Une vie

Sa vie sur rétroprojecteur défile,
Tomber comme une goutte de lait dans son café,
Stop les automnes dans la tour de verre emprisonnée,
Il nécessite le terme mensonger aux saveurs amères
De chocolat aigre resté là posé au fil des années.

Ne cherche pas à l’arrêter c’est sa destinée d’un choix aveuglé
Elle touche de ses doigts l’héritage, une piscine de mépris
Une dentelle pour querelle c’est posée sur la faveur de ses jours.
Le portrait gris souris domine les yeux bleu noircies de ses nuits.
Un cœur asphyxier de morceaux, elle apprête son tombeau.

Là voici décidée, elle relève la tête son image imparfaite
Elle agrippe le tourbillon ne conserve ni le souffle ni le son
Son regard vers le ciel, pas de danse aux étoiles pour ce soir
Elle rougît de son corps déposée sur l’asphalte, soulagée à jamais.
Reste son café refroidit de sa vie.

De bonnes choses, ici et là, comme :

Son regard vers le ciel, pas de danse aux étoiles pour ce soir
Elle rougît de son corps déposée sur l’asphalte, soulagée à jamais

Un poème fragmenté, hermétique qui peine à décoller. Il y a pourtant une méthode, une structure mais il faut encore creuser.

ps: Attention aux fautes d'orthographe !

En attendant d'autres poèmes

Léo

De belles trouvailles, j'ai quelque part été séduit par certaines franges du texte, un style à façonner, qui demande dis-je sans prétention encore du travail, dans le sens où pourraient s'en extraire des morceaux de vie de belle poésie, alors, comme un rétroprojecteur dans les nuits abyssales de la création, il ne reste qu'à mettre un pied devant l'autre et de continuer à respirer

La vie au goût de café refroidi, belle image.

Je trouve ça trop souvent décousu et émaillé de quelques fautes qui obligent à s'arrêter pour reprendre ensuite le fil de la lecture...
A part ça, comme LCBeat, je trouve qu'il y a ici des choses à exploiter, donc à retravailler.

Nilo, cent fois sur le métier.

je retiens que je dois travailler!!

j'y vais.

Merci