Derniers sujets
Statistiques
Nous avons 448 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est Marine8316
Nos membres ont posté un total de 56957 messages dans 10922 sujets
Ces êtres de l'invisible
4 participants
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
Ces êtres de l'invisible
Ces êtres de l'invisible
Ces êtres qui sont venus un soir me bouleverser
Dans tous mes rêves que j'avais merveilleux
Ils me sont apparus et sont venus m'assiéger
En effaçant à cet instant mes moments heureux
Je marchais lentement dans une longue rue
Sous un ciel gris, un ciel fantomatique et noir
De mes yeux , je ne voyais rien tout avait disparu
Ils étaient tous là, mais je ne pouvais les voir
Courant à perdre haleine pour vaincre mes peurs
Un souffle fort je ressentais et il était puissant
Il venait de créé la terreur tout était de frayeurs
je ne savais plus ou je me dirigeais dés ce moment
Un mur gigantesque se dressait là, droit devant
Mais, je n'étais pas encore devenu un passe-muraille
Je ne pouvais pas m'échapper car saisis brusquement
J'étais pris dans ce filet tisser de leurs minces mailles
Ces monstres terribles devant moi, ces bicéphales
Criant, vociférant chacun leur tour à qui mieux-mieux
Rendant mon âme folle dans une infernale pagaille
Changeant en moi les instants ou j'étais heureux
Tenter de fuir n’importe, mais ne pouvant m'arrêter
Entendre ces bruits qui rendaient la nuit lugubre
Je restais là, figer tant la hantise me submergeais
Tous s'approchaient de moi ces diables, ces succubes
De leurs yeux exorbitants, la lumière me paralysais
Sans pouvoir faire un geste sans me défendre
Ils étaient tous là, m'entouraient, je suffoquais
Et dans l’incroyable panique venaient me prendre
Ces êtres m'accrochaient de leurs longues tentacules
Me broyant corps et âme me prenais, m'emportais
Vers des lieux ou disparaissent les petites particules
De mon esprit, ce qui restait maintenant s'envolait
Plus aucune sensation, il y avait à présent que le vide
Je ne voyais plus rien devant moi à part quelques nues
Ces monstres me poussais loin et je partais à la dérive
Dans ces lieux très lointains, la vallée des pendus
Dans ces alvéoles se promenaient des êtres difformes
Qui gesticulaient, se lamentaient, féroces, ils criaient
D'autres monstres flasques attendaient à la porte
Tous ces ectoplasmes maintenant m'entraînaient
Vers la descente vertigineuse aussi loin que l'abîme
Ou je tombais sans en voir ni son immensité, ni la fin
Suivit par ces étranges, bêtes cornues et squelettiques
Ils se battaient pour pouvoir saisir tous mes mains
Il y en avait partout autour de moi, une multitude
Crocs acérés me mordais de leurs mâchoires puissantes
Mon corps se disloquait en ressentant ces morsures
Jusqu'à ce que mes yeux se ferment dans le néant
Très loin, j'entendais encore quelques cris des âmes
Ces hurlements se répandaient dans cet univers de folie
Elles se lamentaient sans discontinuer dans leurs affres
Ce monde des ténèbres ou les pensées étaient morbides
J'aurais bien aimé fuir mais prisonniers de mes frayeurs
Hélas! Ils s'empressaient de m'envelopper complètement
De leur matière visqueuse d'où s'exhalait une puanteur
Me disséquant en être de poussières souffler par le vent
Je n'étais plus un mortel mais comme eux un immonde
Tout ce qui était moi auparavant avait bien disparu
Je traversais les galaxies, les nébuleuses à la ronde
Dans ces endroits fantomatiques, je n'existais plus
De cette vie antérieur qui venait maintenant de passer
Perdu dans cet infini ou les âmes sont mourantes
Mes rêves dissous avec lesquels, je n'ai jamais vécus
Des sommeils cauchemardesques, j'étais devenu un moribond
Tungaten
Ces êtres qui sont venus un soir me bouleverser
Dans tous mes rêves que j'avais merveilleux
Ils me sont apparus et sont venus m'assiéger
En effaçant à cet instant mes moments heureux
Je marchais lentement dans une longue rue
Sous un ciel gris, un ciel fantomatique et noir
De mes yeux , je ne voyais rien tout avait disparu
Ils étaient tous là, mais je ne pouvais les voir
Courant à perdre haleine pour vaincre mes peurs
Un souffle fort je ressentais et il était puissant
Il venait de créé la terreur tout était de frayeurs
je ne savais plus ou je me dirigeais dés ce moment
Un mur gigantesque se dressait là, droit devant
Mais, je n'étais pas encore devenu un passe-muraille
Je ne pouvais pas m'échapper car saisis brusquement
J'étais pris dans ce filet tisser de leurs minces mailles
Ces monstres terribles devant moi, ces bicéphales
Criant, vociférant chacun leur tour à qui mieux-mieux
Rendant mon âme folle dans une infernale pagaille
Changeant en moi les instants ou j'étais heureux
Tenter de fuir n’importe, mais ne pouvant m'arrêter
Entendre ces bruits qui rendaient la nuit lugubre
Je restais là, figer tant la hantise me submergeais
Tous s'approchaient de moi ces diables, ces succubes
De leurs yeux exorbitants, la lumière me paralysais
Sans pouvoir faire un geste sans me défendre
Ils étaient tous là, m'entouraient, je suffoquais
Et dans l’incroyable panique venaient me prendre
Ces êtres m'accrochaient de leurs longues tentacules
Me broyant corps et âme me prenais, m'emportais
Vers des lieux ou disparaissent les petites particules
De mon esprit, ce qui restait maintenant s'envolait
Plus aucune sensation, il y avait à présent que le vide
Je ne voyais plus rien devant moi à part quelques nues
Ces monstres me poussais loin et je partais à la dérive
Dans ces lieux très lointains, la vallée des pendus
Dans ces alvéoles se promenaient des êtres difformes
Qui gesticulaient, se lamentaient, féroces, ils criaient
D'autres monstres flasques attendaient à la porte
Tous ces ectoplasmes maintenant m'entraînaient
Vers la descente vertigineuse aussi loin que l'abîme
Ou je tombais sans en voir ni son immensité, ni la fin
Suivit par ces étranges, bêtes cornues et squelettiques
Ils se battaient pour pouvoir saisir tous mes mains
Il y en avait partout autour de moi, une multitude
Crocs acérés me mordais de leurs mâchoires puissantes
Mon corps se disloquait en ressentant ces morsures
Jusqu'à ce que mes yeux se ferment dans le néant
Très loin, j'entendais encore quelques cris des âmes
Ces hurlements se répandaient dans cet univers de folie
Elles se lamentaient sans discontinuer dans leurs affres
Ce monde des ténèbres ou les pensées étaient morbides
J'aurais bien aimé fuir mais prisonniers de mes frayeurs
Hélas! Ils s'empressaient de m'envelopper complètement
De leur matière visqueuse d'où s'exhalait une puanteur
Me disséquant en être de poussières souffler par le vent
Je n'étais plus un mortel mais comme eux un immonde
Tout ce qui était moi auparavant avait bien disparu
Je traversais les galaxies, les nébuleuses à la ronde
Dans ces endroits fantomatiques, je n'existais plus
De cette vie antérieur qui venait maintenant de passer
Perdu dans cet infini ou les âmes sont mourantes
Mes rêves dissous avec lesquels, je n'ai jamais vécus
Des sommeils cauchemardesques, j'étais devenu un moribond
Tungaten
Tungaten- MacaDeb
- Messages : 21
Date d'inscription : 20/04/2010
Re: Ces êtres de l'invisible
Dans le cadre de Mon Concours pour moi tout seul j'ai décidé de pas me poser de questions, et tant pis si ça va pas faire ressortir que des trucs brillants...
Mais on sait jamais, peut-être que des perles ont échappé à l'œil acéré des promeneurs du Macadam.
Dédé.
Mais on sait jamais, peut-être que des perles ont échappé à l'œil acéré des promeneurs du Macadam.
Dédé.
_________________
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: Ces êtres de l'invisible
Je sais qu'un rêve est toujours difficile à partager .
tu as partagé celui si et je t'en remercie .
Même pas eu peur
Au plaisir de te lire encore
tu as partagé celui si et je t'en remercie .
Même pas eu peur
Au plaisir de te lire encore
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Aujourd'hui à 8:55 par Io Kanaan
» Manoir-forteresse
Hier à 9:01 par Io Kanaan
» Grandeur d’un ambipachyderme
Dim 24 Nov - 9:30 par Io Kanaan
» Marin d’eau douce
Sam 23 Nov - 8:56 par Io Kanaan
» Planète anodine
Jeu 21 Nov - 9:46 par Io Kanaan
» Monstre vert
Mer 20 Nov - 9:07 par Io Kanaan
» Lézard vaillant
Lun 18 Nov - 9:50 par Io Kanaan
» Branche fossile
Dim 17 Nov - 9:05 par Io Kanaan
» Flamme grise
Sam 16 Nov - 8:59 par Io Kanaan