Un jour, j'aurais voulu...

J'aurais voulu être...
Ne plus enfouir mes rêves
Ne plus pleurer en silence
sur des mots qui ne savaient venir

Ils se tordent dans les contour de ma tête
Ils se bousculent sans respect
Au coeur de ma peau

J'aurais voulu être un talent
Et que mon père m'applaudisse.

Sylvie

Sylvie a écrit:J'aurais voulu être un talent
Et que mon père m'applaudisse.

Sylvie

Nilo, moi j'ai de la chance...
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PS. Mais pourquoi dans le vide-poche et pas dans les poèmes ?

Salut de passage

...argh....


touché coulé!

Pourquoi ce texte a-t-il eu aussi peu d'écho ?
Peut-être que le Mur à Dédé en le remettant à une plus juste place lui donnera une nouvelle chance.

Nilo, bravo.

On l'espère tous ce regard brillant de fierté venant de celui qui nous aime...

Peut être parce que ce n'est juste qu'un vide poche Nilo mais merci de ton passage, merci au mur et à Océane la petite fée de Macadam.

Sylvie

Juste un mot en passant pour me réjouir de ce Printemps de la Prose qui m'a donné l'occasion de relire ce beau texte.

Nilo, un jour peut-être.

Beau texte c'est vrai! ^^

Sasvata, dans l'oeil de l'autre

Vraiment pour ça

J'aurais voulu être un talent
Et que mon père m'applaudisse.

Bien que parfois être un talent n'aurait rien changé, puisque être tout court ne suffit pas.

comme mes prédécesseurs, frappé par la chute de ton texte,
émouvante et universelle.
Beaucoup de choses en peu de mots.

Très beau texte que j'ai aimé découvrir, comme une lueur dans ces heures les plus noires.

Z.

J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Quinzième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...

Dédé.