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Les heures chloroforme
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Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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Les heures chloroforme
Les heures chloroforme
Le rêve se déforme,
Anesthésie le temps.
Il tombe lourdement
A l'abri des pendules,
S'étale et ruisselle
Aux vitrines éclatées
Des devantures molles
Qui racontent l'histoire
Des passeurs de mémoire
En glissant sur les dunes
Du fond du sablier.
Les cœurs battent au rythme
De leur pouls métronome.
Les secondes s'égrènent
A l'envers de la vie.
Le décompte à rebours
S'enchaîne à la banquise
Des nuits de satin blanc
Où des désirs hors norme
Embâclent calmement
Le mal gré aux mensonges
Des heures chloroforme.
Nilo.
Le rêve se déforme,
Anesthésie le temps.
Il tombe lourdement
A l'abri des pendules,
S'étale et ruisselle
Aux vitrines éclatées
Des devantures molles
Qui racontent l'histoire
Des passeurs de mémoire
En glissant sur les dunes
Du fond du sablier.
Les cœurs battent au rythme
De leur pouls métronome.
Les secondes s'égrènent
A l'envers de la vie.
Le décompte à rebours
S'enchaîne à la banquise
Des nuits de satin blanc
Où des désirs hors norme
Embâclent calmement
Le mal gré aux mensonges
Des heures chloroforme.
Nilo.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Les heures chloroforme
Ce thème qui t'est cher, au rythme du métronome ...
très joli Nilo.
très joli Nilo.
Dernière édition par Lalou le Jeu 29 Oct - 17:35, édité 1 fois
_________________
LaLou
Re: Les heures chloroforme
de très belles images encore :
" les dunes
Du fond du sablier. "
" Les cœurs battent au rythme
De leur pouls métronome. "
" Les secondes s'égrènent
A l'envers de la vie. "
et j'en passe ...
bref encore un beau et bon moment de lecture ...
Yzaé
" les dunes
Du fond du sablier. "
" Les cœurs battent au rythme
De leur pouls métronome. "
" Les secondes s'égrènent
A l'envers de la vie. "
et j'en passe ...
bref encore un beau et bon moment de lecture ...
Yzaé
Yzaé- MacadAccro
- Messages : 696
Date d'inscription : 07/10/2009
Age : 64
Localisation : touraine
Re: Les heures chloroforme
Je suis heureux que vous ayez été touchées par celui-ci.
Nilo, éther & C°.
Nilo, éther & C°.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Les heures chloroforme
Je ne sais pas si c'est voulu, mais le vers "S'étale et ruisselle" rompt le rythme général par défaut d'une syllabe.
Vanessa- MacaDeb
- Messages : 15
Date d'inscription : 08/06/2011
Re: Les heures chloroforme
Heureusement qu'on t'a pour tenir les comptes, traquer le pied de trop, la syllabe qui manque (fait défaut), le "s" égaré et toutes ces choses que tu ne manques jamais d'accrocher à ton tableau de chasse.Vanessa a écrit:Je ne sais pas si c'est voulu, mais le vers "S'étale et ruisselle" rompt le rythme général par défaut d'une syllabe.
Nilo, chassez le naturel...
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Les heures chloroforme
Heureusement qu'on t'a pour tenir les comptes, traquer le pied de trop, la syllabe qui manque (fait défaut), le "s" égaré et toutes ces choses que tu ne manques jamais d'accrocher à ton tableau de chasse.
Je ne sais pas comment prendre cette remarque.
Vanessa- MacaDeb
- Messages : 15
Date d'inscription : 08/06/2011
Re: Les heures chloroforme
Mes vers préférés à moi qui ne comprend pas toujours tout !
Le rêve se déforme,
Anesthésie le temps.
Il tombe lourdement
A l'abri des pendules,
S'étale et ruisselle
Aux vitrines éclatées
Des devantures molles
Qui racontent l'histoire
Des passeurs de mémoire
Chantal,à sourd, sourd et demi.
Le rêve se déforme,
Anesthésie le temps.
Il tombe lourdement
A l'abri des pendules,
S'étale et ruisselle
Aux vitrines éclatées
Des devantures molles
Qui racontent l'histoire
Des passeurs de mémoire
Chantal,à sourd, sourd et demi.
printemps d'avril- MacadMalade
- Messages : 357
Date d'inscription : 09/01/2011
Age : 67
Localisation : québec au québec
Re: Les heures chloroforme
Tant pis ! je ne m'arrête pas à ce malentendu persistant, qui n'est peut-être qu'une forme originale de bizutage, qui sait ?
Mais personne d'autre que moi, vraiment, n'a buté, à la lecture, sur ce vers trop court ?
Mais personne d'autre que moi, vraiment, n'a buté, à la lecture, sur ce vers trop court ?
Vanessa- MacaDeb
- Messages : 15
Date d'inscription : 08/06/2011
Re: Les heures chloroforme
Je n'avais pas encore lu ce poème.
Chose faite et même si il ne m'a pas donné la même émotion que bien d'autres de toi que j'ai lu, j'ai fortement ressenti l'ambiance. Le titre est vraiment choisi avec tact.
Et pour répondre à Vanessa, je vais dire ceci:
Lorsque je lis un poème, vois-tu, je ne compte jamais car d'abord je suis bien trop nulle pour jouer à ça et je suis sure de ne pas compter comme il se doit. La seule chose que j'ai retenue (et là aussi je peux encore me tromper car les exceptions à la règle peuvent encore être possible) c'est que dans le genre du vers que tu as cité :
"S'étale et ruisselle" il s'avère que si on lit "normalement" le rythme n'est absolument pas perdu du tout ! mais si on compte, je crois que le "e" suivi d'une voyelle ne se compte pas.
Donc tu veux dire par là Vanessa qu'on compte : S'é-tal-et-rui-selle c'est ça dont tu parles?
Ceci dit, est ce important de compter quand on lit un poème? A mes yeux( je vais être franche) j'en ai vraiment rien à fiche de ces histoires de compter alors que la poésie est bien au delà. J'attache beaucoup plus d'importance à mon ressenti que ces histoires de pieds, ce qui justifie quelque part ma nullité à ce niveau . hé
Sylvie
Chose faite et même si il ne m'a pas donné la même émotion que bien d'autres de toi que j'ai lu, j'ai fortement ressenti l'ambiance. Le titre est vraiment choisi avec tact.
Et pour répondre à Vanessa, je vais dire ceci:
Lorsque je lis un poème, vois-tu, je ne compte jamais car d'abord je suis bien trop nulle pour jouer à ça et je suis sure de ne pas compter comme il se doit. La seule chose que j'ai retenue (et là aussi je peux encore me tromper car les exceptions à la règle peuvent encore être possible) c'est que dans le genre du vers que tu as cité :
"S'étale et ruisselle" il s'avère que si on lit "normalement" le rythme n'est absolument pas perdu du tout ! mais si on compte, je crois que le "e" suivi d'une voyelle ne se compte pas.
Donc tu veux dire par là Vanessa qu'on compte : S'é-tal-et-rui-selle c'est ça dont tu parles?
Ceci dit, est ce important de compter quand on lit un poème? A mes yeux( je vais être franche) j'en ai vraiment rien à fiche de ces histoires de compter alors que la poésie est bien au delà. J'attache beaucoup plus d'importance à mon ressenti que ces histoires de pieds, ce qui justifie quelque part ma nullité à ce niveau . hé
Sylvie
Re: Les heures chloroforme
Et Merde !Vanessa a écrit:Tant pis ! je ne m'arrête pas à ce malentendu persistant, qui n'est peut-être qu'une forme originale de bizutage, qui sait ?
Mais personne d'autre que moi, vraiment, n'a buté, à la lecture, sur ce vers trop court ?
Nilo, et basta !
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Les heures chloroforme
Et tant mieux car ce poème mérite bien + qu'une polémique inutile alors que le sentiment qu'il dégage est bien plus important à savourer que le comptage des pieds.( de nez !!)
Re: Les heures chloroforme
à la relecture, tout le poème me plait, je dis bien " tout " !!
printemps d'avril- MacadMalade
- Messages : 357
Date d'inscription : 09/01/2011
Age : 67
Localisation : québec au québec
Re: Les heures chloroforme
Voilà de biens étranges façons de répondre à une interrogation touchant au rythme d'un poème !
Détrompez-vous, Sylvie, il n'y a rien de plus ressenti et, oserais-je le terme, de plus corporel que la régularité du discours poétique, à la condition impérative d'avoir le sens du rythme du langage. Le vers que je relevais tantôt m'avait laissé une sensation, et j' insiste sur ce mot, de manque, telle une mélodie privée de sa dernière note. Remarquer qu'il est l'unique vers de cinq syllabes de ce poème en hexasyllabes est une manière plus objective de le signifier. Compter les syllabes ne passe pour un exercice stérile qu'aux oreilles de ceux qui ne sont pas sensibles à la prosodie régulière.
Mais sans doute n'est-ce là que polémique stérile.
Détrompez-vous, Sylvie, il n'y a rien de plus ressenti et, oserais-je le terme, de plus corporel que la régularité du discours poétique, à la condition impérative d'avoir le sens du rythme du langage. Le vers que je relevais tantôt m'avait laissé une sensation, et j' insiste sur ce mot, de manque, telle une mélodie privée de sa dernière note. Remarquer qu'il est l'unique vers de cinq syllabes de ce poème en hexasyllabes est une manière plus objective de le signifier. Compter les syllabes ne passe pour un exercice stérile qu'aux oreilles de ceux qui ne sont pas sensibles à la prosodie régulière.
Mais sans doute n'est-ce là que polémique stérile.
Vanessa- MacaDeb
- Messages : 15
Date d'inscription : 08/06/2011
Re: Les heures chloroforme
Laisse tomber, Vanessa, tu es la(le) seul(e) à avoir entendu une mélodie à laquelle il manque une note...il faut croire que tout le monde n'a pas le sens du rythme du langage...
Mais je me souviens, lorsque je comptais tous mes vers à la manière des anciens , il m'arrivait à moi aussi d'avoir ce sentiment et de m 'apercevoir qu'effectivement il manquait une ou deux syllabes à un vers...et puis ce sentiment a disparu lorsque je me suis dirigé (j'ai évolué vers) plutôt vers le contenu que le contenant.
Mais libre à toi de rester avec ta façon scolaire de faire de la poésie; les autres ne sont plus à l,école, Vanessa !!
Mais je me souviens, lorsque je comptais tous mes vers à la manière des anciens , il m'arrivait à moi aussi d'avoir ce sentiment et de m 'apercevoir qu'effectivement il manquait une ou deux syllabes à un vers...et puis ce sentiment a disparu lorsque je me suis dirigé (j'ai évolué vers) plutôt vers le contenu que le contenant.
Mais libre à toi de rester avec ta façon scolaire de faire de la poésie; les autres ne sont plus à l,école, Vanessa !!
printemps d'avril- MacadMalade
- Messages : 357
Date d'inscription : 09/01/2011
Age : 67
Localisation : québec au québec
Re: Les heures chloroforme
et pam !!!
très jolie, la distance, les mots, le rythme
^^
très jolie, la distance, les mots, le rythme
^^
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: Les heures chloroforme
printemps d'avril a écrit:Laisse tomber, Vanessa, tu es la(le) seul(e) à avoir entendu une mélodie à laquelle il manque une note...il faut croire que tout le monde n'a pas le sens du rythme du langage...
Mais je me souviens, lorsque je comptais tous mes vers à la manière des anciens , il m'arrivait à moi aussi d'avoir ce sentiment et de m 'apercevoir qu'effectivement il manquait une ou deux syllabes à un vers...et puis ce sentiment a disparu lorsque je me suis dirigé (j'ai évolué vers) plutôt vers le contenu que le contenant.
Mais libre à toi de rester avec ta façon scolaire de faire de la poésie; les autres ne sont plus à l,école, Vanessa !!
Mais ce serait plutôt vous qui procédiez de façon scolaire, en comptant les vers de vos écrits.
Vous n'avez pas le sens du rythme poétique et j'en suis désolée pour vous.
Vanessa- MacaDeb
- Messages : 15
Date d'inscription : 08/06/2011
Re: Les heures chloroforme
Vanessa,
Puisque vous êtes adepte du "Vous" je vais Vous faire ci-dessous un rappel de l'intégrale de vos publications sur macadam (hors votre "présentation dans le MacadAccueil).
Soit un total de douze posts effectués (sauf erreur ou omission comme dit mon banquier), douze commentaires et aucun texte publié.
C'est parti :
Cela est tout de même un peu gênant d'avoir dû se résoudre à supprimer l'article "les" au dernier vers.
________________________________________________________________________
Si j'osais.....
Est-ce un texte en recherche ? En recherche d'un (nouveau) style ?
L'expérimentation de l'innéedouceur et des bateauxbars pourraient le faire accroire.
Le hasard des strophes également.
Je n'ai pas saisi la maîtrise dont parle Jack. Saura t'il éclairer ma lanterne ?
________________________________________________________________________
Je ne peux pas encore envoyer de message privé.
J'aurais préféré pourtant ce biais pour attirer l'attention de l'auteur sur ce vers :
"La gloire lui vaut peu, seul compte la patrie"
"SeulE" s'accorde, hélas! avec "la patrie", ce qui induit une syllabe surnuméraire bien regrettable.
________________________________________________________________________
Saisir le rythme de cet écrit me demande des efforts presque décourageants.
Le sens précis m'échappe également, le septième vers en particulier.
Et puis, tout de même : pourquoi tant de gens ajoutent un "s" superflu ("cassE-toi") au mode impératif ?
________________________________________________________________________
Oui, il est vrai que je souhaitais m'intégrer progressivement ici, et d'abord par quelques remarques que j'espérais utiles. D'autres membres ont adopté la même démarche, ce me semble. N'y voyez pas là l'ombre de la moindre "prétention", s'il vous plaît.
________________________________________________________________________
Zlatko, je suis fort désolée si je vous ai ulcéré à un point tel, en relevant un oubli d'accord dans votre Hommage à Edmond Rostand, que vous me suggériez un site dont le libellé ne laisse guère de doute quant à votre jugement drastique à mon endroit. Oublions tout ceci, voulez-vous ?
________________________________________________________________________
Mais je vous assure qu'il s'agit là d'un quiproquo regrettable !
Que pourrais-je donc bien dire pour vous détromper ?
Cet état de fait est tout à fait navrant.
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Je ne sais pas si c'est voulu, mais le vers "S'étale et ruisselle" rompt le rythme général par défaut d'une syllabe.
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Je ne sais pas comment prendre cette remarque.
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Tant pis ! je ne m'arrête pas à ce malentendu persistant, qui n'est peut-être qu'une forme originale de bizutage, qui sait ?
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Mais personne d'autre que moi, vraiment, n'a buté, à la lecture, sur ce vers trop court ?
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Voilà de biens étranges façons de répondre à une interrogation touchant au rythme d'un poème !
Détrompez-vous, Sylvie, il n'y a rien de plus ressenti et, oserais-je le terme, de plus corporel que la régularité du discours poétique, à la condition impérative d'avoir le sens du rythme du langage. Le vers que je relevais tantôt m'avait laissé une sensation, et j' insiste sur ce mot, de manque, telle une mélodie privée de sa dernière note. Remarquer qu'il est l'unique vers de cinq syllabes de ce poème en hexasyllabes est une manière plus objective de le signifier. Compter les syllabes ne passe pour un exercice stérile qu'aux oreilles de ceux qui ne sont pas sensibles à la prosodie régulière.
Mais sans doute n'est-ce là que polémique stérile.
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Mais ce serait plutôt vous qui procédiez de façon scolaire, en comptant les vers de vos écrits.
Vous n'avez pas le sens du rythme poétique et j'en suis désolée pour vous.
Et à part ça ? Rien n'a trouvé grâce à vos yeux parmi les plus de 4000 sujets postés sur Macadam ?
Tout ça pour te dire (oui, je reviens au tutoiement) que si tu ne t'es inscrite sur Macadam que POUR NOUS CASSER LES BURNES, il va falloir que tu revoies ton positionnement. Ma patience a des limites.
A part ça, tu refais "ce vers" comme il te convient et tu cesses de pourrir ce sujet par tes interventions qui, semble-t-il, ne font pas l'unanimité.
J'espère que j'ai été assez clair pour que tu comprennes que ce post n'appelle aucune réponse.
Nilo, pas loin d'appuyer sur le bouton [Dégage].
Puisque vous êtes adepte du "Vous" je vais Vous faire ci-dessous un rappel de l'intégrale de vos publications sur macadam (hors votre "présentation dans le MacadAccueil).
Soit un total de douze posts effectués (sauf erreur ou omission comme dit mon banquier), douze commentaires et aucun texte publié.
C'est parti :
Cela est tout de même un peu gênant d'avoir dû se résoudre à supprimer l'article "les" au dernier vers.
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Si j'osais.....
Est-ce un texte en recherche ? En recherche d'un (nouveau) style ?
L'expérimentation de l'innéedouceur et des bateauxbars pourraient le faire accroire.
Le hasard des strophes également.
Je n'ai pas saisi la maîtrise dont parle Jack. Saura t'il éclairer ma lanterne ?
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Je ne peux pas encore envoyer de message privé.
J'aurais préféré pourtant ce biais pour attirer l'attention de l'auteur sur ce vers :
"La gloire lui vaut peu, seul compte la patrie"
"SeulE" s'accorde, hélas! avec "la patrie", ce qui induit une syllabe surnuméraire bien regrettable.
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Saisir le rythme de cet écrit me demande des efforts presque décourageants.
Le sens précis m'échappe également, le septième vers en particulier.
Et puis, tout de même : pourquoi tant de gens ajoutent un "s" superflu ("cassE-toi") au mode impératif ?
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Oui, il est vrai que je souhaitais m'intégrer progressivement ici, et d'abord par quelques remarques que j'espérais utiles. D'autres membres ont adopté la même démarche, ce me semble. N'y voyez pas là l'ombre de la moindre "prétention", s'il vous plaît.
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Zlatko, je suis fort désolée si je vous ai ulcéré à un point tel, en relevant un oubli d'accord dans votre Hommage à Edmond Rostand, que vous me suggériez un site dont le libellé ne laisse guère de doute quant à votre jugement drastique à mon endroit. Oublions tout ceci, voulez-vous ?
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Mais je vous assure qu'il s'agit là d'un quiproquo regrettable !
Que pourrais-je donc bien dire pour vous détromper ?
Cet état de fait est tout à fait navrant.
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Je ne sais pas si c'est voulu, mais le vers "S'étale et ruisselle" rompt le rythme général par défaut d'une syllabe.
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Je ne sais pas comment prendre cette remarque.
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Tant pis ! je ne m'arrête pas à ce malentendu persistant, qui n'est peut-être qu'une forme originale de bizutage, qui sait ?
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Mais personne d'autre que moi, vraiment, n'a buté, à la lecture, sur ce vers trop court ?
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Voilà de biens étranges façons de répondre à une interrogation touchant au rythme d'un poème !
Détrompez-vous, Sylvie, il n'y a rien de plus ressenti et, oserais-je le terme, de plus corporel que la régularité du discours poétique, à la condition impérative d'avoir le sens du rythme du langage. Le vers que je relevais tantôt m'avait laissé une sensation, et j' insiste sur ce mot, de manque, telle une mélodie privée de sa dernière note. Remarquer qu'il est l'unique vers de cinq syllabes de ce poème en hexasyllabes est une manière plus objective de le signifier. Compter les syllabes ne passe pour un exercice stérile qu'aux oreilles de ceux qui ne sont pas sensibles à la prosodie régulière.
Mais sans doute n'est-ce là que polémique stérile.
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Mais ce serait plutôt vous qui procédiez de façon scolaire, en comptant les vers de vos écrits.
Vous n'avez pas le sens du rythme poétique et j'en suis désolée pour vous.
Et à part ça ? Rien n'a trouvé grâce à vos yeux parmi les plus de 4000 sujets postés sur Macadam ?
Tout ça pour te dire (oui, je reviens au tutoiement) que si tu ne t'es inscrite sur Macadam que POUR NOUS CASSER LES BURNES, il va falloir que tu revoies ton positionnement. Ma patience a des limites.
A part ça, tu refais "ce vers" comme il te convient et tu cesses de pourrir ce sujet par tes interventions qui, semble-t-il, ne font pas l'unanimité.
J'espère que j'ai été assez clair pour que tu comprennes que ce post n'appelle aucune réponse.
Nilo, pas loin d'appuyer sur le bouton [Dégage].
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... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Les heures chloroforme
le poème me plait
V a dit :"bla bla bla bla bla et bla"
mais le poème me plait
on peut continuer a bla bla bla bla bla bla bla
mais pourquoi.
"peut m'importe
peut m'importe quoi ?
je ne sais peu m'importe"
V a dit :"bla bla bla bla bla et bla"
mais le poème me plait
on peut continuer a bla bla bla bla bla bla bla
mais pourquoi.
"peut m'importe
peut m'importe quoi ?
je ne sais peu m'importe"
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: Les heures chloroforme
point n'est besoin de tintamarre ici ou de faridondaine
tant que le pied est à coup lisse, de nez ou bien paquet (bien ficelé)
et qu'il boîte avec grâce..
Pourtant il faut le dire pour que ton vers à pieds retombe sur ses pattes
et non sur le derrière (c'est la faute à....)
réponse A: Margaux (Château)
réponse B: Voltaire
Réponse C: ruisselle
Réponse D: Obiwan Kenobi
il faudrait qu'il soit libre avec autant de points à la licence que de degrés
à ton breuvage ou respecte son mètre...
Distique apocryphe et cathartique en rimes de luxe
A,
Qui résume son émotion en déclarant ni dieu ni maître
Qui mesure le sentiment comme un vieux con, en géomètre...
et c'est mon dernier mot Jean Pierre....
tant que le pied est à coup lisse, de nez ou bien paquet (bien ficelé)
et qu'il boîte avec grâce..
Pourtant il faut le dire pour que ton vers à pieds retombe sur ses pattes
et non sur le derrière (c'est la faute à....)
réponse A: Margaux (Château)
réponse B: Voltaire
Réponse C: ruisselle
Réponse D: Obiwan Kenobi
il faudrait qu'il soit libre avec autant de points à la licence que de degrés
à ton breuvage ou respecte son mètre...
Distique apocryphe et cathartique en rimes de luxe
A,
Qui résume son émotion en déclarant ni dieu ni maître
Qui mesure le sentiment comme un vieux con, en géomètre...
et c'est mon dernier mot Jean Pierre....
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