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Message  Batsie Dim 28 Mar - 12:30

Cette épisodes existentiels quotidien date, mais cela fait parti des 2, 3 trucs qui me restent... A vous de dire!

Ile de Ré - 2006/2007
00. 15 : Juste quelques mots nocturnes pour dire à quel point la vie me paraît excessive... Depuis hier soir je suis chez moi, plus où moins seule, plus ou moins occupée par quelques tracas dont je me serais bien passé, mais je devais paraître trop bien dans mes baskets pour la vie et elle m'a rappelé à l'ordre, elle m'a indéniablement remémorée les règles!

17.15, la veille : Alors que je rentrais de Toulouse, sur l' autoroute « A10 », tout se passait assez bien, je venais de faire une petite pause sur une aire de repos. Certaines avaient des noms assez surprenants comme « Aire de Buzet sur Baiset » ou « Aire de Niqueret » , mais le nom de celle ci ne m'avait pas marqué. Je me souviens juste avoir pris le temps de faire un petit pipi, j'ai grignoté un morceau, toute l'aire était en travaux, construction plein pot avec des ouvriers dignes de leur lignée, ne pouvant s'empêcher de m'interpeller ou de me saluer. J'ai vérifié que le moteur est eu le temps de refroidir un peu et je suis repartie, toute pimpante vers l'île... de Ré, là où je vis! A une cinquantaine de kilomètres de là, juste après le péage de Bordeaux, dans une côte, la voiture s'est mise à fumer. Un épais nuage blanc sortait du pot comme celle qui s'échappe des cheminées d'incinérateur d'usine! Prise de panique, je me suis immédiatement rangée dans la bande d'arrêt d'urgence et bien bécasse que je suis, j'ai appelé mon ex petit copain... C'est avec lui que j'ai acheté la voiture, à un de ses meilleurs amis. On était encore ensemble à l'époque, je faisais encore partie de ses projets, de ses dépenses, j'ai cru bien faire en lui faisant confiance et en prenant cette voiture. N'arrivant pas à joindre l'ami en question, j'ai pensé judicieux de l'appeler lui!

Cela dit, ce n'est pas moi qui ai décidé, à proprement dit, de notre rupture. Il s'est trouvé l'âme chevaleresque de m'envoyer un texto de rupture le jour de mon anniversaire, assez tôt dans la matinée pour que cette mémorable journée, où j'avais 27 ans, se transforme en un souvenir inoubliable,ineffaçable. Moi qui me plaignait de ne pas me rappeler de ce que je faisais pour mes 22 ans, ou pour mes 25, avec une telle mise en scène et un cadeau telle que ma liberté, comment oublier?! Il s'est amouraché d'une jeune fille de 23 ans et a préféré me voir partir. Chose faite en quarante-huit heures et depuis je ne l'ai pas revu. Je l'ai bien eu au téléphone quelques fois mais surtout par le biais de textos, jamais d'appel « on live », rien que des messages. Un an et demi de foutu en l'air et un mois après notre séparation, la douleur n'a pas fini de couler, je n'ai encore rien oublié... Mais voilà, là, j'avais besoin d'un coup de main et c'était la personne appropriée. Il m'a conseillé de ne pas paniquer, d'appeler l'assistance. Logique, même si je n'y avais pas pensé! Il m'a aussi précisé qu'il était en vadrouille et donc pas trop disponible! Moi j'étais en détresse, mais bon, qu'à cela ne tienne, je me débrouillerais une fois de plus sans lui... La fumée sortait aussi du capot de la voiture.

Après avoir raccroché avec le téléphone, j'ai été l'ouvrir mais je ne pouvais rien voir tant le brouillard artificiel était bien fait! Je suis remontée place pilote et j'ai cherché le numéro de l'assistance. Après ma communication avec un de ces pauvres agents «souffre-douleurs» du malheur automobile des autres, il m'a fallu trouver une borne d'arrêt d'urgence pour prévenir de ma panne afin que quelqu'un vienne me chercher, niveau II de cette fabuleuse soirée, le niveau I étant l'inscription avec l'ouverture d'un dossier d'intervention et l'obtention d'un numéro de participation! Je ne sais pas si à ce moment précis la vie s'en est voulue de s'être acharnée une fois de plus sur moi mais je n'ai pas eu deux cents mètres à faire pour trouver la borne, elle était juste derrière l'horizon brumeux. J'ai fermé la voiture après avoir mis les warning, pris mon portable, mon gilet, mon écharpe et le numéro de dossier ouvert par l'assistance pour l'occasion.

Les courants d'air provoqués par les camions et les voitures qui passent me glace, le temps est humide et l'obscurité commence à s'imposer dans le ciel. J'arrive à la borne, j'appuie sur le gros bouton décoloré, entre noir et gris, sûrement à cause de la saleté. Le son et la tonalité de la sonnerie me ferait presque dire que je viens d'appuyer sur le buzzer prévu au déclenchement d'une troisième guerre mondiale. Après deux déclarations de la borne, qu'entend-je : « Gendarmerie nationale, j'écoute » ! Et bien oui, sachez que sur l'autoroute, c'est la gendarmerie qui fait l'intendance. C'est elle qui se charge de vous identifier, vous, votre véhicule, votre problème (donc le mien que j'ai expliqué ), votre emplacement approximatif, votre éventuel besoin d'une dépanneuse, et ce malgré le bruit répétitif, excessif, des trente-trois tonnes qui passent à une allure dépassée! Et puis franchement, est ce vraiment malin de me demander si je nécessite d'une dépanneuse sachant que je venais de lui expliquer l'ambiance film d'horreur de mon moteur. Lorsqu'une panne automobile intervient sur l'autoroute, il n'y a que la gendarmerie qui est susceptible de vous envoyer une dépanneuse car seul eux répondent à la borne de la bande d'arrêt d'urgence. La 180, celle où je me trouvais ou une autre comme la 987, la 222 ou la 666 ! Les gendarmes ont le monopole du marché téléphonique des bornes sur autoroutes... Alors pourquoi ressortir la lame pour la renfoncer de plus belle en me demandant si j'avais besoin d'un remorquage! Cet agent au bout de la borne a quand même réussi à me faire rire. Un de ceux bref mais sincère. Après réflexion, je me demande encore s'il était jaune, nerveux, moqueur ou si ma mutation était achevée et que ce rire n'était, à présent, que satanique. Ma réponse fut équivoque :

- « Hm, évidemment, pourquoi je vous appellerais sinon!
- Oui, il faut compter entre une demie heure et trois-quart d'heure pour avoir la dépanneuse.
- Je vais attendre dans ma voiture. Qu'est ce que je peux faire d'autre!
- Vous avez coupé le moteur?
- Oui, j'ai mis les warning, j'ai coupé le moteur et de toute façon j'ai agis en instinct de survie , je n'allais pas attendre qu'elle explose! Je voudrais juste savoir où je me trouve approximativement.
- Vous êtes sur l'autoroute A10, entre Bordeaux et Paris...
- Non mais, là maintenant, d'où je vous parle, de la borne où je suis, la 180, je suis où? Quelle ville? Quel kilométrage?
- Oui, bah, alors, attendez s'il vous plaît...
- Ben oui!»

Deux bonnes minutes d'attente et ce dans une d'obscurité quasi totale, un bruit infernal presque saoulant et le vent, le froid. Pendant ce temps, les agents spéciaux de la cartographie d'autoroute mettaient tout en oeuvre pour venir à bout de ma fatidique question...

- « Vous êtes à la limite de la ville de Consac, à 126 kilomètres de La Rochelle!
- Hm, bon et bien je vous remercie, au revoir et bonne soirée. »

Je me trouvais coincée dans l'un de ces bleds de campagne, perdue au fin fond du trou du cul du monde, en France, et il fallait que le nom de ce bled commence par CON et se termine par SAC, comme cupidité de cul de sac à la con, on ne pouvait pas faire mieux! De retour dans ma voiture, j'ai constaté qu'il commençait à faire très froid et nuit. Un maximum de trois quart d'heure d'attente, ce n'est pas non plus la mort. Je me suis allumée une cigarette, entre-ouvert la fenêtre qui m'était opposé et j'ai commencé à attendre. En me réveillant, le matin, je pensais pourtant être dans un bon jour. Bon il est vrai que je n'ai pas arrêté de grogner que je ne voulais pas partir quand j'étais encore sur Toulouse. Il est aussi vrai qu'en faisant les niveaux de la voiture avant de partir, j'ai du entendre le mot joint de culasse et fumée blanche sortir de la bouche du vérificateur et qu'au même moment, deux voitures de police constataient d'un accident dans la rue dans laquelle nous étions en train de manoeuvrer sur l'intérieur de mon véhicule. Il n'y avait pas de fumée blanche qui sortait de ma voiture, joint, je comprenais bien ce que cela voulait dire mais la culasse restait assez flou dans mon esprit et le mécano accoutumé à la voiture m'avait rassuré, affirmé que je ferais l'aller-retour sans aucun problème... Je n'ai rien voulu voir, je n'ai pas voulu croire qu'elle me prévenait, je ne me doutais pas que la vie capricieusement excessive se montrerait boudeuse, elle avait pourtant mis toute une signalétique en place! Ou alors, c'est l'être humain, pour ne pas dire «moi», qui est trop égoïste pour être docile et reconnaître les avertissements de cette belle salope qu'est la vie. Elle se moquait bien de moi à me coincer du côté de Consac. Beau jeu de mot digne d'une reine, du haut de son mutisme, elle m'a pouffé cette situation, comme un « battle », envoyé droit dans ma petite tête, pleine de mots, de phrases, de formules, à présent vide d'idées logiques ; penser, écrire, évoquer, se rappeler et le dire... l'expression verbale est mon moteur et je venais de constater que celui de ma voiture était peut-être mort. J'étais écoeurée, il n'y avait plus de mots, que des maux qui me laissaient las et là, c'est à dire nul part, seule , à mon tour muette, avec ma voiture toute cassée...

Je n'ai pas eu a attendre plus de vingt minutes avant de voir débarquer la dépanneuse. Une petite marche arrière et la voilà en position pour commencer le sauvetage. Là aussi, j'ai préféré y voir une chance plus qu'une coïncidence, une sorte de pardon de la vie car le fait de ne pas avoir attendu trop longtemps m'a évité d'avoir à réfléchir, un peu! Sans oublier, autre coïncidence, le peu de distance que j'ai eu a parcourir pour atteindre la borne d'arrêt d'urgence. Je me suis tout de même demandé si la vie n'était obligée par une force supérieure d'agir ainsi, peut-être n'est-elle pas maîtresse, mais esclave de ce caractère capricieux, aux conséquences contrariantes!

En une quinzaine de minutes, nous étions dans le « bureau » du garage de Consac, autrement appelé le hall d'entrée, ce n'est qu'une question de tonalité mais à mes yeux la finalité était la même, une grande pièce à comptoir avec des articles aguichants pour que l'on puisse mieux jouer notre premier rôle de consommateurs amateurs. Moi, dans le moment, j'étais en détresse, alors je ne suis pas tombée dans le panneau marketing , où devrais-je dire l'affiche promo! Paraissant un peu pressé par le temps, le même personnage qui avait effectué le dépannage, le patron, était au téléphone, en attente, essayant de joindre l'assistance. Il avait une réunion professionnelle à laquelle assister et il était déjà en retard ; moi j'étais stressée, c'était bien la première fois que je me retrouvais seule à résoudre un problème où l'on est mieux en le vivant à deux. Là, j'avais peur de ne pas pouvoir être rapatriée, j'avais peur des frais éventuels engagés comme le prix du remorquage, du gardiennage de ma voiture, de ce que l'assurance allait prendre en compte, sans parler des bagages volumineux dans la voiture et aussi de la nuit qui était bien noire maintenant!

Après quelques minutes d'attente, le patron garagiste était toujours en attente et moi en stress... ayant obtenu un numéro de dossier et un numéro de téléphone privilège dans le niveau I, j'ai estimé que c'était le moment de ressortir les infos secrètes de mon informateur à mon nouveau contact ; il raccrocha de son attente téléphonique pour composer le nouveau numéro. Au bout de deux sonneries un agent « souffre-douleurs » décrocha et grâce au numéro de dossier 6365509, en une minute trente, le garagiste avait rempli ces dossiers d'assurance et du coup moi je n'ai rien eu d'autre à payer que mon passage au péage de Bordeaux où je n'avais pas eu d'autre choix que d'attraper le ticket permettant le tour de manège. Bon, estimation acceptable, un taxi arrivait pour me rapatrier sur l'île de Ré, la panne me revenait à 3,80 pour l'instant... Les conséquences de mon égoïste catastrophe restaient très acceptables.

Un petit tour du côté de la « titine », ma voiture, déjà parquée au chaud dans le garage de mon contact. Ouverture du capot, un coup de contact après avoir rempli le récipient de niveau de liquide de refroidissement, situé à droite du moteur. La voiture a démarré au quart de tour et tout avait l'air normal en dehors de la perte du liquide de refroidissement. Une fuite qui aurait causé la surchauffe du moteur? Un moteur à changer? Tout alla très vite ensuite! Toutes ces questions inquiétantes soulevées par le professionnel seront étudiées dés le lendemain matin. Inutile de dramatiser. Le garagiste restait optimiste mais il devait se rendre à sa réunion et mon taxi était déjà là, en train de décharger mon coffre dans le sien. Très opérationnel ce chauffeur, dépanneur, de taxi! Rassurée, je quittais le garage soulagée, les gens m'ont parût professionnels, même si un peu débordés et j'avais un moyen gratuit, dans le genre 407, pour rejoindre l'île ; lieu d'arrivée, normalement prévu sans escale, au départ de mon escapade... Le chauffeur relativement jeune, peut-être un peu moins qu'une trentaine d'année, assez mature et gentil pour me ramener en toute sécurité jusqu'à chez moi. Il me proposa dans un premier temps d'aller chercher un deuxième chauffeur au péage afin que le trajet ne soit pas trop éreintant. Je ne puis qu'accepter et puis cette petite pause me permettrait de fumer ma première cigarette depuis l'attente de quinze minutes dans la voiture, avant que la dépanneuse n'arrive.

Nous étions donc partis, après une petite dizaine de minutes de fignolage. Récupération de mes clés de maison, des derniers sacs dans le coffre de ma voiture, un dernier salue aux personnes qui se sont occupées de moi au garage... Il aura à peine une heure et demi pour me voir déposée au 25 rue des Ormeaux dans ma commune de résidence sur l'île de Ré. Je n'ai pas dormi durant le trajet même si le chauffeur un peu trop sur du confort de sa voiture avait parié sur ma sieste. A ses yeux, cela ne faisait aucun doute, je finirais par m'endormir avant la fin du trajet. Opérationnel et amoureux mon chauffeur de taxi. Pas de moi et bien heureusement, non et merci pour le peu de folie de la vie à ce moment précis, c'est juste que le deuxième pilote nécessaire à la bonne réalisation de la mission était en fait, sa petite amie, bossant dans la même société. N'ayant pas de liquidité en arrivant à mon domicile, je leur proposa de prendre un café, un coca avant de reprendre la route. Je demanda également s'ils avaient faim, puis ils sont repartis.

04.50, ce matin : Même si les plus pragmatiques, ceux des plus sceptiques, même si les
« terre à terre » de scientifiques ne chercheront pas à comprendre pourquoi, malgré eux, je me dis que ce qui rend la vie excessive, ce sont toutes ces coïncidences douteuses, fâcheuses, faucheuses... amusantes, étonnantes, mystérieuses... En ce qui me concerne, le plus surprenant, c'est de voir le peu d'écart temporel entre elles, c'est aussi les significations qui en découlent après coup et le manque d'explications qui persiste de la part des calculateurs d'évènements, surpassés, avec qui j'en discute de temps en temps. Toujours présentes, je les vois de plus en plus souvent sans savoir les analyser au bon moment, sans pouvoir les démystifier. Alors je me contente de les dévoiler, de les dénoncer après coup au cours de discussion, seul soulagement pour ne pas devenir soit disant paranoïaque, pour ne pas entendre cette question à laquelle je réponds toujours avec franchise, même si j'ai peur de paraître folle : penses-tu vraiment ce que tu dis?!
Question
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Message  Nilo Lun 29 Mar - 9:03

Ca se lit facilement (je l'ai lu une première fois hier et y suis revenu aujourd'hui pour te le dire) mais c'est peut-être le reproche que je lui ferais...
Trop "récit" pour mon goût, énumération de faits. Donc un peu froid et plat pour moi.

Nilo, panne d'émotion.

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Message  Batsie Lun 29 Mar - 9:49

Ce récit n'aura créé aucun rictus au niveau des lèvres ? Je ne parle pas de grimaces bien sur ... Panne d'émotion ... Il n'en n'est pas vide quand même? Crying or Very sad
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Message  Zlatko Lun 29 Mar - 10:01

Outre de petites maladresses dans la syntaxe (d'expression, ou de temps) qui restent rares, je suis d'accord avec Nilo... Ce n'est pas désagréable à lire, mais... imagine que je te raconte que ce matin, je me suis brossé les dents, j'ai pris une douche, et que je me suis même séché les cheveux avant de manger deux tranches de jambon... Tu ne trouverais pas ça désagréable mais tu n'y trouverais pas un grand intérêt littéraire.
Surtout que tu nous raconte une grosse galère qui n'a pas dû être agréable à vivre, et lorsqu'on lit une prose on a plutôt envie de rêver que d'assister à des emmerdements du quotidien.

A te lire !

Z.
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Message  Batsie Mar 30 Mar - 11:04

Merci d'avoir pris le temps... même si lire, penser, écrire reste notre quotidien!
Justement, tu soulèves là un de mes problèmes...
Mon inspiration, mon style, transpire mon quotidien, mes mots sont l'assemblage du passé, d'un présent et les espoirs de meilleurs lendemains.
Alors, quand Lalou me flatte d'être l'un de vos auteurs, je trouve en moi une modestie qui me dit que ce que j'écris, ici ne conviendrait pas. Je ne crois pas être une plume littéraire et ce même si j'aime lire et écrire...

Bah, trop de questions inutiles peut-être

Hauts les coeurs, à jamais corps et âmes!
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Message  Nilo Mar 30 Mar - 12:10

Ici (sur MAcadam) tout ou presque est susceptible de convenir et d'être publié.
Et ce que tu écris fait partie de ce qui peut l'être.
Les lecteurs feront le reste.

Nilo, porte ouverte.

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Message  Ratoune Mar 30 Mar - 12:49

Pour l'instant je reste au tout début, quand " la vie paraît excessive " voilà une affirmation qui me plaît, je reste à côté d'elle, pour en garder la saveur. Smile
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