Muse Florale

Un sacré souffle, un souffle sacré sur ce poème. J'ai un peu peiné au début puis ça a déroulé ensuite. J'ai aimé.
Quand on parle d'elle, la poésie exulte.

J'aime beaucoup...dans ce cas je ne sais quoi dire de plus.
Ce poème a du corps et du souffle.

Je retiendrai essentiellement ceci
Tu marches et te lasse des regards
Conquis et vides
Que tu traines au refrain lent de tes talons

Mais l'ensemble se tient, malgré deux ou trois lourdeurs qui m'ont fait buter et casser le rythme.
Au demeurant ça reste un bel hommage à la poésie avec lequel tu signes ton arrivée sur Macadam.

Nilo, à suivre.
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PS. fais un effort pour mettre des espaces après tes virgules. A moins que ce ne soit un concept. Auquel je n'adhèrerais pas.

Un vent poétique qui souffle haut et fort.

Bienvenue.

Merci, pour ces retours à mon humble arrivée.

encore et encore
encore et encore
De tordre autour de mon dos tes minces rameaux
encore et encore
De baiser, baiser, baiser des yeux encore et encore

L'abus d'encore est dangereux pour la santé
Les solitaires en italic ce seraient suffit je pense

Tu marches et te lasse des regards

et (tu) te lasseS non?
"l'inapprivoisable" pour chercher la bestiole, ce mot est long, très long, trop long?

J'ai bien aimé mais dans l'ensemble, vraiment trop de répétitions
C'est clair que c'est un parti pris de l'auteur, mais je trouve quand même que c'est assez mal dosé

@}-;--

J'aime pas.
Trop de rimes téléphonées.
Je comprends rien au rythme.
Le traitement du sujet n'est pas nouveau.

Tu voulais qu'on soit honnete, non ?

Oh oui, tout à fait, honnête. J'apprécie la franchise, moins les couards qui se cachent derrière des comptes assassins et vides de textes.
Tu ne comprends rien au rythme car tu ne veux rien y comprendre. Chercher à comprendre un rythme, selon moi, c'est déjà avoir une étrange notion de la rythmique.
J'assume mes rimes et mon sujet.
Merci de ton avis plus apprécié que ma réponse ne le laisse paraître.

encore et encore
encore et encore
De tordre autour de mon dos tes minces rameaux
encore et encore
De baiser, baiser, baiser des yeux encore et encore

L'abus d'encore est dangereux pour la santé

Après lecture, je trouve que tu as raison, l'italique suffit. Le texte s'en trouve allégé.
Après, il est vrai, la répétition, je le crois, fait partie de mon style d'écriture. Tout comme l'écriture en miroir.
Merci du commentaire, sincèrement.

Code:

Tu marches et te lasse des regards
et (tu) te lasseS non?
"l'inapprivoisable" pour chercher la bestiole, ce mot est long, très long, trop long?

Hum, non, je ne suis pas d'accord, enfin si. Le mot est long, très long, trop long. Mais il marque le sommet dans ma gradation, participe au rythme et signifie l'élan passionné du poète. Non, le mot me parait être à sa place.

Merci pour ces commentaires constructifs =).

Ca démarre fort !
Je te suggère de prendre un peu de temps d'observation avant de prendre la mouche.
Non pas que je défende Papounet dont je ne sais strictement rien, comme toi, mais tu me sembles un peu sensible de la gachette pour quelqu'un qui vient juste de poser ses valises.

Nilo, paix des ménages.

C'est vrai !
Tu as raison.

Je vais faire un tour au saloon.

Je ne sais qui se cache derrière ce masque mais le poème mérite sa place sur Macadam.
Trés "personnel", certe mais réussi.

Swann,

Je te pardonne pour ton excellence dans ce domaine.
Mais tu avais déjà dû le parier !

Paix.

Jack-aux-lanternes a écrit:
Oh oui, tout à fait, honnête. J'apprécie la franchise, moins les couards qui se cachent derrière des comptes assassins et vides de textes.
Tu ne comprends rien au rythme car tu ne veux rien y comprendre. Chercher à comprendre un rythme, selon moi, c'est déjà avoir une étrange notion de la rythmique.
J'assume mes rimes et mon sujet.

Tiens, v'là la relève !

Jack-aux-lanternes a écrit:Tout comme l'écriture en miroir.

Mais c'est quoi, l'écriture en miroir ?

Je me suis un peu mal exprimé, c'est vrai. J'entends par là des structures en miroirs, des échos, des répétitions, ect ...

Au plaisir, cher pheukiou !

Jack-aux-lanternes a écrit:Je me suis un peu mal exprimé, c'est vrai. J'entends par là des structures en miroirs, des échos, des répétitions, ect ...

Au plaisir, cher pheukiou !

Mal exprimé je ne sais pas, je ne connais pas vraiment les termes techniques de la poésie... j'imaginais que c'était un terme existant que je ne connaissais pas.

Je ne te cacherai que moi aussi, j'ai butté sur ces répétitions... mais elles étaient plus répétées encore.

Un ensemble qui promet de belles lectures et je suis toujours contente de découvrir de nouveaux talents.

J'ai bien aimé ce passage:

"Fleur brune, parfumée d'un musc sucré de ténèbres
Fleur brune, enrobée d'un suc ombreux qui te zèbre
Tu es la prune acerbe du verger des luxures,
Capturée dans les coutures immortelles de la nature."

J'aime aussi le sentiment qui se dégage de ce poème.

Sylvie

Le poème m'a parlé aussi - mais contrairement à Nilo, plus au début qu'à la fin. J'y sens une plume travaillée, consciencieuse ; quoique le texte décrive 'son' corps et l'amour pour 'elle', j'ai l'impression qu'il n'a pas été écrit d'un jet.

En tout cas de belles choses, et un raffinement général de la plume qui m'intéresse.
A te lire.

Z.
et by the way, ta gueule, Bass. Tu me les casses avec tes commentaires à la con, ça suffit déjà d'avoir pheukiou pour pourrir les textes des auteurs.

Zlatko a écrit:et by the way, ta gueule, Bass. Tu me les casses avec tes commentaires à la con, ça suffit déjà d'avoir pheukiou pour pourrir les textes des auteurs. ses textes.

Merci.

J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Quinzième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...

Dédé.

Magnifique évocation !

On en redemande.