en mai lis ce qu'il te plait

la chaleur. précoce et juste assez pour vous donner des raisons de s'attarder à l'ombre...avec un livre de préférence.

"la poétique de l'espace" de Bachelard
étudier l'image poétique dans ce qu'elle possède, partage avec l'imaginaire du lecteur.
un mot important: le résonance d'une image.
épistémologue avant tout Bachelard trace ici les chemins d'une phénoménologie de l'imaginaire qui laisse sur le cul!

"trilogie new-yorkaise" de Paul Auster. je ne les avais pas lu depuis les années 90. le monde intimes et cette ville devient propice a des errances, a des quêtes, enquêtes.
des personnages et parfois des couleur comme personnage.
les premiers étages d'une oeuvre !
a suivre et explosion dans "moon palace", "léviathan" et "mr vertigo"

quelques lectures de Heidegger et du journal de galère d'imre kertecz. penser l'être, enfin essayer a nouveau une ontologie au 20 ieme pour l'un et voir un vie derrière la vie, en voir le coeur et peut-être découvrir l’absurdité pour l'autre.

il m'a semblait qu'a des périodes incertaines comme la notre, lire ces deux auteurs ou simplement en parcourir quelques textes ferait du bien, poserai l'esprit avec plus de recul et d'outil pour voir.

ps: antiobiotique pour anti-(anti heidegger).
" heidegger est un petit homme et un grand philosophe."
g. steiner.

Alors, je lirai Bachelard.

La Trilogie, j'ai lu, oui, un des meilleurs de Auster à mon goût, Mr Vertigo sent déjà le roussi. Période creuse je pense. Léviathan : the best one. Kill the symbols of the american freedom.

Alors, je lirai Bachelard.

Ca faisait longtemps que rien n'était tombé d'une de nos étagères.
C'est bien de voir ces choses à terre et de les ramasser pour les poser sur la table à la vue de tous.

Nilo, bonne pâte, feuilletée.