colère de mon amour-propre

les gros ploucs volent, sur leurs auréoles
les pétasses croassent, lasses sur leurs échasses
les batards se taisent, le cul à demi-maux
Les enfoirés les baisent, en commant au cul à cul

les abrutis forniquent, tous, baisant même leur trique
pendant que coule doucement le temps qui s'accumule
loin de l'ingratitude, cependant que ça gicle autour
Des pénards collés à leurs moucharabiers

La valse des tangotants tangue, tangue lentement
Mais rassurez vous un jour, elle prendra le grand large
vous serez toujours loin de la mer d'iroise
quand j'irais pondre avec les oies l'art à votre place

l'art d'aimer n'est pas facile, je ne vous ignorerais pas d'un cil
cependant que toujours devant les majestés
la vôtre déchue, grasse bourre s'est incliné ...

l'art de plaire est délétère, je n'oscillerai pas d'un rai
Je serai toujours saoûl de l'air
Et moi et lui ne formeront qu'un trait

je ressentais beaucoup de colère mais au fond ce texte est stupide

Si tu voulais bien cesser de t'autocommenter avant que qui que ce soit ait laissé un commentaire sur tes textes ce serait une bonne chose.

Nilo, surtout si c'est pour dire des conneries.

désordres ?