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Les forces de l'ordre
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Les forces de l'ordre
<< VOUS ÊTES DES FORCES DE L'ORDRE ?... >>
(père : )
“Mais qu'est ce que tu dis, enfin ! Tu es fou ? il est fou...
Faudrait que tu perdes ton vice de persécution ! Faudrait que tu perdes...
- la tête - c'est ça ? faudrait que je perde la tête ? comptes-y ! vas-y compte : un . . deux . . trois... dix ! Tu vois, j'ai toujours ma tête.
Si tu peux pas me voir, c'est pas ma faute... non ; c'est pas ma faute.
La tête penchée en avant dans ma main ouverte, sur la table de travail, encombrée de cassettes . . des boîtes de bière, vides . . des pots pleins de crayons tous morts et multicolores . . une vieille flûte en bambou super décorative, noire jaune rouge . . rastarabe des dunes blanches fades, affable ; des ciseaux, des verres, une bouteille d'eau, des canettes vides . . une cassette vierge, une grosse montre noire, deux livres de sang (un ouvert, un fermé) calés sur le billot, promis à la lame tranchante du couperet, Baguée noire, la plume vengeresse de l'écrivain (révoltant !) sous les cassettes, la musique...
La mer, le couplet : “ The Wall”
Le vague à l'âme, je pensais :
Baguéor, inspire-moi !
“Devant la quantité folle de gadgets, de marques, mieux vaut les faire soi- même. Personne ne veut rester chez soi ?
Soit. Bientôt donc, on fera de m'aime - de la musique, des tubes, de la peinture, des tubes, des livres, des pavés, des boites, des cubes. . forcément, on pourrait déjà avoir commencé. Baguéor, inspire-moi !
- “ Tu ne crois pas ?
... Et si c'était le cas, qu'on soit déjà lancé ; comme l'encre du navire, faut pas s'accrocher au fond.
Et pourtant, faut y aller au fond, faut le toucher pour pas s'échouer, dans la tempête... Vers l'île blanche appelée vulgairement “Actifed” : je souffle...
Comme la tempête déchire ciel et terre : je souffre.
... Et les dégâts, crois moi, sont terribles.
La mouette en papier, déchirée dans un paquet de gâteaux, n'en croit déjà plus ses ailes et n'écoutant que son courage : picabec.
“ Y voudrait pas qu’on l’entende, mais pourquoi ?
Y va se faire léger, le plus léger possible
C’est toujours pareil : Ici, il doit penser. ”
VOUS ÊTES QUI ?
Dam.
(père : )
“Mais qu'est ce que tu dis, enfin ! Tu es fou ? il est fou...
Faudrait que tu perdes ton vice de persécution ! Faudrait que tu perdes...
- la tête - c'est ça ? faudrait que je perde la tête ? comptes-y ! vas-y compte : un . . deux . . trois... dix ! Tu vois, j'ai toujours ma tête.
Si tu peux pas me voir, c'est pas ma faute... non ; c'est pas ma faute.
La tête penchée en avant dans ma main ouverte, sur la table de travail, encombrée de cassettes . . des boîtes de bière, vides . . des pots pleins de crayons tous morts et multicolores . . une vieille flûte en bambou super décorative, noire jaune rouge . . rastarabe des dunes blanches fades, affable ; des ciseaux, des verres, une bouteille d'eau, des canettes vides . . une cassette vierge, une grosse montre noire, deux livres de sang (un ouvert, un fermé) calés sur le billot, promis à la lame tranchante du couperet, Baguée noire, la plume vengeresse de l'écrivain (révoltant !) sous les cassettes, la musique...
La mer, le couplet : “ The Wall”
Le vague à l'âme, je pensais :
Baguéor, inspire-moi !
“Devant la quantité folle de gadgets, de marques, mieux vaut les faire soi- même. Personne ne veut rester chez soi ?
Soit. Bientôt donc, on fera de m'aime - de la musique, des tubes, de la peinture, des tubes, des livres, des pavés, des boites, des cubes. . forcément, on pourrait déjà avoir commencé. Baguéor, inspire-moi !
- “ Tu ne crois pas ?
... Et si c'était le cas, qu'on soit déjà lancé ; comme l'encre du navire, faut pas s'accrocher au fond.
Et pourtant, faut y aller au fond, faut le toucher pour pas s'échouer, dans la tempête... Vers l'île blanche appelée vulgairement “Actifed” : je souffle...
Comme la tempête déchire ciel et terre : je souffre.
... Et les dégâts, crois moi, sont terribles.
La mouette en papier, déchirée dans un paquet de gâteaux, n'en croit déjà plus ses ailes et n'écoutant que son courage : picabec.
“ Y voudrait pas qu’on l’entende, mais pourquoi ?
Y va se faire léger, le plus léger possible
C’est toujours pareil : Ici, il doit penser. ”
VOUS ÊTES QUI ?
Dam.
Re: Les forces de l'ordre
Un texte qui pourrait être comme un mélange de couleurs inattendues:
Le père aux reproches
L'enfant dans son rêve mêles aux crayons qui l'expriment.
Je me suis arrêtée aussi sur des notes d'humour.
Le père aux reproches
L'enfant dans son rêve mêles aux crayons qui l'expriment.
Je me suis arrêtée aussi sur des notes d'humour.
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