La passion de ton cœur

La passion de ton cœur brille de mille feux vraiment

Pardonne ma saison morte, celle de l'ours et de la fourmis

De la fleur accablée, écrasée d'ennuis

Endormis aux firmaments des cieux

Pour raviver toutes les lumières et les passions

D'une vie 


Merci de m'avoir sonné les cloches de mon temps long


Mais il me reste un zeste de cette apathie chronique

Que je ne puis bien presser, dominer et digérer

Comme un échafaudage de fibres tendues jusqu'à l'astre chaud

De notre éternel émoi


Seulement quand je peins je suis moi

Et délivré de tous poids

Et tout le temps je pense à toi


Dam.

Tu peins?

En fait, j'aime tous les poèmes.

Voilà un Dam à coeur ouvert qui ouvre ses toiles au monde.

Un poème qui m'a beaucoup touché et qui ressemble à certaines de tes peintures.

Un texte qui a des tripes.
Et si ça ne fait pas de la poésie à tous les coups au moins ça permet de s'en approcher.

Nilo, de proche en proche.

C'est lumineux !

J'aime vraiment, ça me touche.