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L’enfant et le Prince (Parodie)
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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L’enfant et le Prince (Parodie)
L’enfant et le Prince (Parodie)
Quand il aperçut le chalet, le Prince eut un pincement au cœur.
« Sauvé, Sauvé en criant « Je suis sauvé! »
Le prince s’approche en (sifflotant, le cœur battant) Il était réjoui! Enfin…un abri ! Il n’ose entrer, attendant. Ému, ne sachant ce qui l’attendait à l’intérieur.
Soudain, un petit enfant sortit et lui rit au nez.
« Mais pourquoi ris-tu ? » Lui demanda le Prince.
Je ne pourrais te le dire… Pourtant il le faut… Tes vêtements ne sont pas ceux d’un Prince.
Tu oserais dire que je ne suis pas un Prince.
Ce n’est pas cela, mais c’est bien la première fois que je vois un Prince habillé en princesse. Je ne t’imaginais jamais de cette façon. Peut-être les temps ont-ils bien changé…
Non, Non, les princes sont toujours habillés de cette façon maintenant.
Dieu que vous me contrariez !
Tant que ça ?
Moi, je trouve que tu parles beaucoup !
Je ne lâche jamais le morceau !
Quel langage !
Que cela ne vous déplaise, je suis bien ainsi.
Il y eut un silence presque morbide…
C’est le prince qui le rompt :
Je ne vous insulte point.
Il était une fois…
Comment ? Vous ridiculisez mon accoutrement ?
L’enfant, se mit à rire.
Oh non ! Oh non ! Mais c’est drôle !
Peut-être avez-vous appris que de rire de son prochain n’était pas toujours à son avantage!
Eh ! bien : Ne vous offusquez pas, si vous gonflez encore votre orgueil vous allez éclater.
C’est un comble : Moqueur en plus :
Pas du tout petit Prince, j’ouvre les yeux et je te vois rougir comme un pavot.
Comment ? C’est seulement du fard ! Que j’ai sur les joues!
C’est bien ce que je disais, tu es déguisé en princesse.
Non, Non, je suis vraiment un prince, je suis charmant, mais c’est navrant que tu ne puisses me comprendre.
Hélas! Je te comprends mais pourquoi te défends-tu ? Qu’elle mouche t’as piqué ? Tu rages comme un lion.
Le Prince commençait à faire battre son tempérament. Mais l’enfant redevint tout à coup sérieux.
Ne te fâche pas, tu vas y entrer dans cette maison.
Le Prince à part lui :
Il était temps ! Ce faire traiter par un petit nabot quelle disgrâce pour un prince.
N’oublie pas de t’essuyer les pieds, la maison est propre.
Ah ! Ça alors ! Se faire dire des choses pareilles et cela par un enfant !
Viens maintenant et ouvres bien les yeux, vois ce qu’il y a dans mon salon.
Le prince entre et en voyant le spectacle, en devint tout étourdi.
Et qui plus est devant cette image son fard blanchit !
Vous êtes malade ? Demanda l’enfant ?
Ce que voyait le prince dépassait son imagination: Le roi son père, déguisé pour cette occasion en mendiant, il était là avec tous les seigneurs de sa cour déguiser eux aussi pour la circonstance en gens du peuple. Des filles du peuple étaient là, allongées à coté d’eux, des faux-cils, les jupes fendues sur le côté, du fard qui colorait les joues, du rouge à lèvres qui ne laissait voir ni les lèvres ni leur forme, les cheveux en broussaille ornaient ces charmantes demoiselles qui étaient dans des poses lascives qui ne laissaient aucune place à l’imagination ?
Le Prince recouvra l’usage de la parole :
Eh bien ! Si je m’attendais à tout cela.
L’enfant le regarde d’un air candide cela n’est rien, je t’ai réservé une surprise.
Je ne serai plus surpris de rien, je pense avoir tout vu !
Alors, attends une petite minute…
Et donnant un grand coup de sifflet … descendant d’un minuscule escalier une longiligne jeune fille tout habiller de mauve lui apparut, les cheveux teinter d’un rouge chinois, de grandes boucles d’oreilles rondes comme des anneaux frappaient ses joues tellement elle se déhanchait.
Le Prince n’en revenait pas. Pour une surprise cela en était une…
L’enfant :
Je l’avais réservée au mendiant que tu vois là étendu, mais puisque tu es mon invité, je te la laisse pour un tout petit montant, tu peux la prendre pour une heure, mais dépêche-toi le temps presse, j’ai une vie à gagner.
La demoiselle s’avança et fixa le Prince de ses yeux de braise :
Allons mon grand, tu ne me reconnais pas ? Mais voyons regarde-moi bien ! Je suis la princesse !
Quoi ? Toi, la princesse ? Mais c’est de la folie !
La princesse s’impatiente :
Allez viens ! Ce ne sera pas long, J’ai d’autres chats à fouetter !
Allons, dépêche-toi ! N’ai pas peur.
Le Prince ne savait pas s’il devait avancer ou reculer.
L’enfant, qui avait suivi la scène, intervint :
Il ne te reste qu’une petite demi-heure.
Le Prince prend son courage à deux mains et d’un élan saute au cou de la princesse. Il l’embrasse et lui murmure à l’oreille :
Est-ce que nous allons nous marier?
Peu de temps après. Le Prince et la princesse redescendent de la chambre sans un seul mot
Pourtant le Prince avait quelque chose à demander à l’enfant et s’approchant de lui, lui demanda doucement
Comment s’appelle cette maison étrange et tellement bizarre ?
L’enfant prend alors un air solennel et très sérieux :
« AU CHÂTEAU MAUDIT »
Le Prince et la princesse partirent. Et plus tard, (beaucoup plus tard !) Ils se marièrent mais… n’eurent jamais d’enfant.
Tungaten
N.B : Tout ceci n’est que pure imagination et fantaisie, soit avec les personnages et les lieux, la réalité ne seraient que pure coïncidence ou fortuite.
Quand il aperçut le chalet, le Prince eut un pincement au cœur.
« Sauvé, Sauvé en criant « Je suis sauvé! »
Le prince s’approche en (sifflotant, le cœur battant) Il était réjoui! Enfin…un abri ! Il n’ose entrer, attendant. Ému, ne sachant ce qui l’attendait à l’intérieur.
Soudain, un petit enfant sortit et lui rit au nez.
« Mais pourquoi ris-tu ? » Lui demanda le Prince.
Je ne pourrais te le dire… Pourtant il le faut… Tes vêtements ne sont pas ceux d’un Prince.
Tu oserais dire que je ne suis pas un Prince.
Ce n’est pas cela, mais c’est bien la première fois que je vois un Prince habillé en princesse. Je ne t’imaginais jamais de cette façon. Peut-être les temps ont-ils bien changé…
Non, Non, les princes sont toujours habillés de cette façon maintenant.
Dieu que vous me contrariez !
Tant que ça ?
Moi, je trouve que tu parles beaucoup !
Je ne lâche jamais le morceau !
Quel langage !
Que cela ne vous déplaise, je suis bien ainsi.
Il y eut un silence presque morbide…
C’est le prince qui le rompt :
Je ne vous insulte point.
Il était une fois…
Comment ? Vous ridiculisez mon accoutrement ?
L’enfant, se mit à rire.
Oh non ! Oh non ! Mais c’est drôle !
Peut-être avez-vous appris que de rire de son prochain n’était pas toujours à son avantage!
Eh ! bien : Ne vous offusquez pas, si vous gonflez encore votre orgueil vous allez éclater.
C’est un comble : Moqueur en plus :
Pas du tout petit Prince, j’ouvre les yeux et je te vois rougir comme un pavot.
Comment ? C’est seulement du fard ! Que j’ai sur les joues!
C’est bien ce que je disais, tu es déguisé en princesse.
Non, Non, je suis vraiment un prince, je suis charmant, mais c’est navrant que tu ne puisses me comprendre.
Hélas! Je te comprends mais pourquoi te défends-tu ? Qu’elle mouche t’as piqué ? Tu rages comme un lion.
Le Prince commençait à faire battre son tempérament. Mais l’enfant redevint tout à coup sérieux.
Ne te fâche pas, tu vas y entrer dans cette maison.
Le Prince à part lui :
Il était temps ! Ce faire traiter par un petit nabot quelle disgrâce pour un prince.
N’oublie pas de t’essuyer les pieds, la maison est propre.
Ah ! Ça alors ! Se faire dire des choses pareilles et cela par un enfant !
Viens maintenant et ouvres bien les yeux, vois ce qu’il y a dans mon salon.
Le prince entre et en voyant le spectacle, en devint tout étourdi.
Et qui plus est devant cette image son fard blanchit !
Vous êtes malade ? Demanda l’enfant ?
Ce que voyait le prince dépassait son imagination: Le roi son père, déguisé pour cette occasion en mendiant, il était là avec tous les seigneurs de sa cour déguiser eux aussi pour la circonstance en gens du peuple. Des filles du peuple étaient là, allongées à coté d’eux, des faux-cils, les jupes fendues sur le côté, du fard qui colorait les joues, du rouge à lèvres qui ne laissait voir ni les lèvres ni leur forme, les cheveux en broussaille ornaient ces charmantes demoiselles qui étaient dans des poses lascives qui ne laissaient aucune place à l’imagination ?
Le Prince recouvra l’usage de la parole :
Eh bien ! Si je m’attendais à tout cela.
L’enfant le regarde d’un air candide cela n’est rien, je t’ai réservé une surprise.
Je ne serai plus surpris de rien, je pense avoir tout vu !
Alors, attends une petite minute…
Et donnant un grand coup de sifflet … descendant d’un minuscule escalier une longiligne jeune fille tout habiller de mauve lui apparut, les cheveux teinter d’un rouge chinois, de grandes boucles d’oreilles rondes comme des anneaux frappaient ses joues tellement elle se déhanchait.
Le Prince n’en revenait pas. Pour une surprise cela en était une…
L’enfant :
Je l’avais réservée au mendiant que tu vois là étendu, mais puisque tu es mon invité, je te la laisse pour un tout petit montant, tu peux la prendre pour une heure, mais dépêche-toi le temps presse, j’ai une vie à gagner.
La demoiselle s’avança et fixa le Prince de ses yeux de braise :
Allons mon grand, tu ne me reconnais pas ? Mais voyons regarde-moi bien ! Je suis la princesse !
Quoi ? Toi, la princesse ? Mais c’est de la folie !
La princesse s’impatiente :
Allez viens ! Ce ne sera pas long, J’ai d’autres chats à fouetter !
Allons, dépêche-toi ! N’ai pas peur.
Le Prince ne savait pas s’il devait avancer ou reculer.
L’enfant, qui avait suivi la scène, intervint :
Il ne te reste qu’une petite demi-heure.
Le Prince prend son courage à deux mains et d’un élan saute au cou de la princesse. Il l’embrasse et lui murmure à l’oreille :
Est-ce que nous allons nous marier?
Peu de temps après. Le Prince et la princesse redescendent de la chambre sans un seul mot
Pourtant le Prince avait quelque chose à demander à l’enfant et s’approchant de lui, lui demanda doucement
Comment s’appelle cette maison étrange et tellement bizarre ?
L’enfant prend alors un air solennel et très sérieux :
« AU CHÂTEAU MAUDIT »
Le Prince et la princesse partirent. Et plus tard, (beaucoup plus tard !) Ils se marièrent mais… n’eurent jamais d’enfant.
Tungaten
N.B : Tout ceci n’est que pure imagination et fantaisie, soit avec les personnages et les lieux, la réalité ne seraient que pure coïncidence ou fortuite.
Tungaten- MacaDeb
- Messages : 21
Date d'inscription : 20/04/2010
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