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NIANING, SENEGAL, ANNEES 80…



…L’histoire vécue que je vous raconte, trouve son origine dans l’intérêt que j’ai toujours porté à l’Afrique Noire et à ses traditions. Certes mon arrivée, mon implantation au Sénégal, dans cette région ne fut pas que le fruit du hasard ou du destin. Elle fut aussi pensée, et très organisée et en famille. Mon épouse Mathilde et nos deux enfants Christian et Isabelle furent du voyage et de l’aventure, commençait en 1974.Mais reprenons notre récit, au lendemain de la visite de Wabili Camara. Dés le matin nous fûmes réveillés par des battements sourds de tambours (tam-tam sabars) qui venaient du village de Nianing. Les amis d’Isidore nous informaient que les féticheurs Casamançais,avaient déja organisés,leur délicate enquête. "Le rôle premier du féticheur est de découvrir l’action néfaste du sorcier" J’attendis ce jour-là avec impatience, l’arrivée de Wabili, que je savais chez lui, concentré, entrain de prier, et de confectionner les précieux gris-gris protecteurs, sortes de talismans…
Cela faisait longtemps d’après ce que disait notre personnel, que des événements de ce genre, la présence secrète de sorciers, ne s’était produit dans la région.En réalité, quand il y avait un décès suspect, comment pouvait-on savoir s’il n’était pas d’origine maléfique ? Wabili le féticheur,mon ami,arriva enfin au domaine vers midi…



Marc Tremsal

NIANING, SENEGAL, ANNEES 80


…L’histoire vécue que je vous raconte, trouve son origine dans l’intérêt que j’ai toujours porté à l’Afrique Noire et à ses traditions. Certes mon arrivée, mon implantation au Sénégal, dans cette région de la petite côte, ne fut pas que le fruit du hasard ou celui du destin. Elle fut aussi pensée, et très organisée et en famille. Mon épouse Mathilde et nos deux enfants Christian et Isabelle furent du voyage et de l’aventure de Nianing, qui devait commencer en 1974... Mais reprenons notre récit, au lendemain de la visite de Wabili Camara. Dés le matin nous fûmes réveillés par des battements sourds de tambours (tam-tam sabars) qui venaient du village de Nianing. Les amis d’Isidore nous informé que les féticheurs Casamançais,

avaient déja organisés, leur délicate enquête. Le rôle premier du féticheur est de découvrir l’action néfaste du sorcier. J’attendis ce jour-là, avec impatience l’arrivée de Wabili, que je savais concentré, chez lui, entrain de prier, et de confectionner les gris-gris protecteurs, sortes de talismans…Cela faisait longtemps d’après ce que disait le personnel du Domaine, que des événements de ce genre, la présence secrète de sorciers, ne s’était produit dan cette région.En réalité, quand il y avait un décès suspect, comment pouvait-on savoir s’il n’était pas d’origine maléfique ? Wabili le féticheur,mon ami, arriva enfin au domaine vers midi…



Marc Tremsal

NIANING, SENEGAL, ANNEES 80…



…L’histoire vécue que je vous raconte, trouve son origine dans l’intérêt que j’ai toujours porté à l’Afrique Noire et à ses traditions. Certes mon arrivée, mon implantation au Sénégal, dans cette région de la petite côte,ne fut pas que le fruit du hasard ou du destin. Elle fut aussi pensée, et très organisée et en famille. Mon épouse Mathilde et nos deux enfants Christian et Isabelle furent du voyage et de l’aventure de Nianing, qui devait commencer en 1974.
Mais reprenons notre récit, au lendemain de la visite de Wabili Camara. Dés le matin nous fûmes réveillés par des battements sourds de tambours (tam-tam sabars) qui venaient du village de Nianing. Les amis d’Isidore nous informé que les féticheurs Casamançais, avaient déja enquéter. Le rôle premier du féticheur est de découvrir l’action néfaste du sorcier. J’attendis ce jour-là avec impatience l’arrivée de Wabili, que je savais concentré, chez lui, entrain de prier, et de confectionner les gris-gris protecteurs, sortes de talismans…
Cela faisait longtemps d’après ce que disait le personnel du Domaine, que des événements de ce genre, la présence secrète de sorciers, ne s’était produit dans cette région. Mais en réalité, quand il y avait un décès suspect, comment pouvait-on savoir s’il n’était pas d’origine maléfique ? Wabili le féticheur, mon ami,arriva enfin au domaine vers midi…



Marc Tremsal

NIANING, SENEGAL, ANNEES 80


…L’histoire vécue que je vous raconte, trouve son origine dans l’intérêt que j’ai toujours porté à l’Afrique Noire et à ses traditions. Certes mon arrivée, mon implantation au Sénégal, dans cette région de la petite côte, ne fut pas que le fruit du hasard ou celui du destin. Elle fut aussi pensée, et très organisée et en famille. Mon épouse Mathilde et nos deux enfants Christian et Isabelle furent du voyage et de l’aventure de Nianing, qui devait commencer en 1974... Mais reprenons notre récit, au lendemain de la visite de Wabili Camara. Dés le matin nous fûmes réveillés par des battements sourds de tambours (tam-tam sabars) qui venaient du village proche, de Nianing. Les amis d’Isidore nous informé que les féticheurs Casamançais,avaient déja organisés, leur délicate enquête. "Le rôle premier du féticheur est de découvrir l’action néfaste du sorcier".J’attendis ce jour-là, avec impatience l’arrivée de Wabili, que je savais concentré, chez lui, entrain de prier, et de confectionner les gris-gris protecteurs, sortes de talismans…
Cela faisait longtemps d’après ce que disait le personnel du Domaine, que des événements de ce genre, la présence secrète de sorciers,ne s’était produit dan la région de Nianing.

En réalité, quand il y avait un décès suspect, comment pouvait-on savoir s’il n’était pas d’origine maléfique ? Wabili le féticheur,mon ami, arriva enfin au domaine vers midi…



Marc Tremsal