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Sauve-ART
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
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Sauve-ART
Au Théâtre : “ Sauve-ART ”
Depuis le dernier passage télévisé, où ça ne s’était pas passé... On avait pris, donc, toutes les précautions, pour éviter le moindre scandale !
Toutefois, on avait dressé un décor en rond, tel que les invités apparaissent comme des fromages sur un plateau ! L’émission devait passer - normalement - à l’heure la plus avancée de la nuit ou la moins avancée du jour, quand tout le monde enfin, normalement, devait dormir...
L’heure est à la réflexion maintenant - "vous m’entendez . . . moteur !"
Il est tard et ça chauffe - OK ! ça tourne.
- J’ai encore 30 secondes - Alors même si chez toi il ne fait pas jour, dis-toi qu’il fait beau...
“L’éloge en coup lisse”
(L’écrivain, la critique et les autres... )
L’écrivain
- ... Mais vous savez, vous, chacun dans notre genre... (Il ne commence ni ne finit ses phrases ce soir, c’est pas nouveau, c’est pour son livre - pas pour lui - pour mieux comprendre... Puis il se tourna vers la critique et dit : “ Vous m’avez invité avec des écrivains admirables, et je ne sais pas écrire comme eux.
la critique (suppliante)
- Mais soyez naturel... Soyez gentil !
l’écrivain
- Vous savez, la vie. . depuis tout gosse. . autant les filles que les billes... Elles étaient rondes toujours, mais plus d’une fois en terre ! Plus d’une fois, oui. . Mais moi, voyez-vous, je suis peintre aussi ; surtout... (Il regarda les invités grimaçants autour de lui) - Et puis, c’est pour le cinéma ce livre - ma peinture, elle n’a pas besoin de ça ! (silence)
... Parlons un peu peinture - on ne parle jamais peinture à la télé - il n’y a jamais d’émissions...
Une voix
“ Si tu continues comme ça tu vas te faire des ennemis jurés. Regarde, tes hôtes, déjà ils regardent leurs pieds !
... Et la critique - devant - elle est tournée, de dos, elle discute avec une bête grise.
Tu vois, déjà tu ne les intéresses plus. Mais devant, après. . encore devant, tout devant : qui sait ce qui se passe - si on a coupé ou si on a monté le son - pour réveiller les parents “travaux” (crevés) - et pour essayer de comprendre, dans l’inconscient des gens du plateau et du monde, ce qui se passe...
Le nez collé à l’écran et le volume à fond !
En guise d’émission littéraire ou culturelle, tu auras fait une émission sur l’inconscient imaginatif et collectif. C’est beau.
C’est fou !
Mais qui donc t’aura suivi dans cette voie de l’être intérieur - qui ?
à suivre...
Aux heures les plus noires de sa nuit en convalescence, il imaginait qu’elle avait pu se marier, en douce des conventions de “sales gosses” et passer sa lune de miel sur une plage déserte, sur un énorme gâteau noir, désintégré au réveil - sa lune de fiel - VRAI !
Prévenu, alerté, il prendrait toujours sa chance. Quelle chance ?
Celle d’avoir un croissant de clarté dans sa nuit éternelle pour... pour en finir avec son histoire - à jamais soumis à son destin.
Au grand large de tes amours
ô, grand lâche de ta tâche !
Tu veilles seul ton p’tit jour
Tandis que les dernières vaches
Prennent la veille vautour.
Au vent maintenant,
Cette histoire dans l’sang
Son Art tout de vent
“ Prends ça !
Te semble si évident
S’il ne te singe ?...
Après, aux yeux du monde
Tu seras un prince, et
Quand bien-même
Tu seras un pinge
Reposant en paix
Sous un linge sans pince.
“ Mais regarde. Regarde...
Quand j’ouvris les yeux, le soleil couchant tapait sur les baies entrouvertes, embuées, qui me brûlaient les yeux.
" De quoi tu as parlé ?
- De tout, de tout.
" Et qu’as-tu vu... ?
- Rien.
Déçu de cette réponse vague, un peu trop inspirée du silence au couchant, je voulu surtout écrire mon rêve - un véritable conte de fée ; un rêve magique où tout pouvait continuer pareil dans la réalité, car rien n'était plus pareil, dans Ma Réalité. J’étais dans les dunes de sable avec mon cousin de l'est. Un vent d'est qui nous avait réuni, le temps d'un sommeil, dans un lieu désertique, loin du monde des bouteilles, du bruit, des autos.
Voici le rêve. . .
Oublier un moment ses fautes, son enfer permanent, de se sentir exclu, ailleurs, loin de tout et rejeté de tous, même et surtout de Son Amour qui demeurerait pour longtemps, un mystère ; une fable qui finit dans les flemmes d'un grand four.
Pourquoi cette fable, pourquoi cette fin ? ce mystère ? Un mystère. Une armada de billes multicolores et multiformes (mais jamais cassées), libres comme l'air et jamais, jamais en terre, le vent contre, tout contre moi ; ça bardait si fort, si dur, qu’on n’avait plus que son pauvre sommeil, pour parer à l'injustice de son procès-cauchemar.
Il aimait tant les filles, et peut-être voulait-il aussi refaire sa bourse, pour jouer toujours aux billes, et revoir le monde à sa façon - en couleurs. Il s'exilait donc dans des contrés lointaines, super lointaines, sans teignes, où tout est ni vierge ni désolé, ni grand ni petit, ni haut ni... Où aucun mot, enfin, ne convient pour définir clairement ce qui n'était pas..., pas du tout clair. Ce rêve qui ne sera jamais rêve qu'en rêve et jamais une réalité - son cauchemar de Jour et de Toujours ; si la chance ne lui donnait pas toutes ces billes pour bloquer l'hémorragie digestive - il devrait changer dans sa vie quelque chose, qu'il savait, mais quoi ?
Sa page blanche entachait de réserve sa volonté, et il était tenu de se tenir à l'écart, au lit en attendant. . .
Que faisait-il réellement ?
Rien. En définitive, il voulait beaucoup - il attendait son rêve - bêtement sa nuit. Bêtement, car elle ne cessait guère de se faire prier pour lui tendre des pièges. Son rêve, en fait, aurait été de pouvoir l'écrire. Mais comme il aurait dû inventer un langage "top-secret", comme celui des techniciens... Il se dit qu'il était préférable d'aller voir ailleurs, et il s'endormait, sombrant dans un monde en dédales de rues blanches et de montagnes noires, de maisons rouges, ou ce que je sais encore, d'un nouveau cauchemar.
“ Tu attends, avant d’allumer, le dernier moment que tout soit oublié - ET TON LIVRE !
Je ne t’ai jamais détesté qu’un jour
Car tu restes à tout jamais Mon Amour
À présent, je t’envoie sur le velours
Cueillir des fleurs épineuses au long cours
Te couvrir de plaques rouges pour toujours
À ne plus pouvoir dormir que le jour
Et ne plus vouloir sortir que la nuit. . .
Tu partages quoi comme peine
Te nourris-tu seulement
Du bonheur de ton mal
Mes hommages à ton sage
Mystérieuse endiablée
Nébuleuse de mes rêves...
“ Sur la fin du livre ; bien dans les temps donc - certes, reste la 3e, et surtout la 5e partie à taper - toute l’histoire. (la quatrième fut pliée en quatrième vitesse) Mais curieusement cela ne lui fait plus peur ; curieusement.
Il lui semble avoir tout le temps : .“ ça ne devrait plus trop m’angoisser comme. . comme promis. J’ai un vague souvenir de ce que tout cela contient - c’est pas du gâteau mais le dessert est déjà servi - sur Mac “apple”..
“ Mac, qui ?
- Sur Mac. . .
“ Sur qui ?
- Sur Mac !!
“ Ah ! Mac, Mac. . Mac ? Je croyais que c’était un peintre, de l’expressionnisme allemand - Mac, Mac. . .
- Mac Giver ?
“ Non ; Mac. . Mac
- Mac Donald ?.. Machiavel “ la mandragore”
“ Ah ! Macbeth, pendant qu’tu y es !
- Ton Mac, c’est “personne” - c’est pas du macadam, au moins, ton peintre ?!
“ ... M’abuse pas.
- Sacré macchabée, Ah Ah !... Mac Avoy, voilà ton peintre - j’ai trouvé !
“ Non. . c’est pas ça, enfin passons. . .
Où tu es ?
Je travaille actuellement “et loge” aux Bruyères dans une résidence "dix stricte" à deux pieds de la mer (à Sans Père) - jusqu’en août, où je vais changer d’abris, dans cette même résidence ; en août, j’occuperai “celui” qui m’est promis, plus grand plus lumineux, à vie. Un cran au dessus... (un rêve)
Non. Mais en tout cas c’est bien, très bien !
Je t’attends. . .
*
Au loin, pas si loin mais très loin, mon cousin assis sur la digue de pierre.
C’est tout lui : “ beau de loin mais loin d’être beau ” - ALORS...
- Alors je t’attends, mon gars - que fous-tu. . . merde. C’est tellement bien ici ! Mais sans toi. .
Alors VIENS
Je t’attends nuit et nuit,
au revoir.
D.
*
“Parents-prison”
Je comprends : tant de sacrifices !
Peu importe la valeur de ces sacrifices, ils sont fait, trop tard. Et l’avion n’avait pas intérêt à s’abîmer !
Alors, pour installer plus vite le cancer, plus confortablement, elle fumait cigarettes sur cigarettes - c’était pas grave - il y avait pire à craindre : que l’avion explosât et tombât dans l’océan indien.
Elle avait tout à perdre, et bien plus que la vie si son ami n’arrivait plus, plus jamais.
C’était pour elle tout ça, horriblement, égoïstement pour elle ; elle ne le verrait que deux heures, trois peut-être avant qu’il s’envole à nouveau pour réveillonner dans le sud chez ses parents-prison - c’était comme ça - on passait mieux Noël en famille, commun accord de longue date - entendu ?
Il n’en était pas de même pour tout le monde, loin de là - tout lui semblait loin - famille traditions et fêtes ; il travaillait d’arrache tête pour oublier et quand il butait sur un mot, un passage obscur pour le lecteur non averti qu’il était, il voyait sa Belle de jour, Son Amour, et ses doigts tapaient des touches magiques qui enfonçaient la porte d’un passage de rêve - son paradis perdu .
S’il ne se passe rien dans la vie, sa vie du moment, c’est soit qu’il faille en changer, de vie, soit qu’il faille . . . mais qu’il faille changer de vice !
Viral passa sa tête dans le ruban noir à pois blancs de Noël et le remonta sur son front laissant juste voir le triangle noir, au milieu de ses cheveux.
Il s’assit sur le lit, la tête droite et dans la nuit noire on voyait un ovale blanc coiffé d’une lune noire à pois blancs avec son nez pointu vers le bas.
“ Je vivrais plus jamais seul - plus jamais ”.
Cette certitude - parce que maintenant il pouvait contrôler, choisir, il avait le choix des numéros et c’était des bons numéros aux belles couleurs de printemps et tout ça en hiver - le mettait dans un état pas possible d’anxiété.
Oui ça va changer ma vie, dit-il sans ponctuation, toujours blême et la tête droite.
- Ma vie d’avant est finie, pas l’choix. Parce que maintenant j’ai le choix - justement - et parlons-en du choix !
- Non ! n’exagère pas. C’est un choix de qualité, comme l’été, aux milles couleurs de palette, mille éclats d’étoiles. . . et mille formes ; un choix infini d’Amour.
D’amour, d'Amour . . . elle ne m’appellera jamais “Damour” .
- Oui, Damour, ou bien c’est fini pour tout. La peinture ou la mort. La vie d’avant est finie et c’est Ma Vie qui commence. Faut qu’j’y pense un peu - faut qu’je dorme . . . Ces poils sur ce drap qui ne sont pas à moi. Ces draps bleus qui ne sont plus bleus, ces feuilles. . . même les feuilles qui ne sont plus vertes - mais blanches et vierges. Ce monde qui n’est plus à moi, le monde. . . oui, le monde !
. . . “ Ces draps blancs qui ne sont plus bleus de rêve”... se répétait-t-il sans cesse - ces draps. . ces pauvres draps - pauvres. . . PAUVRE CON ! Je vais partir. . . pour retrouver tout comme avant, je pars ; j’explose du tunnel - on ne me verra plus qu’en image aux 4 Vents.
“ LACHE !”
- Non, pas lâche - c’était prévu et c’est la goutte qui fait déborder l'urne - parfaitement !
“ T’AS FAIT EXPRES !”
- Ah, je le savais. . . que tu penserais ça, mais t’as tout faux, maintenant. Je te le dis, t’as tout faux ! Tu penses. . tu penses trop.
Le monde tout entier n’aura pas fait trois tours de la ville, l’aura à peine bouclé le troisième qu’au quatrième il s’arrêtera sur la grève, dans l’ombre - pour vider son sac - il restera là une, deux. . . et la troisième heure à peine passée, il attaquera la quatrième avec une vigueur nouvelle et insoupçonnée dont il pense maintenant, soucieux, sur son lit assoupi, qu’elle lui était venue du ciel.
- C’est ça, elle m’est tombée d’ssus - la salope ! comment j’vais faire maintenant ?
Je vais la faire venir chaque soir et toutes les nuits je vais la prendre, la croquer, l’étudier en fond et en formes. Peut-être découvrirai-je qu’il y a aussi plusieurs fonds. . comme il y a plusieurs cieux ?
Des gouffres qui sait ?GOUFFRE D’ANXIÉTÉ!
Tu promets encore dans ta nouvelle voie !
<< ARRÊTE veux-tu ! Arrête de penser. Commence par l’inviter et après tu verras bien . . tard dans la nuit tu seras fixé - tiré aux quatre coins de tes châssis les plus petits.
- Non ! Elle. . . C’est elle qui y sera fixée, étirée aux plus grands - écartelée.
Voilà l’image à faire ; en voilà une image ! Les idées qui reviennent et chassent le reste, qui est sans vie. Son vitout...
“ . . . Me fais mal, aïe !
- Je veux te mettre en . . . J’ai envie de te montrer en femme que tu es - une étoile.
Tu te laisseras faire. . . pour le chef d’œuvre du siècle ! Après tu pourras partir. Après. . . qui sait après ? On verra après. Moi. . .
Moi je sais que tu ne partiras jamais.
Un jour tu comprendras, que ma torture - c’était pas de la comédie - et l’écriture non-plus. Mais c’est pas aux hommes d’en juger, et c’est pour les hommes, ces pages bigarrures.
Le prochain ne sera pas “le suivant” - et jamais plus un livre, ma parole - une peinture...
À voir...
Dam.
- Ton frère au plus haut -
3ème passage télévisé
“pivot de l’histoire.”
3ème passage télévisé
“pivot de l’histoire.”
Depuis le dernier passage télévisé, où ça ne s’était pas passé... On avait pris, donc, toutes les précautions, pour éviter le moindre scandale !
Toutefois, on avait dressé un décor en rond, tel que les invités apparaissent comme des fromages sur un plateau ! L’émission devait passer - normalement - à l’heure la plus avancée de la nuit ou la moins avancée du jour, quand tout le monde enfin, normalement, devait dormir...
L’heure est à la réflexion maintenant - "vous m’entendez . . . moteur !"
Il est tard et ça chauffe - OK ! ça tourne.
- J’ai encore 30 secondes - Alors même si chez toi il ne fait pas jour, dis-toi qu’il fait beau...
*
“L’éloge en coup lisse”
(L’écrivain, la critique et les autres... )
L’écrivain
- ... Mais vous savez, vous, chacun dans notre genre... (Il ne commence ni ne finit ses phrases ce soir, c’est pas nouveau, c’est pour son livre - pas pour lui - pour mieux comprendre... Puis il se tourna vers la critique et dit : “ Vous m’avez invité avec des écrivains admirables, et je ne sais pas écrire comme eux.
la critique (suppliante)
- Mais soyez naturel... Soyez gentil !
l’écrivain
- Vous savez, la vie. . depuis tout gosse. . autant les filles que les billes... Elles étaient rondes toujours, mais plus d’une fois en terre ! Plus d’une fois, oui. . Mais moi, voyez-vous, je suis peintre aussi ; surtout... (Il regarda les invités grimaçants autour de lui) - Et puis, c’est pour le cinéma ce livre - ma peinture, elle n’a pas besoin de ça ! (silence)
... Parlons un peu peinture - on ne parle jamais peinture à la télé - il n’y a jamais d’émissions...
Une voix
“ Si tu continues comme ça tu vas te faire des ennemis jurés. Regarde, tes hôtes, déjà ils regardent leurs pieds !
... Et la critique - devant - elle est tournée, de dos, elle discute avec une bête grise.
Tu vois, déjà tu ne les intéresses plus. Mais devant, après. . encore devant, tout devant : qui sait ce qui se passe - si on a coupé ou si on a monté le son - pour réveiller les parents “travaux” (crevés) - et pour essayer de comprendre, dans l’inconscient des gens du plateau et du monde, ce qui se passe...
Le nez collé à l’écran et le volume à fond !
En guise d’émission littéraire ou culturelle, tu auras fait une émission sur l’inconscient imaginatif et collectif. C’est beau.
C’est fou !
Mais qui donc t’aura suivi dans cette voie de l’être intérieur - qui ?
à suivre...
*
Aux heures les plus noires de sa nuit en convalescence, il imaginait qu’elle avait pu se marier, en douce des conventions de “sales gosses” et passer sa lune de miel sur une plage déserte, sur un énorme gâteau noir, désintégré au réveil - sa lune de fiel - VRAI !
Prévenu, alerté, il prendrait toujours sa chance. Quelle chance ?
Celle d’avoir un croissant de clarté dans sa nuit éternelle pour... pour en finir avec son histoire - à jamais soumis à son destin.
Au grand large de tes amours
ô, grand lâche de ta tâche !
Tu veilles seul ton p’tit jour
Tandis que les dernières vaches
Prennent la veille vautour.
Au vent maintenant,
Cette histoire dans l’sang
Son Art tout de vent
“ Prends ça !
Te semble si évident
S’il ne te singe ?...
Après, aux yeux du monde
Tu seras un prince, et
Quand bien-même
Tu seras un pinge
Reposant en paix
Sous un linge sans pince.
“ Mais regarde. Regarde...
Quand j’ouvris les yeux, le soleil couchant tapait sur les baies entrouvertes, embuées, qui me brûlaient les yeux.
" De quoi tu as parlé ?
- De tout, de tout.
" Et qu’as-tu vu... ?
- Rien.
Déçu de cette réponse vague, un peu trop inspirée du silence au couchant, je voulu surtout écrire mon rêve - un véritable conte de fée ; un rêve magique où tout pouvait continuer pareil dans la réalité, car rien n'était plus pareil, dans Ma Réalité. J’étais dans les dunes de sable avec mon cousin de l'est. Un vent d'est qui nous avait réuni, le temps d'un sommeil, dans un lieu désertique, loin du monde des bouteilles, du bruit, des autos.
Voici le rêve. . .
Oublier un moment ses fautes, son enfer permanent, de se sentir exclu, ailleurs, loin de tout et rejeté de tous, même et surtout de Son Amour qui demeurerait pour longtemps, un mystère ; une fable qui finit dans les flemmes d'un grand four.
Pourquoi cette fable, pourquoi cette fin ? ce mystère ? Un mystère. Une armada de billes multicolores et multiformes (mais jamais cassées), libres comme l'air et jamais, jamais en terre, le vent contre, tout contre moi ; ça bardait si fort, si dur, qu’on n’avait plus que son pauvre sommeil, pour parer à l'injustice de son procès-cauchemar.
Il aimait tant les filles, et peut-être voulait-il aussi refaire sa bourse, pour jouer toujours aux billes, et revoir le monde à sa façon - en couleurs. Il s'exilait donc dans des contrés lointaines, super lointaines, sans teignes, où tout est ni vierge ni désolé, ni grand ni petit, ni haut ni... Où aucun mot, enfin, ne convient pour définir clairement ce qui n'était pas..., pas du tout clair. Ce rêve qui ne sera jamais rêve qu'en rêve et jamais une réalité - son cauchemar de Jour et de Toujours ; si la chance ne lui donnait pas toutes ces billes pour bloquer l'hémorragie digestive - il devrait changer dans sa vie quelque chose, qu'il savait, mais quoi ?
Sa page blanche entachait de réserve sa volonté, et il était tenu de se tenir à l'écart, au lit en attendant. . .
Que faisait-il réellement ?
Rien. En définitive, il voulait beaucoup - il attendait son rêve - bêtement sa nuit. Bêtement, car elle ne cessait guère de se faire prier pour lui tendre des pièges. Son rêve, en fait, aurait été de pouvoir l'écrire. Mais comme il aurait dû inventer un langage "top-secret", comme celui des techniciens... Il se dit qu'il était préférable d'aller voir ailleurs, et il s'endormait, sombrant dans un monde en dédales de rues blanches et de montagnes noires, de maisons rouges, ou ce que je sais encore, d'un nouveau cauchemar.
*
“ Tu attends, avant d’allumer, le dernier moment que tout soit oublié - ET TON LIVRE !
Je ne t’ai jamais détesté qu’un jour
Car tu restes à tout jamais Mon Amour
À présent, je t’envoie sur le velours
Cueillir des fleurs épineuses au long cours
Te couvrir de plaques rouges pour toujours
À ne plus pouvoir dormir que le jour
Et ne plus vouloir sortir que la nuit. . .
Tu partages quoi comme peine
Te nourris-tu seulement
Du bonheur de ton mal
Mes hommages à ton sage
Mystérieuse endiablée
Nébuleuse de mes rêves...
*
“ Sauve-ART ”
“ Sauve-ART ”
“ Sur la fin du livre ; bien dans les temps donc - certes, reste la 3e, et surtout la 5e partie à taper - toute l’histoire. (la quatrième fut pliée en quatrième vitesse) Mais curieusement cela ne lui fait plus peur ; curieusement.
Il lui semble avoir tout le temps : .“ ça ne devrait plus trop m’angoisser comme. . comme promis. J’ai un vague souvenir de ce que tout cela contient - c’est pas du gâteau mais le dessert est déjà servi - sur Mac “apple”..
“ Mac, qui ?
- Sur Mac. . .
“ Sur qui ?
- Sur Mac !!
“ Ah ! Mac, Mac. . Mac ? Je croyais que c’était un peintre, de l’expressionnisme allemand - Mac, Mac. . .
- Mac Giver ?
“ Non ; Mac. . Mac
- Mac Donald ?.. Machiavel “ la mandragore”
“ Ah ! Macbeth, pendant qu’tu y es !
- Ton Mac, c’est “personne” - c’est pas du macadam, au moins, ton peintre ?!
“ ... M’abuse pas.
- Sacré macchabée, Ah Ah !... Mac Avoy, voilà ton peintre - j’ai trouvé !
“ Non. . c’est pas ça, enfin passons. . .
Où tu es ?
Je travaille actuellement “et loge” aux Bruyères dans une résidence "dix stricte" à deux pieds de la mer (à Sans Père) - jusqu’en août, où je vais changer d’abris, dans cette même résidence ; en août, j’occuperai “celui” qui m’est promis, plus grand plus lumineux, à vie. Un cran au dessus... (un rêve)
Non. Mais en tout cas c’est bien, très bien !
Je t’attends. . .
*
“ Flo en l’être ”
Au loin, pas si loin mais très loin, mon cousin assis sur la digue de pierre.
C’est tout lui : “ beau de loin mais loin d’être beau ” - ALORS...
- Alors je t’attends, mon gars - que fous-tu. . . merde. C’est tellement bien ici ! Mais sans toi. .
Alors VIENS
Je t’attends nuit et nuit,
au revoir.
D.
*
- Mission -
(pour comprendre)
(pour comprendre)
“Parents-prison”
Je comprends : tant de sacrifices !
Peu importe la valeur de ces sacrifices, ils sont fait, trop tard. Et l’avion n’avait pas intérêt à s’abîmer !
Alors, pour installer plus vite le cancer, plus confortablement, elle fumait cigarettes sur cigarettes - c’était pas grave - il y avait pire à craindre : que l’avion explosât et tombât dans l’océan indien.
Elle avait tout à perdre, et bien plus que la vie si son ami n’arrivait plus, plus jamais.
C’était pour elle tout ça, horriblement, égoïstement pour elle ; elle ne le verrait que deux heures, trois peut-être avant qu’il s’envole à nouveau pour réveillonner dans le sud chez ses parents-prison - c’était comme ça - on passait mieux Noël en famille, commun accord de longue date - entendu ?
Il n’en était pas de même pour tout le monde, loin de là - tout lui semblait loin - famille traditions et fêtes ; il travaillait d’arrache tête pour oublier et quand il butait sur un mot, un passage obscur pour le lecteur non averti qu’il était, il voyait sa Belle de jour, Son Amour, et ses doigts tapaient des touches magiques qui enfonçaient la porte d’un passage de rêve - son paradis perdu .
*
Prologue!
Prologue!
S’il ne se passe rien dans la vie, sa vie du moment, c’est soit qu’il faille en changer, de vie, soit qu’il faille . . . mais qu’il faille changer de vice !
Viral passa sa tête dans le ruban noir à pois blancs de Noël et le remonta sur son front laissant juste voir le triangle noir, au milieu de ses cheveux.
Il s’assit sur le lit, la tête droite et dans la nuit noire on voyait un ovale blanc coiffé d’une lune noire à pois blancs avec son nez pointu vers le bas.
“ Je vivrais plus jamais seul - plus jamais ”.
Cette certitude - parce que maintenant il pouvait contrôler, choisir, il avait le choix des numéros et c’était des bons numéros aux belles couleurs de printemps et tout ça en hiver - le mettait dans un état pas possible d’anxiété.
Oui ça va changer ma vie, dit-il sans ponctuation, toujours blême et la tête droite.
- Ma vie d’avant est finie, pas l’choix. Parce que maintenant j’ai le choix - justement - et parlons-en du choix !
- Non ! n’exagère pas. C’est un choix de qualité, comme l’été, aux milles couleurs de palette, mille éclats d’étoiles. . . et mille formes ; un choix infini d’Amour.
D’amour, d'Amour . . . elle ne m’appellera jamais “Damour” .
- Oui, Damour, ou bien c’est fini pour tout. La peinture ou la mort. La vie d’avant est finie et c’est Ma Vie qui commence. Faut qu’j’y pense un peu - faut qu’je dorme . . . Ces poils sur ce drap qui ne sont pas à moi. Ces draps bleus qui ne sont plus bleus, ces feuilles. . . même les feuilles qui ne sont plus vertes - mais blanches et vierges. Ce monde qui n’est plus à moi, le monde. . . oui, le monde !
. . . “ Ces draps blancs qui ne sont plus bleus de rêve”... se répétait-t-il sans cesse - ces draps. . ces pauvres draps - pauvres. . . PAUVRE CON ! Je vais partir. . . pour retrouver tout comme avant, je pars ; j’explose du tunnel - on ne me verra plus qu’en image aux 4 Vents.
“ LACHE !”
- Non, pas lâche - c’était prévu et c’est la goutte qui fait déborder l'urne - parfaitement !
“ T’AS FAIT EXPRES !”
- Ah, je le savais. . . que tu penserais ça, mais t’as tout faux, maintenant. Je te le dis, t’as tout faux ! Tu penses. . tu penses trop.
Le monde tout entier n’aura pas fait trois tours de la ville, l’aura à peine bouclé le troisième qu’au quatrième il s’arrêtera sur la grève, dans l’ombre - pour vider son sac - il restera là une, deux. . . et la troisième heure à peine passée, il attaquera la quatrième avec une vigueur nouvelle et insoupçonnée dont il pense maintenant, soucieux, sur son lit assoupi, qu’elle lui était venue du ciel.
- C’est ça, elle m’est tombée d’ssus - la salope ! comment j’vais faire maintenant ?
Je vais la faire venir chaque soir et toutes les nuits je vais la prendre, la croquer, l’étudier en fond et en formes. Peut-être découvrirai-je qu’il y a aussi plusieurs fonds. . comme il y a plusieurs cieux ?
Des gouffres qui sait ?GOUFFRE D’ANXIÉTÉ!
Tu promets encore dans ta nouvelle voie !
<< ARRÊTE veux-tu ! Arrête de penser. Commence par l’inviter et après tu verras bien . . tard dans la nuit tu seras fixé - tiré aux quatre coins de tes châssis les plus petits.
- Non ! Elle. . . C’est elle qui y sera fixée, étirée aux plus grands - écartelée.
Voilà l’image à faire ; en voilà une image ! Les idées qui reviennent et chassent le reste, qui est sans vie. Son vitout...
“ . . . Me fais mal, aïe !
- Je veux te mettre en . . . J’ai envie de te montrer en femme que tu es - une étoile.
Tu te laisseras faire. . . pour le chef d’œuvre du siècle ! Après tu pourras partir. Après. . . qui sait après ? On verra après. Moi. . .
Moi je sais que tu ne partiras jamais.
FIN
Un jour tu comprendras, que ma torture - c’était pas de la comédie - et l’écriture non-plus. Mais c’est pas aux hommes d’en juger, et c’est pour les hommes, ces pages bigarrures.
Le prochain ne sera pas “le suivant” - et jamais plus un livre, ma parole - une peinture...
À voir...
Dam.
Re: Sauve-ART
C'est aussi long que difficile à suivre (pour moi bien entendu).
Sans doute à cause de ce côté surréalistico-brouillon-déjanté qui caractérise ton écriture.
Non que ce soit désagréable à lire mais pas évident parce que bien que les branches ne manquent pas elles ne semblent pas faites pour qu'on s'y raccorche.
Alors je tombe.
Et ça tombe bien puisque que c'est vers la fin que tout se passe.
Nilo, bleu-jaune-rouge-ures.
Sans doute à cause de ce côté surréalistico-brouillon-déjanté qui caractérise ton écriture.
Non que ce soit désagréable à lire mais pas évident parce que bien que les branches ne manquent pas elles ne semblent pas faites pour qu'on s'y raccorche.
Alors je tombe.
Et ça tombe bien puisque que c'est vers la fin que tout se passe.
Nilo, bleu-jaune-rouge-ures.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Sauve-ART
De l'avis du grand inquisiteur.
Pas sûr d'avoir compris, je reste " quoi "...
Un jour, le mur m'invitera à me repositionner avec des certitudes et quelques réponses.
Je te donnerai les miennes, pas celles des autres.
A+
Pas sûr d'avoir compris, je reste " quoi "...
Un jour, le mur m'invitera à me repositionner avec des certitudes et quelques réponses.
Je te donnerai les miennes, pas celles des autres.
A+
Re: Sauve-ART
J'y compte bien ! Rien ne me ferait plus plaisir, LauraDavies.
Merci à vous de vos arrêts sur mes mots.
Permettez-moi d'en ajouter deux trois.
Pour Nilo,
Cette analyse me fait plaisir à deux niveaux ; le texte proprement dit, avec ces branches que je coupe trop vite, comme des mirages auxquels je ne croirait pas, comme si j'en avais honte, et qui m'échappent aussi vite qu'ils sont arrivés, ce qui est un peu normal puisque je veux du concret et nullement du "rêve" (fougue de jeunesse) ; ces mirages ne sont jamais perdus, j'y suis revenus quand le moment le permettait, quand je pouvais le faire enfin. Et c'est, tu t'en doutes, un moment de grâce.
Alors pourquoi me diras-tu garder ce "brouillon" comme tu l'appelles ? Et pourquoi le partager ? Parce que j'y tiens, et cette volonté chez moi dépasse de beaucoup celle de plaire ou de briller tout seul sur mon mirador galactique qui aurait coupé tout lien avec le vivant, ce miracle de l'inachevé (comme l'appelait Picasso). Car, en fin de compte il s'agit bien de ça, ne crois-tu pas ?
Ces écrits de "mise en train" intitulés "Sauve-Art", sont pour moi une façon d'assouvir ma passion de l'expression et de trouver, non pas la clé, mais la force d'avancer dans ce domaine qu'est l'écriture et qui m'a toujours motivé et rappelé à l'ordre.
Je suis conscient de la chose artistique qui doit, non pas tromper son monde, mais montrer le meilleur de soi-même, et occulter tout ce qui ne serait pas brillant et vigoureusement optimiste (selon ce que l'on veut "dire")
Ecriture ou peinture ? Les trois.
Mais jamais je n'ai cédé à la tentation trop facile de bazarder l'un au profit de l'autre Art. Ils ne sont pas complémentaires. Les Dieux de ces Domaines ne l'admettent guère.
Ce fut d'ailleurs en son temps, aux débuts, et peut-être encore aujourd'hui (même si j'ai plus de discernement et de recul) un problème récurant, tant et si bien qu'il constitua le sujet principal de mon premier livre (d'où sont tirés ces passages).
Livre qui n'a jamais paru, mais sait-on jamais ?
C'est aussi pourquoi je le publie ici, pour y voir plus clair et surtout, SURTOUT, le sortir de l'ombre.
Voilà, j'espère avoir été clair et explicite.
Je vous remercie chaleureusement,
de votre attention et de vos lectures (et je m'excuse du fait étrange mais non moins réel qu'elles vous laissent un goût d'inachevé et d'inconfort notoire.) Je comprends cela fort bien !
Au plaisir,
Dam.
Merci à vous de vos arrêts sur mes mots.
Permettez-moi d'en ajouter deux trois.
Pour Nilo,
Cette analyse me fait plaisir à deux niveaux ; le texte proprement dit, avec ces branches que je coupe trop vite, comme des mirages auxquels je ne croirait pas, comme si j'en avais honte, et qui m'échappent aussi vite qu'ils sont arrivés, ce qui est un peu normal puisque je veux du concret et nullement du "rêve" (fougue de jeunesse) ; ces mirages ne sont jamais perdus, j'y suis revenus quand le moment le permettait, quand je pouvais le faire enfin. Et c'est, tu t'en doutes, un moment de grâce.
Alors pourquoi me diras-tu garder ce "brouillon" comme tu l'appelles ? Et pourquoi le partager ? Parce que j'y tiens, et cette volonté chez moi dépasse de beaucoup celle de plaire ou de briller tout seul sur mon mirador galactique qui aurait coupé tout lien avec le vivant, ce miracle de l'inachevé (comme l'appelait Picasso). Car, en fin de compte il s'agit bien de ça, ne crois-tu pas ?
Ces écrits de "mise en train" intitulés "Sauve-Art", sont pour moi une façon d'assouvir ma passion de l'expression et de trouver, non pas la clé, mais la force d'avancer dans ce domaine qu'est l'écriture et qui m'a toujours motivé et rappelé à l'ordre.
Je suis conscient de la chose artistique qui doit, non pas tromper son monde, mais montrer le meilleur de soi-même, et occulter tout ce qui ne serait pas brillant et vigoureusement optimiste (selon ce que l'on veut "dire")
Ecriture ou peinture ? Les trois.
Mais jamais je n'ai cédé à la tentation trop facile de bazarder l'un au profit de l'autre Art. Ils ne sont pas complémentaires. Les Dieux de ces Domaines ne l'admettent guère.
Ce fut d'ailleurs en son temps, aux débuts, et peut-être encore aujourd'hui (même si j'ai plus de discernement et de recul) un problème récurant, tant et si bien qu'il constitua le sujet principal de mon premier livre (d'où sont tirés ces passages).
Livre qui n'a jamais paru, mais sait-on jamais ?
C'est aussi pourquoi je le publie ici, pour y voir plus clair et surtout, SURTOUT, le sortir de l'ombre.
Voilà, j'espère avoir été clair et explicite.
Je vous remercie chaleureusement,
de votre attention et de vos lectures (et je m'excuse du fait étrange mais non moins réel qu'elles vous laissent un goût d'inachevé et d'inconfort notoire.) Je comprends cela fort bien !
Au plaisir,
Dam.
Re: Sauve-ART
Dam,
J'espère, mais n'en suis pas certain, que tu ne t'es pas offusqué de ce mot que j'ai employé.
Brouillon dans mon esprit ici est bien à prendre, non pas isolé, mais bien dans son entier contexte de mot composé surréalistico-brouillon-déjanté qui exprime pour moi un grand intérêt et beaucoup de tendresse.
C'est précisément ce côté fourre-tout, idées en vrac, à prendre ou à laisser, données en tout cas, qui me rend ton écriture attachante, même si parfois (souvent) je m'y accroche, je m'y écorche. Mais j'y reviens toujours...
Nilo, dégriffé.
J'espère, mais n'en suis pas certain, que tu ne t'es pas offusqué de ce mot que j'ai employé.
Brouillon dans mon esprit ici est bien à prendre, non pas isolé, mais bien dans son entier contexte de mot composé surréalistico-brouillon-déjanté qui exprime pour moi un grand intérêt et beaucoup de tendresse.
C'est précisément ce côté fourre-tout, idées en vrac, à prendre ou à laisser, données en tout cas, qui me rend ton écriture attachante, même si parfois (souvent) je m'y accroche, je m'y écorche. Mais j'y reviens toujours...
Nilo, dégriffé.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Sauve-ART
Eh bien Nilo, tu peux croire que ça ne m'a pas offusqué - c'est sûr et certain. J'ai juste eu besoin de faire le point, aussi pour moi, et je te remercie de m'avoir tendu une perche, de m'y avoir invité.
Le pire, c'est l'indifférence.
Dam.
Le pire, c'est l'indifférence.
Dam.
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