?
- Vous savez, cela remonte à si loin; je devais avoir quelques fantômes en moins
- Vous ne les faites pas !
-(petits rires grinçants) flatteur...Je débutais dans la carrière en compagnie de quelques unes de mes sœurs sous la houlette d'un père attentif, vous savez ce que c’est une foule d’enfants malicieux, toujours est-il que ma plus jeune sœur m’a poussée sous une voiture et que j’ai bien manqué y perdre mon linceul.
- Pour quelle raison ce geste ?
- Ma sœur est le fruit du hasard, et comme telle, imprévisible.
- Et quel rapport avec la « faucheuse » ?
- Pour la punir de son geste je lui ai donné un coup de hache sur le crâne, c’est pour cette raison que vous la voyez souvent sans tête, le pseudo m’est resté, parmi tant d’autres.
- Œil pour œil dans la fratrie ?
- Et dent pour dent ! (nouveaux rires écorchés)
- Est-ce que vous aimez votre boulot ?
- J’adore, surtout depuis que notre mère est partie avec la Vie contrecarrer mes projets.
- Vous ne pardonnez jamais ?
- Vous plaisantez j’espère ? Vous savez combien j’ai de frères et sœurs ? Des milliards ! C’est insupportable à la fin. Mais, l’un dans l’autre, en s’y prenant bien, je parviens à réguler le flot grouillant.
- Votre plus beau rêve ?
- Tarir ce courant ininterrompu de respirations, de buées, de balbutiements qui m’empêchent de mourir.
-Peut-on dire aux lecteurs que vous êtes un peu névrosée ?
- Vous pouvez dire ce que vous voulez, ils ne vous croiront pas
- En attendant je vous remercie de m’avoir accordé un peu de votre « temps ».
- Oh, vous savez le mien et le vôtre sont désormais scellés car je ne rencontre jamais de témoin hors de ces murs...

[Nilo]

Ratoune,

Tu t'es trompée.
Il fallait faire [Nouveau] pour publier cet entretien, et pas le mettre en commentaire ici...
Je compte sur toi pour le remettre à sa place.

Nilo, assistant de rédaction.

[Nilo]

Dédé vient de me faire savoir qu'il tient un scoop d'enfer. Ca devrait le faire.

Nilo, motus et bouche cousue.

[Dédé]

Ouais, mais comme depuis j'ai eu un empêchement majeur de la forme enfermenent non consenti va falloir attendre que j'puisse prendre le large et un avion pour The Big Apple.

Dédé.

[Nilo]

Je vous avais prévenus.
Il a réussi à se faire la belle le temps d'un aller-retour du côté de ground zero.

Nilo, que fait la PAF ?

[Dédé]

J'crois que j'vais bientôt faire une interview bidon d'un auteur anonyme de Macadam...
Et vous m'connaissez, c'est rarement à l'avantage de celui qu'j'interroge.

Dédé.

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