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autoportraits déportés (2)
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Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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autoportraits déportés (2)
**
Un ajouré patchwork de doux bonheurs insignes
sur le néant banal tout gonflé de douleur,
un mandala changeant, Nécromancien : un signe !
Dis-moi se cache-t-il un jeu dans ces couleurs ?
Mais déjà tout s’efface et m’apparaît un cygne…
Se délite le sens- mon art était un leurre.
**
Was für ein Dichter bist du ?
celui qui jongle avec le doux
et se sent loin- oui mais loin d’où ?
**
miroir brisé
je contemplais la lune pâle d’un cerceau
cerceau de cirque en papier blanc
je dessinais mille ornements sur cette feuille
et je peignais
mille retouches sur des volets
quand il fallait la transpercer pour s’en aller
loin de l’enfance
vers les soleils la transparence
des horizons d’éternité
**
Dans l’escalier incertain de la pensée
le matin
je m’éveille en béton
au creux de sacs et de soleils
Sur le tableau- ni vert ni noir-
de mes desseins
je suis la pluie qui fait couler la craie
**
Sur la foi d’une apostille,
on le traita d’apostat !
Fallait-il que la pastille,
poliment, il l’avalât ?
**
de la fragilité qui vibre
chanter l’épiphanie
que ce soit par mon chibre
ou bien par mes saillies
**
je travaille avec mes doigts
été comme hiver
je brave la pluie le froid
le soleil caniculaire
je remonte et je jointoie
des murs en pierre
si plus d’un la vie me doit
eh bien j’en suis fier
**
c’est à ses pieds que vie sépia
c’est à ses pieds
dessous les blés bien tôt épiés
parmi les fleurs de sénevé
c’est à s’épier
que cet été vite passa
une tornade au fond d’un œil -couleur sépia
c’est à ses pieds
pâle os de seiche
cœur et mains sèches
mon âme- un lac
troublé s’ébrèche
**
ta lèvre est morte ô mon amour
bouchée l’aorte et le cœur sourd
syncope ainsi que le tambour
**
Savoir que l’on n’est rien qu’un peu de temps qui pense,
qui glisse sur le fil, dont la vitesse croît
savoir, cela n’est rien, sentir au plus intense
que tout est simulacre et de bien peu de foi.
De cette nullité, égale et partagée,
ne tirer nulle gloire, aucun doit au cynique ;
ne pas importuner de nos trop vains soupirs,
accepter d’être là, en simple passager.
**
Je ne suis pas celui qui course son passé
ni le pleure
mais le présent qui fuit comme une outre percée
**
Notre seule bouée sera la connivence.
Chacun sur son radeau, filant vers le naufrage,
mais souriants roseaux, offrant en doux partage
plus qu’un sourire, un
sourire d’intelligence.
**
petite chose objet vaguement opalin
souvenir enfantin le mot juste babiole
vous le perdez un jour vous voici orphelin
son absence a le son étrange de l’obole
**
Du néant peu je à peu je deviendrai l’ami
je ne louerai rien tant que l’ivresse et l’oubli
je serai pierre papillon fumée et mousse
soif d’extase et de tout ce qui nous dit nous lie
je serai vent pirogue à balancier secousse
frénésie vers ce doux qui nous tient nous élit
frénésie vers ce lit qui nous dit qui nous noue
du néant pâle humaine imbécile copie
**
Écueils.
Au seuil non de la vie, de la vieillesse,
je cueille
quelques pensives fleurs, les tresse,
recueille
quelques feuilles tombées, pauvresses
en deuil.
**
Je suis du juif errant une ombre parodique
qui va s’apitoyant sur des morts faméliques
de minuscules morts la vague ou la fourmi
parmi les feuilles là les vestiges d’un nid
**
Le revenu
Il me faut bien avouer que l’humain me fait chier.
Dès qu’on apprend à lire… on voit la vacuité,
sournoise transpirer dans les conversations
mondaines, les tête à tête vains. Émotion !
Où vas-tu te nicher, en quel abri secret,
dans le tintement fou des phonoglyphes mar-
quisiens, dans les cris de la chouette, de l’orfraie ?
Dans les douves perdues de quelque Moulinsart ?
Il me faut bien avouer que l’humain me fait chier
Et qu’à ce triste sort, je prends bien sûr ma part.
**
J’ai tout mon temps encor pour mon dernier repas
l’horloge chaque jour étrécit mon compas
plus de basket de squash de descentes en luge
Koumac ou Babouillat ne verront plus mes pas
ni Meknès ni Vila j’irai peut-être à Bruges
**
Je suis un trop vieux loup pour me laisser surprendre
mes laisses sont choisies comme autant de béquilles
pour supporter l’ennui tout ce gris qui m’habille
à mes yeux carnassiers rien n’abreuve le tendre
**
Le vieux sage
Je suis l’ami du vent et des félicités
n’aspirant pas à plus qu’un rêve de lézard
de longue date mort répudiant tout Lazare
je suis ce peu qui passe et veut en profiter
délesté d’un destin je savoure l’instant
le fugace bonheur et l’éphémère joie
jouissant d’un rien de la surprise qui attend
ta main lançant dans l’eau des coquilles de noix
je suis l’ami du chien qui le sent et s’empresse
de venir me lécher la main frère des pierres
des cailloux du chemin très tôt du soleil fier
qui chasse les vapeurs d’une nuit de tendresse
je n’aime pas le con arrogant prétentieux
qui sait si bien nous dire et la route et la voix
qui mène vers le sûr qui conduit droit aux cieux
à ceux-là ironique enfin je tends un doigt
**
mon cri est une
vague noyée en mer
parmi les dunes
un grain de sable amer
une amertume
un courant d’air
vole ma plume
jusqu’au désastre des déserts
**
où va la vie quand tout dérime
quand le chagrin le temps comprime
où va la vie quand tout s’étiole
pour tout soleil quelques lucioles
**
Ainsi pour l’étant
va le temps,
haletant,
où va-t-il ?
tombe un cil,
soit, ainsi soit-il,
l’étant était-il ?
**
Le chagrin est en moi comme un cercueil ouvert
Et loin de trouver dans les hommes un écho,
Une condoléance, un partage du lot
Je sens que mes propos m’enlèvent le couvert…
J’en ai croisé pourtant qui partagent mes peines
Que le même fardeau- ou le même plus lourd ? –
Avait brisés, ployés, expulsés vers le sourd
Ames écartelées que la folie enchaîne.
Descendant d’Héraclite, alors, pauvre écorché,
Tu as cru que tes mots, tes mots vains et gratuits,
Allégés d’un destin, te deviendraient patrie.
A cet hameçon tu t’es toi-même accroché.
Explorateur ravi, inventeur d’Amériques,
Tu as cru te noyer dans le rêve esthétique
- La poésie n’épouse plus tes yeux, tes mains
Le sens s’est perdu, délité, en chemin.
**
de toute son écume inutile la mort
Intemporel en ce faible calice, moi,
fragile souvenir que la conscience appelle,
implacable désir- frétillements d’émois-,
tendresse chagrin, battement d’une aile…
*
Bâtiment B, étage deux, les cancéreux
montée du Golgotha, les bras ouverts, en croix
au bout du bord, un dernier cap, tout est étroit,
et puis leurs yeux : nous étions nés pour être heureux.
*
Je suis éponge qui, gorgée, déchirée, bave
cette vie qui s’achève et qui palpite encore
comme sauvage aussi cette vague qui brave
de toute son écume inutile la mort
Un ajouré patchwork de doux bonheurs insignes
sur le néant banal tout gonflé de douleur,
un mandala changeant, Nécromancien : un signe !
Dis-moi se cache-t-il un jeu dans ces couleurs ?
Mais déjà tout s’efface et m’apparaît un cygne…
Se délite le sens- mon art était un leurre.
**
Was für ein Dichter bist du ?
celui qui jongle avec le doux
et se sent loin- oui mais loin d’où ?
**
miroir brisé
je contemplais la lune pâle d’un cerceau
cerceau de cirque en papier blanc
je dessinais mille ornements sur cette feuille
et je peignais
mille retouches sur des volets
quand il fallait la transpercer pour s’en aller
loin de l’enfance
vers les soleils la transparence
des horizons d’éternité
**
Dans l’escalier incertain de la pensée
le matin
je m’éveille en béton
au creux de sacs et de soleils
Sur le tableau- ni vert ni noir-
de mes desseins
je suis la pluie qui fait couler la craie
**
Sur la foi d’une apostille,
on le traita d’apostat !
Fallait-il que la pastille,
poliment, il l’avalât ?
**
de la fragilité qui vibre
chanter l’épiphanie
que ce soit par mon chibre
ou bien par mes saillies
**
maçon
je travaille avec mes doigts
été comme hiver
je brave la pluie le froid
le soleil caniculaire
je remonte et je jointoie
des murs en pierre
si plus d’un la vie me doit
eh bien j’en suis fier
**
c’est à ses pieds que vie sépia
c’est à ses pieds
dessous les blés bien tôt épiés
parmi les fleurs de sénevé
c’est à s’épier
que cet été vite passa
une tornade au fond d’un œil -couleur sépia
c’est à ses pieds
pâle os de seiche
cœur et mains sèches
mon âme- un lac
troublé s’ébrèche
**
ta lèvre est morte ô mon amour
bouchée l’aorte et le cœur sourd
syncope ainsi que le tambour
**
Savoir que l’on n’est rien qu’un peu de temps qui pense,
qui glisse sur le fil, dont la vitesse croît
savoir, cela n’est rien, sentir au plus intense
que tout est simulacre et de bien peu de foi.
De cette nullité, égale et partagée,
ne tirer nulle gloire, aucun doit au cynique ;
ne pas importuner de nos trop vains soupirs,
accepter d’être là, en simple passager.
**
Je ne suis pas celui qui course son passé
ni le pleure
mais le présent qui fuit comme une outre percée
**
Notre seule bouée sera la connivence.
Chacun sur son radeau, filant vers le naufrage,
mais souriants roseaux, offrant en doux partage
plus qu’un sourire, un
sourire d’intelligence.
**
petite chose objet vaguement opalin
souvenir enfantin le mot juste babiole
vous le perdez un jour vous voici orphelin
son absence a le son étrange de l’obole
**
Du néant peu je à peu je deviendrai l’ami
je ne louerai rien tant que l’ivresse et l’oubli
je serai pierre papillon fumée et mousse
soif d’extase et de tout ce qui nous dit nous lie
je serai vent pirogue à balancier secousse
frénésie vers ce doux qui nous tient nous élit
frénésie vers ce lit qui nous dit qui nous noue
du néant pâle humaine imbécile copie
**
Écueils.
Au seuil non de la vie, de la vieillesse,
je cueille
quelques pensives fleurs, les tresse,
recueille
quelques feuilles tombées, pauvresses
en deuil.
**
Je suis du juif errant une ombre parodique
qui va s’apitoyant sur des morts faméliques
de minuscules morts la vague ou la fourmi
parmi les feuilles là les vestiges d’un nid
**
Le revenu
Il me faut bien avouer que l’humain me fait chier.
Dès qu’on apprend à lire… on voit la vacuité,
sournoise transpirer dans les conversations
mondaines, les tête à tête vains. Émotion !
Où vas-tu te nicher, en quel abri secret,
dans le tintement fou des phonoglyphes mar-
quisiens, dans les cris de la chouette, de l’orfraie ?
Dans les douves perdues de quelque Moulinsart ?
Il me faut bien avouer que l’humain me fait chier
Et qu’à ce triste sort, je prends bien sûr ma part.
**
J’ai tout mon temps encor pour mon dernier repas
l’horloge chaque jour étrécit mon compas
plus de basket de squash de descentes en luge
Koumac ou Babouillat ne verront plus mes pas
ni Meknès ni Vila j’irai peut-être à Bruges
**
Je suis un trop vieux loup pour me laisser surprendre
mes laisses sont choisies comme autant de béquilles
pour supporter l’ennui tout ce gris qui m’habille
à mes yeux carnassiers rien n’abreuve le tendre
**
Le vieux sage
Je suis l’ami du vent et des félicités
n’aspirant pas à plus qu’un rêve de lézard
de longue date mort répudiant tout Lazare
je suis ce peu qui passe et veut en profiter
délesté d’un destin je savoure l’instant
le fugace bonheur et l’éphémère joie
jouissant d’un rien de la surprise qui attend
ta main lançant dans l’eau des coquilles de noix
je suis l’ami du chien qui le sent et s’empresse
de venir me lécher la main frère des pierres
des cailloux du chemin très tôt du soleil fier
qui chasse les vapeurs d’une nuit de tendresse
je n’aime pas le con arrogant prétentieux
qui sait si bien nous dire et la route et la voix
qui mène vers le sûr qui conduit droit aux cieux
à ceux-là ironique enfin je tends un doigt
**
mon cri est une
vague noyée en mer
parmi les dunes
un grain de sable amer
une amertume
un courant d’air
vole ma plume
jusqu’au désastre des déserts
**
où va la vie quand tout dérime
quand le chagrin le temps comprime
où va la vie quand tout s’étiole
pour tout soleil quelques lucioles
**
Ainsi pour l’étant
va le temps,
haletant,
où va-t-il ?
tombe un cil,
soit, ainsi soit-il,
l’étant était-il ?
**
Le chagrin est en moi comme un cercueil ouvert
Et loin de trouver dans les hommes un écho,
Une condoléance, un partage du lot
Je sens que mes propos m’enlèvent le couvert…
J’en ai croisé pourtant qui partagent mes peines
Que le même fardeau- ou le même plus lourd ? –
Avait brisés, ployés, expulsés vers le sourd
Ames écartelées que la folie enchaîne.
Descendant d’Héraclite, alors, pauvre écorché,
Tu as cru que tes mots, tes mots vains et gratuits,
Allégés d’un destin, te deviendraient patrie.
A cet hameçon tu t’es toi-même accroché.
Explorateur ravi, inventeur d’Amériques,
Tu as cru te noyer dans le rêve esthétique
- La poésie n’épouse plus tes yeux, tes mains
Le sens s’est perdu, délité, en chemin.
**
de toute son écume inutile la mort
Intemporel en ce faible calice, moi,
fragile souvenir que la conscience appelle,
implacable désir- frétillements d’émois-,
tendresse chagrin, battement d’une aile…
*
Bâtiment B, étage deux, les cancéreux
montée du Golgotha, les bras ouverts, en croix
au bout du bord, un dernier cap, tout est étroit,
et puis leurs yeux : nous étions nés pour être heureux.
*
Je suis éponge qui, gorgée, déchirée, bave
cette vie qui s’achève et qui palpite encore
comme sauvage aussi cette vague qui brave
de toute son écume inutile la mort
zenobi- MacadMalade
- Messages : 487
Date d'inscription : 14/02/2012
Re: autoportraits déportés (2)
Un texte qui me demande de l'attention que je réserve
et je m'exprimerai après car il y a de bien belles choses
...........à suivre.............
En attendant je te souhaite une bonne année poétique.
et je m'exprimerai après car il y a de bien belles choses
...........à suivre.............
En attendant je te souhaite une bonne année poétique.
Re: autoportraits déportés (2)
1)Un leurre, de la magie, un univers
qui ressemblerait aux poètes
2)D’où l’image du poète qui devient !
3) Le miroir de nos maux peut nous
paraître inconnu, peut nous éloigner
de certaines vérités qui se noient
dans le mensonge notre enfance.
4) La pluie d’encre qui encre chaque
jour le levé .
5) Un ressenti qui peut prendre
à la gorge comme un étranglement.
6) Chanter aussi le «pas fini»
7) Je pense que nous sommes
tous des maçons mais juste
avoir le courage.
Epier, s’épier à nos pieds
pour marcher droit !
9) Une machine infernale
mais indispensable.
10) Un voyage qu’il faut savoir
savourer au présent. le temps
n’existe pas mais le temps
nous est compté et ceci
forme le parcours du temps.
11) Un pour tous et tous pour
«un sourire» soupir !
12) Le vent bouscule
La pluie bascule
La mer secoue
13) Face aux rides du temps
la panique de voir qu’on
se rapproche de cette inconnue
Ca bouscule comme
la mer
Le vent
La pluie
14) L’humain a été enchaîné dès sa plus tendre
enfance, robotisé par la TV, le travail et
c’est ainsi que naquît :
Métro/boulot/dodo .Oui c’est très chiant
d’autant que leur propre parole n’existe plus !
15) Bruges ...va y, ils font un super fromage
*Pour finir, je dirais que nous sommes
tous riches ou pauvres dans le même
bateau qui va où?
Le nombres d'étapes à franchir
pour se voir diminuer
pour se voir doucement retirer notre vie
pour avoir oublié...
pour n’avoir pas su dire.........
J’aime beaucoup la lucidité
qui se dégage de la dernière partie.Quelques passages que je dirais «sauvages»
car ils t’appartiennent.
Des images que j’ai appréciées.
qui ressemblerait aux poètes
2)D’où l’image du poète qui devient !
3) Le miroir de nos maux peut nous
paraître inconnu, peut nous éloigner
de certaines vérités qui se noient
dans le mensonge notre enfance.
4) La pluie d’encre qui encre chaque
jour le levé .
5) Un ressenti qui peut prendre
à la gorge comme un étranglement.
6) Chanter aussi le «pas fini»
7) Je pense que nous sommes
tous des maçons mais juste
avoir le courage.
Epier, s’épier à nos pieds
pour marcher droit !
9) Une machine infernale
mais indispensable.
10) Un voyage qu’il faut savoir
savourer au présent. le temps
n’existe pas mais le temps
nous est compté et ceci
forme le parcours du temps.
11) Un pour tous et tous pour
«un sourire» soupir !
12) Le vent bouscule
La pluie bascule
La mer secoue
13) Face aux rides du temps
la panique de voir qu’on
se rapproche de cette inconnue
Ca bouscule comme
la mer
Le vent
La pluie
14) L’humain a été enchaîné dès sa plus tendre
enfance, robotisé par la TV, le travail et
c’est ainsi que naquît :
Métro/boulot/dodo .Oui c’est très chiant
d’autant que leur propre parole n’existe plus !
15) Bruges ...va y, ils font un super fromage
*Pour finir, je dirais que nous sommes
tous riches ou pauvres dans le même
bateau qui va où?
Le nombres d'étapes à franchir
pour se voir diminuer
pour se voir doucement retirer notre vie
pour avoir oublié...
pour n’avoir pas su dire.........
J’aime beaucoup la lucidité
qui se dégage de la dernière partie.Quelques passages que je dirais «sauvages»
car ils t’appartiennent.
Des images que j’ai appréciées.
Re: autoportraits déportés (2)
Merci à mes deux lecteurs.
zenobi- MacadMalade
- Messages : 487
Date d'inscription : 14/02/2012
Re: autoportraits déportés (2)
je suis là l'ami
je te réitère tout le bien que je t'avais dit sur ton texte
je te réitère tout le bien que je t'avais dit sur ton texte
nouga- MacadAccro
- Messages : 617
Date d'inscription : 13/01/2015
Re: autoportraits déportés (2)
Salud, amigo !
zenobi- MacadMalade
- Messages : 487
Date d'inscription : 14/02/2012
re
Un écrin libérateur. De nombreuses pièces maîtresses à suivre. Bientôt un recueil ?
léo- MacadAccro
- Messages : 1224
Date d'inscription : 25/03/2010
Age : 40
Localisation : Nord
re
Un écrin libérateur. De nombreuses pièces maîtresses à suivre. Bientôt un recueil ?
léo- MacadAccro
- Messages : 1224
Date d'inscription : 25/03/2010
Age : 40
Localisation : Nord
Re: autoportraits déportés (2)
J'ai matière pour en faire dix, peut-être, mais n'en ai jamais fait aucun.
Merci de ton passage.
Merci de ton passage.
zenobi- MacadMalade
- Messages : 487
Date d'inscription : 14/02/2012
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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