Pouvoir d'Ombre

De cette vie qui défile sous nos yeux endormis, j’en imaginerais un monde.
Un Univers tout autre, où l’eau et le sang se mélange dans l’air.
Je n’aime pas l’amour. Ni l’équité. Ni le droit. Ni le bien.
Je ne suis pas là pour ça. Tout ce que je veux c’est détruire ce que la haine des Hommes a crée de plus infâme. L’Homme en quête de pouvoir.
La rage dans leurs cœurs, quand dans un soir d’hiver, ils assassinent des peuples, pour s’élever au-dessus d’un tas de cendres gris.
Ce n’est pas tant le froid qui me fait peur. Ni la chaleur de la pluie. Mais ton regard brûlant.
Parce que tu leur ressembles, quand tu me regardes.
Et je n’aime pas ça.
Tu es différent. Je suis différente. Nous sommes tous différents d’eux.
T’en rends-tu bien compte ?
Laisse-moi en douter.
Parce que la Vie parfois nous paraît bien pâle. Ce n’est pas le vice, qui la rendra meilleur.
Au beau milieu d’une nuit de juillet, alors que la chaleur et le soleil enivrent, tu te déshabilles.
Le péché de la chair ne te rendra pas meilleur.
Si ton corps fiévreux se colle au mien, tu ne te sentiras pas plus fort.
Simplement mieux.
Heureux de sentir, que finalement, la richesse ne te désire pas.
C’est toi qui la convoites.
Tu te rendras compte, que mes yeux sur ton corps, ne sont pas ceux des soldats qui s’en vont.
Je n’ai pas de détresse dans le mien.
Observe-les ! Tous courbé dans l’âme, sous un poids qui leur pèse, mille fois plus que le fruit trop mûr sur une branche morte.
Regarde-les ! Ne vois-tu pas leurs larmes ? N’entends-tu pas les cris des femmes ?
Vois-tu le visage des enfants calcinés par le sang qu’ils déversent ?
Imagines-tu leurs lames écorchées, traçant des rivières sur les joues des violées ?
Non tu ne comprends pas tout ça.
Alors écoute-moi, grand guerrier.
Cesse de courir après une trop grande estime qui te rendrait comme eux.
Vient. Et partons tous les deux.
Et si tu refuses… Alors tu mourras, et je mourrai avec toi.

Pardonne moi mais je n'ai pas ressenti grand chose dans ton texte. Pas d'émotion, et pourtant le sujet s'y prête.
Et puis quelques maladresses comme
Au beau milieu d’une nuit de juillet, alors que la chaleur et le soleil enivrent
auxquelles se mêlent quelques fautes que tu pourrais corriger sans mal avec une bonne relecture.
Mais ca ne m'empêchera pas de continuer à te lire dans l'attente de jours meilleurs.

Nilo, wait and read.

Missing

Nilo, ce qui est fait n'est plus à faire.