organes lumières

Rien ne s’est tu en moi alors que la jeune fille souriait la tête dans un étau.
Vague brune comme des a coups du sang, dans le sang !
Un sommeil se perd dans des labyrinthes éternels et transitoires
C’est la beauté, le silence a 3h
Cela m’est tombé des mains, organes lumière, dans un bruit sourd
On reconnaissait des sourires le long des corridors
Après elle, loin d’elle
Je n’ai su que les certitudes de notre combustion
J’attends ce monde à genoux
Et la mer volubile, certaine !
Regardant des tableaux aux visages qui n’en sont plus, déjà en mouvement dans la cendre
Je voulais o christ que l’on me livre, me déchire
A l’extrême pointe de l’amour non rapatrié vers l’ordre
Sois sur sous la lampe que devenir c’est être immobile.
Ce fut le choc, la stupeur certaine de mon cœur à l’arrêt !
L’âme face au ventilateur
Ca ne s’imagine pas les en-dessous du monde, ca se vit, tristement sans doute mais comme le sceau de l’esclave au front
Au réveil, un tremblement parcourt des vies fœtales et le rêve solaire devient un cauchemar brutal
Ce n’est rien enfant
Juste un souffle rendu
Une fin de vie

La force et sa vérité dans l’instant et les mondes se doublent
Le temps se double à brûler des étapes, forcément, mais aussi
et surtout à y revenir, comme on retourne au pays, on gagne l’apaisement
Mérité !

Dam, jamais la paix...

Vous nous donnez à lire de bien beaux echos vous deux en ce moment

Oui, je me lève, j'ouvre le site et je suis toujours contente de te lire et de me sentir comme happée par ta poésie.

J'ai eu une sensation de prière mais pas une prière pour l’au delà, non, juste une prière à soi même dans le rêve qui se trouve bien encré dans un corps.

Un sommeil se perd dans des labyrinthes éternels et transitoires
C’est la beauté, le silence a 3h
C'est exactement ça.
Ce silence transitoire des heures qui n'en sont plus à force de durer quand le temps s'échappe et se fait lumière du jour quand le matin vient prendre la relève des nuits blanches par procuration traversées de rêves éveillés, Réveillés.

Nilo, pas de deux dans l'ombre.

J'étais déjà passé pour en dire du bien.
C'était avant que le bug du 20 août 2011 vienne poser une bombe à anticipation sur le Macadam.
Je reviens, pour le redire, plus simplement.

Nilo, bis repetita.

Wow Wow Wow !!

C’est la beauté, le silence a 3h
Cela m’est tombé des mains, organes lumière, dans un bruit sourd

Je lis ça (et ça m'arrive) : tu te réveilles en plein nuit, ou alors n'as-tu pas dormi, et un vers te percute la gueule sans prévenir.
Alors on continue d'écrire.

Tes visions sont des cauchemars lumineux.
C'est difficilement beau.

Au réveil, un tremblement parcourt des vies fœtales et le rêve solaire devient un cauchemar brutal
Ce n’est rien enfant
Juste un souffle rendu
Une fin de vie

Je partage l'avis de LC, des visions de cauchemars lumineux...écrites à l'encre rouge.

Ça m'impressionne.