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Spermagum (psychodrame de gonzesses)
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Nilo
Paul Sunderland
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Elodie, première année de STG, à dix heures du matin, mastique déjà son troisième spermagum. Consultant ses messages sur son portable, elle se met à concevoir des soupçons sur Aurélie, sa pourtant meilleure copine de classe. La sale pute, elle tourne trop autour de Kevin, son chéri à elle, à elle seule. Enfin mardi, c’est pas trop tôt : ce soir, j’ai mon coup de bite. Le dernier, c’était avant-hier. Vivement que ces cours de merde soient finis. La bite de Kevin, ça vaut tous les cours du monde. Mais si cette sale pute tourne autour de lui…
Les soupçons d’Elodie sont infondés. Pendant qu’elle rêve de son rendez-vous galant, Aurélie, surnommée Lolipouf, attend la fin de la pause, dans un coin du préau, en regardant sans grand intérêt une scène de fellation téléchargée sur son propre appareil. Elle se fait vraiment chier. En ce moment elle n’a pas de chéri, cette sale pute d’Elodie a son coup de bite ce soir, tandis qu’elle, rien. Ce petit pédé de Mohammed la regarde même pas, malgré les sourires qu’elle lui décoche pendant les cours.
Karine, quarante-deux ans, secrétaire au lycée, n’en est qu’à son premier spermagum de la journée. Mais il n’a plus de goût, au bout de quelques minutes. Encore plein de dossiers d’orientation à traiter pour toutes ces petites connes et tous ces petits merdeux. Ils se prennent tous pour des cadors, les pires ce sont les filles, ces espèces de putes, de vraies salopes à déjà quinze ans. Et après, c’est pas mieux. Karine ne supporte pas Christelle, la jeune prof de SVT, avec sa paire de seins, son cul, et tous ces connards de mecs qui n’arrêtent pas de lui tourner autour, dans la salle des profs, dans les couloirs. Comprends pas qu’avec sa gueule de lapin, elle les attire autant ; mais pour des mecs, des lèvres pulpeuses (belle expression, mémorisée au bout de quinze Duo), un beau cul et une paire de loches, c’est suffisant. Et puis, elle a quoi, cette garce ? Vingt-cinq, vingt-six ans à tout casser. La sale pute.
Nadia, conseillère principale d’éducation, fume sa troisième cigarette, mais elle sent bien que ce ne sera pas un substitut efficace au spermagum. Elle s’accorde une pause rapide avant de reprendre sa séance de pédagogie différenciée auprès d’Aude, seconde générale, convoquée dans son bureau pour toute la matinée. Aude est tombée enceinte, suite à un coup de bite dont l’enthousiasme et la fébrilité sont parvenus à enrayer la délicate protection qu’offre généralement cette gangue d’hydrocarbures qu’on appelle « préservatif ». Aude, petite salope, se dit Nadia, je n’en ai pas fini avec toi, tu peux chialer autant que tu veux, j’atteindrai mon objectif. Et tout à l’heure, à la cantine du personnel, je triompherai : j’annoncerai à tous ceux qui seront là que, moi, les filles qui se font engrosser, c’est pas dur, je les prends une demi-journée dans mon bureau, je les travaille au corps et quand elles ressortent, elles et moi on a programmé le rendez-vous au planning familial, pour l’avortement.
Colette, cinquante-huit ans, proviseure, ne mâche pas de spermagum. Mais elle aimerait bien, elle se dit que ça lui donnerait un style plus jeune, plus en phase avec les élèves. Si seulement elle en supportait l’arôme. Il est important d’être bien vu des élèves. D’ailleurs, elle hoche la tête avec beaucoup de compréhension et de sollicitude alors qu’assise en face d’elle, Virginie, déléguée des terminales STSS, lui relate ce qu’a dit le prof de philo, hier : c’étaient que des trucs sur le kamasutra. Virginie, qui a également un coup de bite prévu ce soir, avoue être mal à l’aise vis-à-vis des propos du prof (celui-ci n’a fait qu’expliquer l’origine hindouiste du terme, sa première signification, et comment l’Occident moderne en est venu, par incompréhension et abaissement du niveau intellectuel, à en faire un sujet de grivoiseries). Colette, dans son for intérieur, prend la décision de le faire inspecter ; double inspection, d’ailleurs : sur la pédagogie, et sur la manière de servir. Trotskiste célibataire, elle n’a jamais apprécié cet homme.
Samira, la prof de lettres, met la dernière main à un paquet de copies, avant que ça sonne. La pause-café, c’est pour ces tocards de messieurs, à moins qu’au réfectoire elle y retrouve sa bonne copine Angélique, une vraie enseignante, elle, puisque prof coordo des BTS de deuxième année. La dernière copie, sous ses yeux, est de cette petite gourde de Muriel, petite catin d’une grossièreté sans limites. L’autre jour, cette jeune fille a osé venir en cours avec son spermagum, tranquille, tout va bien. Elle le lui a fait recracher (« allez, jeune fille », avec le sourire). Samira mâche aussi des spermagums (« faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais, ha ha »).
Sale pétasse, je vais te défoncer la gueule, crie Sophie à Nadège, tu m’parles pas comme ça, tu m’respectes, va t’faire lécher poufiasse, ça t’donnera des couleurs, rétorque Nadège, la première baffe décolle et c’est parti pour l’animation du jour, les garçons qui assistent à la scène rigolent, pour ne pas montrer qu’ils sont en érection, les deux filles se fightent pour de bon, personne ne tente de les séparer, la pionne n’est pas là (elle est aux toilettes, prise de troubles langueurs à la seule pensée du prof de philo), des clans de filles se forment, chacun derrière sa championne, et l’altercation dégénère en bataille pas franchement rangée, même très désorganisée, mais de plus en plus violente. Certains des garçons, probablement moins stupides que la moyenne, décident, malgré l’érotisme de cet amas de filles lutteuses, d’avertir les autorités compétentes, ou ce qui en tient lieu.
La proviseure rapplique, avec la CPE, la secrétaire, la prof de lettres, la déléguée de classe ; ces dames et demoiselle tentent de rétablir l’ordre. Les enseignants masculins ne sont pas là, mais ils ne vont sûrement pas tarder, eux non plus.
Je dois donc agir maintenant.
J’abaisse mes jumelles, vais vers l’arrière de ma fourgonnette, puis descends. Je suis en joie. Au pas de charge, je traverse l’avenue, pénètre dans l’enceinte de l’établissement (pas compliqué, cela). Elles sont à présent toutes bien groupées, à quelques mètres. La cour est un pandémonium. Je n’ai que quelques secondes.
Je crie « hey , les filles », je dois m’y reprendre à plusieurs reprises, très vite, mais elles finissent par me voir. Je pense que c’est surtout mon matériel qui a attiré leur attention. Mais ma cagoule y est peut-être aussi pour quelque chose.
Elles sont là devant moi, les jeunes, les moins jeunes, les bonasses, les thons, soudain figées comme pour la photo de classe.
« On ne bouge plus, merci. »
Et, bien harnaché, j’envoie le napalm.
Les soupçons d’Elodie sont infondés. Pendant qu’elle rêve de son rendez-vous galant, Aurélie, surnommée Lolipouf, attend la fin de la pause, dans un coin du préau, en regardant sans grand intérêt une scène de fellation téléchargée sur son propre appareil. Elle se fait vraiment chier. En ce moment elle n’a pas de chéri, cette sale pute d’Elodie a son coup de bite ce soir, tandis qu’elle, rien. Ce petit pédé de Mohammed la regarde même pas, malgré les sourires qu’elle lui décoche pendant les cours.
Karine, quarante-deux ans, secrétaire au lycée, n’en est qu’à son premier spermagum de la journée. Mais il n’a plus de goût, au bout de quelques minutes. Encore plein de dossiers d’orientation à traiter pour toutes ces petites connes et tous ces petits merdeux. Ils se prennent tous pour des cadors, les pires ce sont les filles, ces espèces de putes, de vraies salopes à déjà quinze ans. Et après, c’est pas mieux. Karine ne supporte pas Christelle, la jeune prof de SVT, avec sa paire de seins, son cul, et tous ces connards de mecs qui n’arrêtent pas de lui tourner autour, dans la salle des profs, dans les couloirs. Comprends pas qu’avec sa gueule de lapin, elle les attire autant ; mais pour des mecs, des lèvres pulpeuses (belle expression, mémorisée au bout de quinze Duo), un beau cul et une paire de loches, c’est suffisant. Et puis, elle a quoi, cette garce ? Vingt-cinq, vingt-six ans à tout casser. La sale pute.
Nadia, conseillère principale d’éducation, fume sa troisième cigarette, mais elle sent bien que ce ne sera pas un substitut efficace au spermagum. Elle s’accorde une pause rapide avant de reprendre sa séance de pédagogie différenciée auprès d’Aude, seconde générale, convoquée dans son bureau pour toute la matinée. Aude est tombée enceinte, suite à un coup de bite dont l’enthousiasme et la fébrilité sont parvenus à enrayer la délicate protection qu’offre généralement cette gangue d’hydrocarbures qu’on appelle « préservatif ». Aude, petite salope, se dit Nadia, je n’en ai pas fini avec toi, tu peux chialer autant que tu veux, j’atteindrai mon objectif. Et tout à l’heure, à la cantine du personnel, je triompherai : j’annoncerai à tous ceux qui seront là que, moi, les filles qui se font engrosser, c’est pas dur, je les prends une demi-journée dans mon bureau, je les travaille au corps et quand elles ressortent, elles et moi on a programmé le rendez-vous au planning familial, pour l’avortement.
Colette, cinquante-huit ans, proviseure, ne mâche pas de spermagum. Mais elle aimerait bien, elle se dit que ça lui donnerait un style plus jeune, plus en phase avec les élèves. Si seulement elle en supportait l’arôme. Il est important d’être bien vu des élèves. D’ailleurs, elle hoche la tête avec beaucoup de compréhension et de sollicitude alors qu’assise en face d’elle, Virginie, déléguée des terminales STSS, lui relate ce qu’a dit le prof de philo, hier : c’étaient que des trucs sur le kamasutra. Virginie, qui a également un coup de bite prévu ce soir, avoue être mal à l’aise vis-à-vis des propos du prof (celui-ci n’a fait qu’expliquer l’origine hindouiste du terme, sa première signification, et comment l’Occident moderne en est venu, par incompréhension et abaissement du niveau intellectuel, à en faire un sujet de grivoiseries). Colette, dans son for intérieur, prend la décision de le faire inspecter ; double inspection, d’ailleurs : sur la pédagogie, et sur la manière de servir. Trotskiste célibataire, elle n’a jamais apprécié cet homme.
Samira, la prof de lettres, met la dernière main à un paquet de copies, avant que ça sonne. La pause-café, c’est pour ces tocards de messieurs, à moins qu’au réfectoire elle y retrouve sa bonne copine Angélique, une vraie enseignante, elle, puisque prof coordo des BTS de deuxième année. La dernière copie, sous ses yeux, est de cette petite gourde de Muriel, petite catin d’une grossièreté sans limites. L’autre jour, cette jeune fille a osé venir en cours avec son spermagum, tranquille, tout va bien. Elle le lui a fait recracher (« allez, jeune fille », avec le sourire). Samira mâche aussi des spermagums (« faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais, ha ha »).
Sale pétasse, je vais te défoncer la gueule, crie Sophie à Nadège, tu m’parles pas comme ça, tu m’respectes, va t’faire lécher poufiasse, ça t’donnera des couleurs, rétorque Nadège, la première baffe décolle et c’est parti pour l’animation du jour, les garçons qui assistent à la scène rigolent, pour ne pas montrer qu’ils sont en érection, les deux filles se fightent pour de bon, personne ne tente de les séparer, la pionne n’est pas là (elle est aux toilettes, prise de troubles langueurs à la seule pensée du prof de philo), des clans de filles se forment, chacun derrière sa championne, et l’altercation dégénère en bataille pas franchement rangée, même très désorganisée, mais de plus en plus violente. Certains des garçons, probablement moins stupides que la moyenne, décident, malgré l’érotisme de cet amas de filles lutteuses, d’avertir les autorités compétentes, ou ce qui en tient lieu.
La proviseure rapplique, avec la CPE, la secrétaire, la prof de lettres, la déléguée de classe ; ces dames et demoiselle tentent de rétablir l’ordre. Les enseignants masculins ne sont pas là, mais ils ne vont sûrement pas tarder, eux non plus.
Je dois donc agir maintenant.
J’abaisse mes jumelles, vais vers l’arrière de ma fourgonnette, puis descends. Je suis en joie. Au pas de charge, je traverse l’avenue, pénètre dans l’enceinte de l’établissement (pas compliqué, cela). Elles sont à présent toutes bien groupées, à quelques mètres. La cour est un pandémonium. Je n’ai que quelques secondes.
Je crie « hey , les filles », je dois m’y reprendre à plusieurs reprises, très vite, mais elles finissent par me voir. Je pense que c’est surtout mon matériel qui a attiré leur attention. Mais ma cagoule y est peut-être aussi pour quelque chose.
Elles sont là devant moi, les jeunes, les moins jeunes, les bonasses, les thons, soudain figées comme pour la photo de classe.
« On ne bouge plus, merci. »
Et, bien harnaché, j’envoie le napalm.
Dernière édition par Paul Sunderland le Mer 8 Sep - 17:35, édité 1 fois
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Entrée en matière.
Un peu trop enfoncé le clou à mon avis. Mais ça se laisse lire. Et la fin est inattendue ce qui constitue un plus intéressant.
Par ailleurs la satyre du monde de l'enseignement n'est pas pour me déplaire alors je t'accorde un droit de suite.
Nilo, heures de colle.
Un peu trop enfoncé le clou à mon avis. Mais ça se laisse lire. Et la fin est inattendue ce qui constitue un plus intéressant.
Par ailleurs la satyre du monde de l'enseignement n'est pas pour me déplaire alors je t'accorde un droit de suite.
Nilo, heures de colle.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Missing
Nilo, ce qui est fait n'est plus à faire.
Nilo, ce qui est fait n'est plus à faire.
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... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Franchement vulgaire ... c'est hard! Ce texte me met mal à l'aise, j'imagine que c'est l'effet escompté. J'espère candidement que ce n'est pas une vision réelle à 100 % du vécu d'un établissement car je pensais déjà que la France allait mal, mais là, elle ne serait même plus. Mad Max is here, just in front of us ... Demi-tour et court Forest! Et Orange mécanique nous attend au point de départ ce qui ne nous donne pas forcément envi d'arriver... Quelle solution ? France Télécom pour le suicide ou Delarue pour la drogue ?
Je ressens de la haine ... Ressenti personnel, certes, mais pourquoi ? N'existe-t-elle pas assez au quotidien pour la mettre en vedette ?
Hum ... Batsie est dubitative,
Je ressens de la haine ... Ressenti personnel, certes, mais pourquoi ? N'existe-t-elle pas assez au quotidien pour la mettre en vedette ?
Hum ... Batsie est dubitative,
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Oh oui !!! on nous montre que ça : haine , violence, trucs horribles, ...
et la beauté elle est ou ? la vraie pas celle des magazines! Celle qui fait que nous sommes autre chose que de simples animaux ...
et la beauté elle est ou ? la vraie pas celle des magazines! Celle qui fait que nous sommes autre chose que de simples animaux ...
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LaLou
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Je trouve ça sans intérêt : trop ouvertement provocateur pour atteindre son but, totalement dénué de subtilité, bref niveau ado que moi chuis un grand révolté, d'ailleurs y'a mes potes qui me regardent...
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Le jour où je vous ferai lire un texte au propos et à la tonalité très différents de Spermagum, vous serez tout aussi déconcertés... Mais on va peut-être attendre un peu et, dans l'intervalle, continuer dans le style trash-caca, pour que je m'amuse à en voir certains me tailler une réputation!
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Bah faut pas le prendre comme ça ! nous ne sommes que des lecteurs comme d'autres.
et le but etait de choquer un peu non? de remuer ?
donc c'est gagné..
Ne te prive surtout pas de nous montrer tes "autres" talents. On demande pas mieux.
et quand on critique le monde, faut accepter la critique, non?
et le but etait de choquer un peu non? de remuer ?
donc c'est gagné..
Ne te prive surtout pas de nous montrer tes "autres" talents. On demande pas mieux.
et quand on critique le monde, faut accepter la critique, non?
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LaLou
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Oh, vous inquiétez pas pour la critique... Moi, on peut TOUT me dire...
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Faut dire que ton avatar il est pas super sympatoche hein !!
moi il me fait un peu peur !
_________________
LaLou
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
Ben, le tien, je peux pas dire si je le trouve sympathique ou pas, je comprends même pas ce que c'est!
Re: Spermagum (psychodrame de gonzesses)
J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Treizième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...
Dédé.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...
Dédé.
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Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
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Date d'inscription : 04/09/2009
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