un songe coupé en deux

Les défuntes à l’horloge !
J’ai du me tordre de rire en me souvenant
Avant le ciel écolier
Poignées de mains à se remettre, à soumettre
Les palais dorment
Je rêvais quelque chose derrière la porte.

(C’est un rêve qu’il y a eu. Les progrès dans l’aube malgré les céphalées, rires, sourires…le trictrac avec l’existence.)
Cotonneux rêve américain
Y dort un enfant.
L’innocence dont nous travaillons le regard pour lui ouvrir doucement les yeux

Permission de minuit
De tomber, d’en rire
De rire seulement au final !

Par-dessus le jour, d’autres époques avaient lieux. Elles recouraient aux mensonges et à la gloire.
Sortie sud de ta chambre. Le rêve enfermé pour avoir pactisé avec la piraterie.
Savoir par ce miroir de 4H ce qu’il peut advenir de mes confrères
Apostrophé l’inconnu, être l’inconnu…ô terre
Répondre avec violence.


Les blessures sont parfois sans justice.
J’avais toujours l’air enfantin, parfois un peu pervers et ridicule devant les femmes
On prenait soin des pas perdus et des colères sous nos fièvres


2

J’étais à l’arrêt
Le souvenir marchait comme une horloge.
J’ai prononcé ce mot. Semble t il une respiration soudaine, a l’encontre !
Retour en arrière les yeux sur la banquette.
Il y a un hiver pas très loin. Il me dissimule !
Et jusqu'à là, les mots à dire, sans les penser vraiment.
Il y a eu un passage par la fatigue, la gravité
Des questions, encore ! (mais je suis resté silencieux)
J’ai simplement attendu que ma tête explose
Mourir de rire avec les siens
Nos cœurs présentaient des variations acoustiques
De grands silences à bras ouverts
La blessure dans la chambre du fils
A mi distance de la mort maintenant


Il n’a pas sursauté, a ouverts les yeux
Le train passait sur des lagunes
Il revenait vers quelque chose d’heureux

J'aime me perdre dans ta nébuleuse.
Et lire ce que j'ai envie de lire.
Et comprendre ce que mon esprit découvre dans tes errances névrotiques.

Evidemment je ne comprends pas tout, mais que ce texte respire la poésie, qu'il nous promène dans un univers où par bribes nous nous voyons dans le miroir !

Tes chemins ménent de partout et oui, on s'y proméne la tête en l'air et on s'y perd bien volontiers;

J'ai lu de gauche à droite et de haut en bas, et les yeux ont suivi, la tête avec..

Dam, léger tournis

Je te lis toujours en me demandant ou tu veux m'emmemer.
Mais j'y vais, toujours, sans contrainte.

Nilo, part du rêve.

Un beau chemin de songe.