Impaie et manque

Hum...Qu'est-ce que tu nous dis là "tite fleur" ? Y a un casino à Ittre ? Impair , passe et manque c'est pas la bonne formule et puis ...demain la donne change, il parait que c'est l'été et il va faire beau ! Compliments. LOUP.

Le soleil est la, à l'heure.

Avec tes mots aussi au rendez vous.

Il n'y a que le "déverrouillant" qui m'a gêné pendant la lecture de ton texte... Sinon, j'ai toujours été transporté aussi loin. J'aime beaucoup ta plume, et j'aime te lire, elle me rapproche ce qui me manque à moi aussi...
Merci.

Tu sais que j'aime te lire quand tu es accessible.
Et depuis quelques textes tu me gâtes.
Alors, ENCORE.

Nilo, j'aime.

Merci à vous de votre passage sage.

Sylvie

ça finit par "je t'ai manqué"
j'ai envie de dire, toi tu nous manques très vite aussi^^

Le chant (lexical) du croupier : "les jeux sont faits... Rien ne va plus !" pour tenter de tourner ton malaise au ridicule et noyer ton chagrin... c'est très émouvant !
Tu sais ce qu'on dit : malheureux au jeu, heureux en amour !

Dam, l'exception qui ne confirme pas la règle.

Charge émotive et prégnance du rythme, j'aime ça.

Un de tes meilleurs textes ma Belle !
Pour moi...

Tu sais pourquoi je dis cela ! ;-)


H.

En vue une tempête de cils noirs
sous le gris de mon miroir brisé
un soleil lassé et délavé

J'ai pris plaisir à lire ton texte dans son intégralité même si j'ai un petit coup de coeur pour ce passage.

RiorimiroiR, charmée

Merci à vous tous...mais ne vous habituez pas trop à ce genre de poème qui chez moi n'est toujours que passagé!


Sylvie

Un ton nouveau chez Sylvie, un ton d'automne en avance.

J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Douzième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...

Dédé.

Tu sais ouvrir comme personne le grimoire de notre nostalgie.
Avec délicatesse, jeu et larmes de recul