La femme géante

Je me suis réveillé près d’une femme géante,
Disproportionnée.
Je pensais être allongé sur son ventre mais ce n’était
Qu’un de ses seins ;
Afin de pouvoir distinguer ce corps dans son immensité,
Debout sur ses pieds
J’observais, plissant les yeux pour rapetisser ma vision hallucinante :
Un corps sans fin.

M’arrêtant sur une de ses pupilles irréelles, vaste comme le ciel
Envoûtante.
L’horizon m’attend, je suis prêt à plonger dans la nuit noire
Sans entraves.
Elle a fermée ses yeux m’arrachant, à mon état d’esclave charnel,
A ma chute lente.
Sa bouche s’entrouvrit alors et un souffle chaud m’envoya choir
Dans l’écho d’une voix suave.

Halluciné de cette femme bien trop grande pour moi je remonte,
Et me hisse,
De ses pieds je commence le parcours, avançant à tâtons sur une peau de velours ;
A l’odeur de miel.
A mesure que j’avançai et prenant de l’assurance, oubliant la honte,
Des prémices ;
Mon corps se ravivait, se gonflait tout entier encensé par l’air au parfum d’amour
Qui ensorcèle.

Traversant son sexe immense et chaud de manière spontanée,
Le regard franc.
J’étais à présent à sa hauteur, ni fier, ni heureux, juste bien.
Nous sommes égaux.
Nos yeux comme nos jambes s’entremêlèrent comme les racines d’un arbre sacré.
Imposant.
Mes lèvres se posèrent sur les siennes, l’oiseau rejoint son nid par instinct ;
Les yeux clos.

C'est assez fouillis mais je retiens l'idée que cette femme, qui au début te semble géante, et finalement est à ta mesure, puisque tu l'as conquise, qu'elle ne te parait plus inaccessible. Cependant tu conclue avec l'image e cet oisillon qui retourne au nid, étonnant, non ? ^^
ça m'a fait penser à la chanson de Nougaro sur la statue de la liberté.
Au fait, tu pourrais pas dire à ton cheval d'arrêter de galoper quand je suis en train de lire, parce que ça donne le tournis
Ciao sprandell

Messaline

c'est vrai que c'est bordélique, j'ai du mal à écrire des choses nettes. pourtant ça fait partie de mes résolutions (y'a du taf)
l'image de l'oiseau était pour signifier une chose qui est des plus naturelles, du genre: quoique que je fasse, c'était obligé que ça se finisse comme ça. C'est confus non?
Bon je dois travailler à tout ça;.
Merci de ton passage marine.
Mon cheval, il m'écoute pas, je crois qu'il est sourd^^.
A +.

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Nilo, c'est fait.

Macadam, on a rétréci Spandrell !!!