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Entre deux mondes
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Entre deux mondes
Entre deux mondes
Au matin, Viral fut réveillé en sursaut par le bruit sec des lettres dans la boite ; il y en avait tellement... Il voyait qu’elles étaient toutes pour lui, mais aucune à son nom : Elles portaient le “NON” de deux expéditeurs-espions, et derrière, en petit, un nom qui devait être le sien, perdu au milieu d’une adresse incroyablement longue et compliquée. Mais comment sont-elles arrivées là, se demanda-t-il ?
Non. Il ne se posa pas cette question très longtemps, trop content d’avoir des “lettres”.
Il s’assit sur le pouf rouge et or près du radiateur et commença sa lecture.
Quelque chose le gênait pourtant, et pour cause : tout ce qu’il lisait s’effaçait à mesure et il ne comprenait pas le sens de ce qu’il lisait.
“Continue, tu verras, avec le mot FIN tout rentrera dans l’ordre ”.
(un peu plus tard)
Il arriva avec le plateau rouge à pois blancs de son petit déjeuner et le posa en attendant sur le banc en bois avec les outils qui traînaient en désordre de la veille. Seule une feuille au centre...
Une seule feuille au centre restait collée à la place du plateau de déjeuner et rien ne pouvait la faire dégager sans dommage. Il songea que la cire fraîche qui sortait du bois la nuit était seule responsable, et il savait qu’il n’y avait rien à faire contre ça. Il se retourna et attrapa le plateau qui attendait derrière sur le banc, en fumant. Il n’était pas dans une matière à voir au travers et pourtant la feuille y transparaissait.
“ Décidément, pensa-t-il, elle a le dessus sur tout - J’ai même pas la paix au p’tit déjeuner... la salope ! ”
Il s'assit sur la table basse à carreaux carrés de Capron aux motifs monochromes d'"oiseaux et fleurs", à côté du plateau.
Bientôt, dans les volutes de fumées blanches du café, il verra une fille se mouvoir en petite tenue. Elle l’appellera pour l'entraîner nulle part et il se laissera faire, ma parole, comme par hypnose ; quand il voudra manger, ça sera froid, et elle aura disparu. Il rapportera le plateau à la cuisine, avec tout dessus intacte : Elle était bien partout...
Sur la table, la feuille s’était détachée.
Il posa ses yeux enfin, petite mine, sur l’objet de sa grève - elle était rédigée sur une ou deux lignes tout en haut et ça donnait ceci : J’ai du mal à vivre sans une peinture , j’en fais des nouvelles. Je t’attends pour ...
Il déchira vivement ce bout de texte sans espoir et celui-ci s’enroula autour de son index, comme un pansement malpropre - sa bague de foire - eut un geste vif pour s’en débarrasser et cela réveilla la douleur de son opération ; il porta la main à sa bouche et souffla sur elle pour enrayer le feu des lancements.
“ Mensonges, mensonge. Ô mensonges, si tu savais pourquoi je t’attends et toi, pourquoi viens-tu... Pour la pose “strech tching ? "
Recette amère...
Il remplit d’abord une casserole d’eau chaude, pour la vider ensuite sur son pauvre doigt tendu. Il ouvrit maladroitement le robinet bleu de droite, attendant sous l’eau froide quelques secondes qu’il se ramollisse ; la bouffissure, telle une poupée gonflable, s'aplatit aussitôt - il avisa :l’eau mettra du temps à bouillir et cela fera venir plus vite mon amie.
À présent il entendait l’eau bouillir sous sa plume, le temps qu’il avait mis pour écrire cette histoire n’avait rien donné de bon que des ratures et autres effets de style sans finesse, ni beauté.
C’est ce qu’il pensa du moins, parce que sa beauté, la vraie, la seule du moment était absente.
Il était seul au monde, seul et mauvais - bouffi d’orgueil - engourdi de froid... tout ce qu’il faisait lui échappait comme une seiche folle ! Ça le dégouttait même maintenant qu’il avait relu, il était triste.
“ Une fille comme hier soir...
Qu’est-ce que tu veux en faire de plus que de l’art ?
- Du lard ! Alors... de mieux que de l’art ?...
Du lard en forme de l’art
... Et en belles couleurs rares :
Les balles de couleurs de Noël ”
Il entendait subséquemment une voix, intransigeante et tant soi peu virulente comme une rafale de vent qui lui sciait les ailes sans condition :
<< Toujours me ressasser ces conneries, passons !
... Comme une chasse d’eau bloquée qui coule...
Tu as eu tort - tu as tort toujours.
Nous verrons bien si les décisions prises...
Décisions dynamiques pour des gens dynamiques à l’arrivée !!!
Ce qui est sûr - maintenant - vu comment ça se passe si mal
pour toi ... je ne veux plus traiter de rien à l’avenir avec toi
- Tant pis. J’en suis bien désolée. >>
Remords
(amères)
- Pour des raisons lumières, tu es et hais Mon Amour.. au grand dame et à la colère de mon ange. J’arrête ! C’est entendu.
“ Tu arrêtes, quoi... de vivre ?
- Non. Mais le rêve a pris quelques rides et des nuages bas noirs, comme de gros cumulus, sommeillent au-dessus de ma tête. Je veille ton appel qui crèvera cette fêlure, ce fabuleux abcès, pour me libérer - enfin... Si tu m’aimes un peu ?
“ Il n’y a que la peinture qui peut confondre votre querelle - bien sincèrement."
- Déjà parti, mon maître... doit s’occuper de lui. Je comprends cette urgence. Je m’en vais à mon tour, coucher ma peine dans la peinture et trouver quelques maigres consolations, sans quoi, pour sûr, je suis damné et perdu pour toujours. C’est ça ou rien. La peinture ou la mort... et qui connaît la suite ?
Toi, tu sais ce que l’avenir me réserve si je me bas ainsi – qui sait ?
Elle, elle doit bien savoir aussi, et ne m’a laissé aucun répit, pour voir. C’était trop tôt la dernière fois et la prochaine fois ce sera mieux... mais peut-être trop tard.
Elle me hantera toujours et elle ne peut pas mourir – m’aime pas !
C’est moi qui ai fauté, c’est moi !
<< Hier, fort de ton absence
Aujourd’hui faible de ton silence... >>
- Au lecteur –
Seulement, il y a cela à savoir qu’elle n’était pas seule comme lui, déjà !
Et lui et elle - bientôt - plus seuls du tout qu’on pensait ; dans le Sud...
Avec elle ?
. . . Moins seuls. . .
Et heureux ???
Cherche pas. Tu ne peux pas savoir avant d’y être. Bientôt, tu seras servi comme il faut - Comme on doit servir quelqu’un qui donne sa vie !
<< Pas son savoir mais sa vie >>
- Répondeur -
(qu’il croit - dit !)
- Je te réveille dans ton sommeil... excuse-moi ! Comme l’autre nuit, à la même heure peut-être où je t’avais fait jouir, vraiment... excuses-moi.
La fille semblait nerveuse et très décontenancée.
- T’as tout faut, dit-elle - qu’est-ce que tu dis là ! je dormais pas, j’étais seulement absente. Le lundi, je commence plus tard, à dix, et je vais directement de la Chênaie au Grand Palais.
... Alors, qu’est-ce que tu racontes !
- ... J’ai tout faux, c’est moi, c’était à moi de te demander ça - qu’est-ce que tu fais ? ...
Tu as l’air en forme, qu’est-ce que tu racontes de beau ?
- Oh rien, je n’ai pas beaucoup de temps à moi, libre... À moi, tu vois... ?
- Oui, tu as raison, c’était sûrement pas le bon moment d’appeler, tu es prise et je te laisse - bye >> (on ira au cinéma la prochaine fois)
- INTERDIT D'AIMER -
<< Moitié film , moitié son , moitié baffe... >>
Le titre :
“Elles sont fortes pour ça !”
“LA SAISON MORTE”
...Ni l’un, ni l’autre, (Cherchez pas)
Le titre du film qu’on (con) devait aller voir, c’était... ne m’en rappelle pas.
Seulement ceci avant la bande annonce : “ Moitié film...........
(court-métrage)
Dans une scène pharémarquante du film, on voyait quelqu’un dans une cuisine, qui écrivait sur le papier des courses car ça ne pouvait attendre !
“ Ça se passe bien à la maison (pas pour moi, pour papa et maman), sois donc rassurée. Je t’en parlerai mieux de vive voix, de ce qui m’ennuie... Tu es bien franche et bien t’en fasse... Moi, je crois aussi que c’est la bonne voie.”
(et la réponse)
“ J’ai un peu honte de ne pas t’écrire mais tu me connais... Et en ce moment, j’ai peur d’être bête si j’écris, alors...
- “ Alors parle, parle-moi...
“ Mon dieu, ma vie... Longtemps cru que la solution viendrait des autres et de l’exil. J’y crois encore - mais plus comme avant, comme la vérité. Parce qu’il il y a quelqu’un au bout - Une fille.
Vraiment j’y crois plus pareil. Ça m'excite moins parce que l’aboutissement est sûr maintenant, évident ! Ça m'excite moins - normal.
...Dieu ne regarde... et ne porte que les forts.
Les faibles, il n’a que le temps de les oublier... et les laisser à jamais. >>
- “ Un jour tu trouveras Dieu - Mais continue comme ça et tu ne trouveras personne, même pas dieu, ni personne et ta vie sera belle !
Belle et bien un échec.
Alors pars, où tu sais, où tu veux, n’importe où mais pars. >>
Dam.
Au matin, Viral fut réveillé en sursaut par le bruit sec des lettres dans la boite ; il y en avait tellement... Il voyait qu’elles étaient toutes pour lui, mais aucune à son nom : Elles portaient le “NON” de deux expéditeurs-espions, et derrière, en petit, un nom qui devait être le sien, perdu au milieu d’une adresse incroyablement longue et compliquée. Mais comment sont-elles arrivées là, se demanda-t-il ?
Non. Il ne se posa pas cette question très longtemps, trop content d’avoir des “lettres”.
Il s’assit sur le pouf rouge et or près du radiateur et commença sa lecture.
Quelque chose le gênait pourtant, et pour cause : tout ce qu’il lisait s’effaçait à mesure et il ne comprenait pas le sens de ce qu’il lisait.
“Continue, tu verras, avec le mot FIN tout rentrera dans l’ordre ”.
(un peu plus tard)
Il arriva avec le plateau rouge à pois blancs de son petit déjeuner et le posa en attendant sur le banc en bois avec les outils qui traînaient en désordre de la veille. Seule une feuille au centre...
Une seule feuille au centre restait collée à la place du plateau de déjeuner et rien ne pouvait la faire dégager sans dommage. Il songea que la cire fraîche qui sortait du bois la nuit était seule responsable, et il savait qu’il n’y avait rien à faire contre ça. Il se retourna et attrapa le plateau qui attendait derrière sur le banc, en fumant. Il n’était pas dans une matière à voir au travers et pourtant la feuille y transparaissait.
“ Décidément, pensa-t-il, elle a le dessus sur tout - J’ai même pas la paix au p’tit déjeuner... la salope ! ”
Il s'assit sur la table basse à carreaux carrés de Capron aux motifs monochromes d'"oiseaux et fleurs", à côté du plateau.
Bientôt, dans les volutes de fumées blanches du café, il verra une fille se mouvoir en petite tenue. Elle l’appellera pour l'entraîner nulle part et il se laissera faire, ma parole, comme par hypnose ; quand il voudra manger, ça sera froid, et elle aura disparu. Il rapportera le plateau à la cuisine, avec tout dessus intacte : Elle était bien partout...
Sur la table, la feuille s’était détachée.
Il posa ses yeux enfin, petite mine, sur l’objet de sa grève - elle était rédigée sur une ou deux lignes tout en haut et ça donnait ceci : J’ai du mal à vivre sans une peinture , j’en fais des nouvelles. Je t’attends pour ...
Il déchira vivement ce bout de texte sans espoir et celui-ci s’enroula autour de son index, comme un pansement malpropre - sa bague de foire - eut un geste vif pour s’en débarrasser et cela réveilla la douleur de son opération ; il porta la main à sa bouche et souffla sur elle pour enrayer le feu des lancements.
“ Mensonges, mensonge. Ô mensonges, si tu savais pourquoi je t’attends et toi, pourquoi viens-tu... Pour la pose “strech tching ? "
*
Recette amère...
Il remplit d’abord une casserole d’eau chaude, pour la vider ensuite sur son pauvre doigt tendu. Il ouvrit maladroitement le robinet bleu de droite, attendant sous l’eau froide quelques secondes qu’il se ramollisse ; la bouffissure, telle une poupée gonflable, s'aplatit aussitôt - il avisa :l’eau mettra du temps à bouillir et cela fera venir plus vite mon amie.
À présent il entendait l’eau bouillir sous sa plume, le temps qu’il avait mis pour écrire cette histoire n’avait rien donné de bon que des ratures et autres effets de style sans finesse, ni beauté.
C’est ce qu’il pensa du moins, parce que sa beauté, la vraie, la seule du moment était absente.
Il était seul au monde, seul et mauvais - bouffi d’orgueil - engourdi de froid... tout ce qu’il faisait lui échappait comme une seiche folle ! Ça le dégouttait même maintenant qu’il avait relu, il était triste.
*
“ Une fille comme hier soir...
Qu’est-ce que tu veux en faire de plus que de l’art ?
- Du lard ! Alors... de mieux que de l’art ?...
Du lard en forme de l’art
... Et en belles couleurs rares :
Les balles de couleurs de Noël ”
*
Il entendait subséquemment une voix, intransigeante et tant soi peu virulente comme une rafale de vent qui lui sciait les ailes sans condition :
<< Toujours me ressasser ces conneries, passons !
... Comme une chasse d’eau bloquée qui coule...
Tu as eu tort - tu as tort toujours.
Nous verrons bien si les décisions prises...
Décisions dynamiques pour des gens dynamiques à l’arrivée !!!
Ce qui est sûr - maintenant - vu comment ça se passe si mal
pour toi ... je ne veux plus traiter de rien à l’avenir avec toi
- Tant pis. J’en suis bien désolée. >>
*
Remords
(amères)
- Pour des raisons lumières, tu es et hais Mon Amour.. au grand dame et à la colère de mon ange. J’arrête ! C’est entendu.
“ Tu arrêtes, quoi... de vivre ?
- Non. Mais le rêve a pris quelques rides et des nuages bas noirs, comme de gros cumulus, sommeillent au-dessus de ma tête. Je veille ton appel qui crèvera cette fêlure, ce fabuleux abcès, pour me libérer - enfin... Si tu m’aimes un peu ?
“ Il n’y a que la peinture qui peut confondre votre querelle - bien sincèrement."
- Déjà parti, mon maître... doit s’occuper de lui. Je comprends cette urgence. Je m’en vais à mon tour, coucher ma peine dans la peinture et trouver quelques maigres consolations, sans quoi, pour sûr, je suis damné et perdu pour toujours. C’est ça ou rien. La peinture ou la mort... et qui connaît la suite ?
Toi, tu sais ce que l’avenir me réserve si je me bas ainsi – qui sait ?
Elle, elle doit bien savoir aussi, et ne m’a laissé aucun répit, pour voir. C’était trop tôt la dernière fois et la prochaine fois ce sera mieux... mais peut-être trop tard.
Elle me hantera toujours et elle ne peut pas mourir – m’aime pas !
C’est moi qui ai fauté, c’est moi !
<< Hier, fort de ton absence
Aujourd’hui faible de ton silence... >>
*
- Au lecteur –
Seulement, il y a cela à savoir qu’elle n’était pas seule comme lui, déjà !
Et lui et elle - bientôt - plus seuls du tout qu’on pensait ; dans le Sud...
Avec elle ?
. . . Moins seuls. . .
Et heureux ???
Cherche pas. Tu ne peux pas savoir avant d’y être. Bientôt, tu seras servi comme il faut - Comme on doit servir quelqu’un qui donne sa vie !
<< Pas son savoir mais sa vie >>
*
- Répondeur -
(qu’il croit - dit !)
- Je te réveille dans ton sommeil... excuse-moi ! Comme l’autre nuit, à la même heure peut-être où je t’avais fait jouir, vraiment... excuses-moi.
La fille semblait nerveuse et très décontenancée.
- T’as tout faut, dit-elle - qu’est-ce que tu dis là ! je dormais pas, j’étais seulement absente. Le lundi, je commence plus tard, à dix, et je vais directement de la Chênaie au Grand Palais.
... Alors, qu’est-ce que tu racontes !
- ... J’ai tout faux, c’est moi, c’était à moi de te demander ça - qu’est-ce que tu fais ? ...
Tu as l’air en forme, qu’est-ce que tu racontes de beau ?
- Oh rien, je n’ai pas beaucoup de temps à moi, libre... À moi, tu vois... ?
- Oui, tu as raison, c’était sûrement pas le bon moment d’appeler, tu es prise et je te laisse - bye >> (on ira au cinéma la prochaine fois)
*
- INTERDIT D'AIMER -
<< Moitié film , moitié son , moitié baffe... >>
Le titre :
“Elles sont fortes pour ça !”
“LA SAISON MORTE”
...Ni l’un, ni l’autre, (Cherchez pas)
Le titre du film qu’on (con) devait aller voir, c’était... ne m’en rappelle pas.
Seulement ceci avant la bande annonce : “ Moitié film...........
(court-métrage)
Dans une scène pharémarquante du film, on voyait quelqu’un dans une cuisine, qui écrivait sur le papier des courses car ça ne pouvait attendre !
“ Ça se passe bien à la maison (pas pour moi, pour papa et maman), sois donc rassurée. Je t’en parlerai mieux de vive voix, de ce qui m’ennuie... Tu es bien franche et bien t’en fasse... Moi, je crois aussi que c’est la bonne voie.”
(et la réponse)
“ J’ai un peu honte de ne pas t’écrire mais tu me connais... Et en ce moment, j’ai peur d’être bête si j’écris, alors...
- “ Alors parle, parle-moi...
“ Mon dieu, ma vie... Longtemps cru que la solution viendrait des autres et de l’exil. J’y crois encore - mais plus comme avant, comme la vérité. Parce qu’il il y a quelqu’un au bout - Une fille.
Vraiment j’y crois plus pareil. Ça m'excite moins parce que l’aboutissement est sûr maintenant, évident ! Ça m'excite moins - normal.
...Dieu ne regarde... et ne porte que les forts.
Les faibles, il n’a que le temps de les oublier... et les laisser à jamais. >>
- “ Un jour tu trouveras Dieu - Mais continue comme ça et tu ne trouveras personne, même pas dieu, ni personne et ta vie sera belle !
Belle et bien un échec.
Alors pars, où tu sais, où tu veux, n’importe où mais pars. >>
Dam.
Dernière édition par Dam le Mer 3 Mar - 21:40, édité 1 fois
Re: Entre deux mondes
"Mais continue comme ça et tu ne trouveras personne, même pas dieu, ni personne et ta vie sera belle !
Belle et bien un échec.
Alors parts, où tu sais, où tu veux, n’importe où mais parts."
Il y avait beaucoup à prendre et à retenir... Ne serait-ce que pour ça.
(attention aux impératifs, sans " s ").
Z, elsewhere.
Belle et bien un échec.
Alors parts, où tu sais, où tu veux, n’importe où mais parts."
Il y avait beaucoup à prendre et à retenir... Ne serait-ce que pour ça.
(attention aux impératifs, sans " s ").
Z, elsewhere.
Zlatko- MacadAccro
- Messages : 1621
Date d'inscription : 30/08/2009
Age : 33
Localisation : Centre
Re: Entre deux mondes
Heureux de te retrouver enfin ! Je suis une brèle de l'orthografe et pour couronner le tout, mon professeur me disait : " écrits, sans te soucier des fautes, écrits encore et toujours" (quet'chose ds l'genre). C'est pas des copies simples ou doubles ou triples qu'il emportait le soir ou à la pose de midi au bistrot du coin-coin de la rue de Tolbiac face à l'église Ste Thérèse néo-je sais plus quoi et fort laide ! On s'était mis aussi d'accord sur la forme : des cahiers (à spirales ou pas) des carnets aussi, des blocs pourquoi pas, de n'importe quel forma. Il ne l'a jamais regretté, son sourire reste affiché dans ma mémoire au don des étrennes.
Dam remiseur depuis sa remise arigoles (agricole pardon!)
Dam remiseur depuis sa remise arigoles (agricole pardon!)
Re: Entre deux mondes
Un texte oublié.
Des bribes, des éclats, des restes de mots.
A lire.
L'Auteur à la Une me permet d'y revenir et de le remettre en lumière.
Nilo, monde à part.
Des bribes, des éclats, des restes de mots.
A lire.
L'Auteur à la Une me permet d'y revenir et de le remettre en lumière.
Nilo, monde à part.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Entre deux mondes
Pas " son savoir, mais sa vie " et voilà, boire à la source. C'est que je retiens ce soir de ces fragments.
Ratoune- MacadAccro
- Messages : 1891
Date d'inscription : 01/09/2009
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