Boy Blues

<< Prends la vie du bon côté >>

“Boy Blues”
Surnom de BB King.

Refuse de croire que ça c’est la vie. Si la vie doit avoir un sens, je refuse cette vie ; mais j’avais récusé cette doctrine, et ce depuis longtemps. Celui que j’ai donné, moi, de sens, à ma vie, reffuse carrément cet écart, et je ne vais pas me laisser bloquer comme ça, par de prétencieux incapables ; me laisser prendre dans la tourmante d’une société en mal d’identité ; me vendre pour rien, pour le principe ; mon tors est de réfléchir - d’aucun diront que je pense trop - mais c’est faux ! Ce que je vais faire ne regarde personne, aussi vrai que je suis peintre (je n’ai jamais vu un seul de mes tableaux regarder quelqu’un, pas encore ; je loue Dieu que cela n’arrive jamais). Ca ne regarde personne. Ma vie privée est entièrement secrète.
J’écoute “Quand l’amour revient en ville” (BB King & U2), et je ne suis pas surpris par le ton hargneux et le son blues-rock de ce joyaux. On ne peut pas faire une “ballade” sur ce thème, seulement crier sa crainte comme on tire l’alarme d’un train fou... et ça ne risque pas de s’améliorer.



“Lucil” était le nom de la guitare de BB King, baptisée ainsi après l’incendie que la femme avait provoqué (dispute), quand un des deux hommes jaloux avait renversé un réchaud à gaz dans la grange... L’amour rend fou ; la convoitise rend aveugle et sourd ; les femmes jouent le jeu en fermant les yeux ; jusqu’au bout elles sont partante - pas de quartiers -, puis soudainement elles oublient tout ce qui s’était passé ; elles retournent comme si de rien était à leur petit train train quotidien, avec leur jeuno d’un jour, d’un lit, d’une nuit...
La révolte continuait en silence dans un crâne noire sous le drap blanc. Loin d’elle et d’avoir tout compris, il passerait deux nuits à se ronger les ongles jusqu’au sang, quand, un beau matin il se sentira libéré, déchargé de cette nouvelle déception amoureuse ; il aura décidé de ne plus jamais la revoir, pour se souvenir seul de sa friponnerie, mère de tous les fantasmes. Renfermé ? non, lucide. Lucil. Lucide. Tranquille.
Il avait pris son parti d’être libre, comme elle avait pris le sien d’abandon passagé. Le train fou de la vie avait largué un passager, éjecté une âme seule, en peine d’amour et de vérité... (solo)

L’histoire continue.


Dam.

Dans le cadre de Mon Concours pour moi tout seul j'ai décidé de pas me poser de questions, et tant pis si ça va pas faire ressortir que des trucs brillants...
Mais on sait jamais, peut-être que des perles ont échappé à l'œil acéré des promeneurs du Macadam.

Dédé.

Ca ne mange pas de pain !

Et ça permet de mettre un peu de musique sur les mots de Dam qui sait décidément nous entraîner ailleurs.

Nilo, un ailleurs où on lirait...

Y'a comme un goût d'histoire perso dans cette bio...
J'adore le son posé par Nilo ^^ C'est qd mm beau ce qu'on peut faire avec une guitare... Et les histoires de coeur en général alimentent la créativité

Sasvata, tout cela ne nous REGarde pas... mm si...

ps: ah mais j'oubliais, vous regardez pas la télé, vous risquez de passer à côté de la réf... m'enfin...

rien a dire
tout a entendre^^

Les femmes jouent le jeu en fermant les yeux

Dam, no télé.