La lectrice

Dans la pénombre douce d’un antique musée
Je flânais au hasard, quand je fus médusée
Par une salle déserte contenant un manuscrit :
Parlait-il vérité ou bien allégorie ?

Séduite par l’idée je lus le document
Et je reçus un choc devant ce monument :
Les faits qu’il rapportait, le feu que j’entrevis
C’était mon avenir, l’histoire de ma vie.

Alors je m’enfuyais, la peur me prit au ventre :
Comment avais-je pu pénétrer dans cet antre ?
Et puis je réfléchis, car à postériori,
Il y avait là le nom de mon futur mari.

Après avoir lu ton poème, j'ai eu comme un regret et je vais l'expliquer:

J'ai vu comme une vie qui apparaissait dans un rêve et cette vie, elle avait échappée à la lucidité du jour et même si c'était, vu sous l'image d'un livre dans une bibliothèque,elle paraissait comme inconnue, comme une découverte. Et du coup, le dernier vers m'a dérangé ( si je puis dire)

Mais ceci est ma propre version et non une critique car je tiens à respecter la version de l'auteur.

Sylvie

Merci de ton commentaire
Oui, c'est un de mes travers je le sais, j'essaye de terminer mes textes un peu abruptement
Ça peut être un peu dérangeant dans un forum de poésie... je m'excuse auprès des puristes

Ne t'excuse pas, tente plutôt de prendre ce qu'on te dit comme des encouragements à améliorer ton écriture. Il suffirait de presque rien.

Nilo, encourageant.

Pareil que Sylvie, la fin m'a déçue un peu...

Mais bon, comme dit Nilo, il manque pas grand chose !

au boulot!

Énigmatique et intéressant.

Beaucoup de vers faux, c'est dommage.
Là "Alors je m’enfuyais, la peur me prit au ventre :"il y a y un gros souci de temps, l'imparfait est grammaticalement impossible, le PS obligatoire. (Ou: "alors que")