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Autre folie
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Autre folie
Autre folie
Après la réalisation de cette nuit et l’insertion en centre-ville d’un pavillon en construction en briques rouges type “lotissement” du Nord, ainsi que des panonceaux constitués de deux lattes croisées, rayées blanches et rouges et taillées en pointes aux extrémités, devant les passages de voie à niveau pour la signalisation routière et piétonne, je reprends confiance en mon train. Je n’abandonne pas mon projet Sud du “Train des Pignes”, mais je dois encore beaucoup apprendre. Le reste n’est qu’une question de temps et de patience.
Ce qui n’est pas beau dans la réalité l’est d’autant moins en modèle réduit. Comme en peinture, je m’applique à reproduire (ou produire) ce que j’aime, ce qui me plait, avec les couleurs et formes qui s’imposent. Mais la laideur et les erreurs existent toutefois. L’activité du modéliste lui apprend à reconnaître et mieux comprendre aussi les erreurs des hommes et des temps. Et ne voyez pas là qu’un problème esthétique de surface (architecture et paysage), car au fond c’est bien d’humanisme qu’il s’agit.
Au delà des réalités, il faut rester fidèle à ses goûts mêlés de rêves d’enfants, pour ne pas que cet exercice de style ne devienne une chirurgie esthétique scandaleuse ! Un caprice de vieux croutons. Une erreur de jeunesse.
Pourquoi ne vit-on pas en état perpétuel de jouissance ? On deviendrait fou ! On ne pourrait rien faire... d’autre. On ne saurait jamais ce pourquoi on était venu au monde. Je suis réglé avec cette question-là - bien réglé - n’ai que trop et bien travaillé, trop bien longtemps ! Une éternité. En fait, si nous n’étions pas humains, nous serions éphémères.
Nous vivrions très peu de temps. L’homme en cette fin de millénaire a une espérance de vie de soixante cinq ans ; à ce compte là, l’homme est peut-être la machine la mieux qualifiée pour durer. À moins qu’il y ai des problèmes du genre désirs et frustration, problème à répétition comme une rafale de mitraillette...
Dam.
Après la réalisation de cette nuit et l’insertion en centre-ville d’un pavillon en construction en briques rouges type “lotissement” du Nord, ainsi que des panonceaux constitués de deux lattes croisées, rayées blanches et rouges et taillées en pointes aux extrémités, devant les passages de voie à niveau pour la signalisation routière et piétonne, je reprends confiance en mon train. Je n’abandonne pas mon projet Sud du “Train des Pignes”, mais je dois encore beaucoup apprendre. Le reste n’est qu’une question de temps et de patience.
Ce qui n’est pas beau dans la réalité l’est d’autant moins en modèle réduit. Comme en peinture, je m’applique à reproduire (ou produire) ce que j’aime, ce qui me plait, avec les couleurs et formes qui s’imposent. Mais la laideur et les erreurs existent toutefois. L’activité du modéliste lui apprend à reconnaître et mieux comprendre aussi les erreurs des hommes et des temps. Et ne voyez pas là qu’un problème esthétique de surface (architecture et paysage), car au fond c’est bien d’humanisme qu’il s’agit.
Au delà des réalités, il faut rester fidèle à ses goûts mêlés de rêves d’enfants, pour ne pas que cet exercice de style ne devienne une chirurgie esthétique scandaleuse ! Un caprice de vieux croutons. Une erreur de jeunesse.
Pourquoi ne vit-on pas en état perpétuel de jouissance ? On deviendrait fou ! On ne pourrait rien faire... d’autre. On ne saurait jamais ce pourquoi on était venu au monde. Je suis réglé avec cette question-là - bien réglé - n’ai que trop et bien travaillé, trop bien longtemps ! Une éternité. En fait, si nous n’étions pas humains, nous serions éphémères.
Nous vivrions très peu de temps. L’homme en cette fin de millénaire a une espérance de vie de soixante cinq ans ; à ce compte là, l’homme est peut-être la machine la mieux qualifiée pour durer. À moins qu’il y ai des problèmes du genre désirs et frustration, problème à répétition comme une rafale de mitraillette...
Dam.
Re: Autre folie
Dans le cadre de Mon Concours pour moi tout seul j'ai décidé de pas me poser de questions, et tant pis si ça va pas faire ressortir que des trucs brillants...
Mais on sait jamais, peut-être que des perles ont échappé à l'œil acéré des promeneurs du Macadam.
Dédé.
Mais on sait jamais, peut-être que des perles ont échappé à l'œil acéré des promeneurs du Macadam.
Dédé.
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Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
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