Revenants

J'ai retrouvé un vieux texte, je l'ai corrigé un peu parce que c'était assez pitoyable.
Bon, par contre, c'est assez personnel même si ça n'a rien d'original (malheureusement) et loin de moi l'envie de m'exhiber puisqu'ici, l'anonymat demeure.




Revenants

Voici donc les orties qui feront vos prurits,
votre choix d'ignorer qu'au delà de la brique
les sanglots de marmots confinés au cellier
sans succès s'efforcèrent, à travers les volets,
d'alarmer, gémissant, la chaussée, les passants.

"Je toucherais le salaire de nos années perdues :
le loquet est tourné, allez tous vous faire foutre."

J'ai vidé mon plastron des pitiés, du pardon ;
je battrai vos gamins à grandes pluies d'hématomes,
dépraverai de mes mains ce qui fit d'eux des mômes.

Toujours difficile d'adhérer.
Mais est-ce vraiment important.
Tu as des choses à dire, tu les dis, plutôt bien.

Nilo, eyes wide shut (*).

la resiliance , ça existe.

..et j'ajoute tout de même que tu as bien fait de le publier.
, parce que oui, à mon avis, c'est plutot bien dit et que non, ça fait pas du tout "étalage."

Merci de ta gentillesse en conversation privée, Lalou, je t'avais dit que je te répondrais, je n'ai rien trouvé à répondre jusqu'ici.

Mais en fin de compte, je ne suis pas sûr que ce texte signifie aussi clairement les choses que pour moi et au vu du manque de réaction, je suppose que je me souciais de quelque chose qui n'aurait pas de susciter mon inquiétude.

Quand à la résilience, c'est un travail de longue haleine, travail dans lequel la fréquentation de psys se fait incontournable... et je n'ai pas énormément de sympathie pour eux, j'(en ai peut être trop vus.

Ecris!