une nuit

Le rêve dans des habits de chair musicale
Et cela –corps et regards- se déversant et montent jusqu'à moi

Les nuits imaginaires au sud apostrophées par la sonnerie du téléphone
Sentinelles, pieds de grues rêvant de lunes pleines, de rondeurs aimantes
d'une amante!

Le carnage audio-visuel devant lequel l’on se confond
Nudité jusqu’au fond de moi que tes yeux scrutent
Se ferment
Gémissent

Tu as manqué à mes instants de lecture et c'est avec plaisir que je me suis vautrée dans ce carnage.

J'avais l'impression d'un homme qui se voit dans un miroir mais qui ne se reconnait pas en lisant ton texte.

Plaisir

Sylvie

J'étais en vacances à Sorède, via Céret, via Argelès, via collioure.

Je t'ai cherché.
Pas vu.

" Je ne t'aiderai jamais mais t'aimerai toujours "

Imparfait de de L.D.

C'est dichotomique : lunaire et charnel a la fois !

nous ne sommes de nulle part

from & to

"Le rêve dans des habits de chair musicale".
Une image poignante.

Je suis heureuse de te relire Marc.

C'est chaotique, sans réelle intention j'ai l'impression, mais ça touche et ce n'est pas un effet à laisser pour compte.

C'est du Marc, bref et percutant, reconnaissable.

Nilo, knock-down.

oui Nilo

comment dire une sorte de maturité prématurée...