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Rencontre d'un autre type avec Laura D
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Dam
Zlatko
Nilo
Sylvie
LauraDavies
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Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
Page 1 sur 1
Rencontre d'un autre type avec Laura D
I/
LONDRES, 2010, cabinet de toilettes de Sir John.
État incompréhensible : viens là près de moi pour oublier que la terre existe.
Les fleurs sont le cuir du langage.
Quant à la jeunesse, elle est si « émotive » qu’il lui faut inventer des loups bleus, d’un kif
approximatif. Il lui faut inventer des pleurs d’oignons pour soins palliatifs.
Mea culpa, erreurs du diable, sagas de la diarrhée, aux trois couchers du soleil il sera bien trop tard pour vous vous exaspérer de la fossilisation ! Les écailles s’engouffrent. Le charbon danse.
Chaque impair mérite le rêve du matelot. Les pâquerettes mortes gambadent sur les rêves de
Tristan.
Jerez de la Frontera, moi, Lord John, je fais des anglaises aux espagnoles.
Adieu ! Adieu ! Les échos s’endorment. Je te disais qu’il faisait si froid sur Londres.
Et le gâteau de sable, un fauteuil victorien et les seins de la petite paysanne, l’enfant n’est pas
rentrée, j’ai oublié ma canne.
Je ferme les yeux.
Je ferme ma porte et oublie tout.
La mort de l’empereur crie contre l’arbre.
Du long voyage qui me conduira bientôt en portrait d’artiste jusqu’à Quidam ou Lol Del Putas.
Frutas y calor, repaires de traces.
Les cathédrales se blessent en tombant.
Des eaux de pluie engouffrées dans une Mercedes jaune.
Un parapluie, des bottines; et le chauve-sourire de Lord John.
Et de ce triste moi, un monde d’écumes :
Un monde très-formidable.
L’eau de la rosée ne descend jamais dans le puits. Car le silence s’épuise.
La verdure est morne ce soir.
Les mêmes ingratitudes suivent les tumultes grossiers.
La révolution est le seul endroit du monde où la terre est ferme, où la chair est ferme.
Petite, il y a la grande mort. Elle se cache. Vent d’autan, comme le soleil qui brûle.
SCENE AVEC PALLADIUM
Un baillon en métal perfuse ses lèvres molles. Le goût de la cendre.
Ainsi DIEU !
Courir la nuit ne sert à rien car demain il fera JOUR..
Proxima Centauri .Des étoiles vont et viennent dans ses yeux.
L’escalier qui monte vers les étoiles sanglote à perdre la voix.
Son visage, l’entourloupe.
Vieux chien, air autochtone.
Au fusain, elle nourrit l’angoisse avec sa chair plastique. Le chaos se nourrit de sa chair plastique.
Elle vient vitreuse-observée.
Il gifle ses joues.
Pas beaucoup de réponse.
Il se radoucit.
Elle a passé commande pour se déshabiller. C'est difficile.
Elle est moitié-pas. Pas encore allée.
Une triangulaire sauvage de sueur mouille son cou.
Elle vient mais jamais ne cherche un sourire.
Voulez-vous des espoirs ou des chaînes ?
A proxima. Le fumeur de souffrance.
Il serre. Il frotte. L'implacabilité du métal. Les petites douleurs s'accroissent.
Il la place de sorte qu'elle ne puisse pas tout à fait se tenir. Elle ne peut pas s'asseoir. Il n'y a aucun confort. Pas ici.
Il la roule dehors pour l'affichage. Laura D is a song.
Il l’appelle sa porcine. Caresse sa joue avec le pied.
Dans l’obscurité.
Croix de l’obscurité.
Quand elle vient, elle a des gémissements qui sont les mêmes gémissements que pour la douleur.
Mais la machine ne s'inquiète pas. Le métal ne s'inquiète pas. Elle est nulle part maintenant. Elle a misé une étape trop loin - au-dessus du bord de la terre et près de tomber.
Elévation.
Enigma.
L’ombre terrible tourne la clef et fait de l’ombre entre ses cuisses.
Mordue, elle ne sait plus comment utiliser sa bouche.
Sa langue fait bouche trou.
Mouche maritime. Biseautante.
…
Elle ressemble à l’abeille et se déhanche malencontreusement, attachée sur le banc, un
Marshmallow jaune et noir.
Lord John, dans ses invitations au voyage, monde d’Oliver Cromwell, traduit l’amour des effroyables, ange-oiseau aux préférences nocturnes dans les traversées aux miroirs.
La jeune fille fume sur la table du vétérinaire. Elle fume des rêves aux teintes noires…
Le montreur d’abbesses, ah ! nom d’un petit foutre !
II/
JEREZ DE LA FRONTERA, 2011
Elle m’a vu enfermé là, dans ma bulle, au milieu des tombeaux, là-haut
une sonate hurlait au croissant de la lune.
Me rapprochant du point de fuite, en promenade sous les acacias.
– « les Mâtins de Naples combattaient les lions dans l’arène, le saviez-vous John ? »
Des règles très strictes l’ont empêché d’emmener le jeune monstre avec elle dans son voyage en Transylvanie. Quatre vingt cinq kilogrammes d’amour monstre, de puissance et de douceur. Elle me montre des photos. Affectueusement, elle l’a surnommé Doctor John, affirme t-elle espiègle.
Par téléphone, avant notre rencontre, je ne me souvenais pas que Laura Davies avait autant de tâches de rousseurs dans la voix.
« Je ne connais plus aucun personnage capable
de peupler un poème quel qu’il soit
je ne suis l’affinité que de mon oeil »
– « C’est le dernier que j’ai écrit pour vous…dans les caves de Dracula ! »
Quel magnifique geste phallique !
Le savoir n’a pas été trahi.
Rêveuse de lampions dans l’exacte décimale, ma Laura.
Aux trois couchers du soleil qu’avale l’écaille des chardons, mon équilibre trébuche car Laura a grandi.
Elle me dit ne plus vouloir jouer de mon instrument. Elle hait les statisticiens de la musique. L’horloge
payante de tous ces chiens de critiques l’a jetée bohémienne le long des routes de la vieille Europe de l’ouest.
Au croisement des routes dévisagées, elle a mûri sans doute. Gardant mes lettres sur son coeur, mes lèvres sur sa bouche. Elle sentait mon sexe s’enfoncer dans sa tête. Chaque jour, elle lisait les longues énumérations de Daniel Defoe, « Journal de l’année de la peste », l‘ « Ulysse » de Joyce, Swfit, Dickens…
Elle a beaucoup aimé la Roumanie, les yeux abattus des chevaux, les vieilles femmes lui ont parlé
de religion, de stupeur, en avançant sur le Delta du Danube les oiseaux déshabillaient le soleil
couchant.
– « Vous pleurez John ? »
– « Non, il faut que je m’habitue. Choisir les bons mots, savoir faire les bons gestes. Me taire, boire, écrire un peu. J’ai choisi mon Alcatraz. Sans regrets, alors… »
– « Avez-vous eu des nouvelles de Palladium ? J’ai respecté le contrat. Il y a trois mois, je me suis rendu à Amsterdam. Sa boîte de prod m’a refusé l’entrée et ils m’ont dit que si je publiais sa biographie, Palladium me mettrait des bâtons dans les roues, qu’il tuerait mon avenir. »
– « Je ne b…e plus mais je possède encore tout l’argent nécessaire pour le faire plier. Il me reste encore quelques amis sur la côte Est qui se verraient ravis d’embrasser son cadavre. Sans te parler de l’administration américaine, et même si Obama vient à être élu, il se verra lui aussi enchanté d’avoir une si belle épine enlevée du pied. Je connais Palladium, nous irons lui rendre visite tous les deux. »
En référence à Artaud, quel tue-mouche celui-là…! un article sous la vidéo retranscrit le passage de Laura.
En sainte de Palladium ou Le Théâtre de la cruauté
« Maybe sometimes he wonders why he likes to hurt them. The women. Why he likes to make them not quite human. With this one, he's decided he'll immobilize her mouth, thereby immobilizing her flesh. Because her flesh controls him, those breasts that he ties so tight they balloon. He beats them. Palladium, himself. Tweaks them. Foamy drool spills down her chin.
She squirms. She screams. And then he plays with her clit and she begs for it. She moans. And when she comes, she screams again. It's not that different - the pain and the pleasure. And besides, maybe he likes the screams.
He screws her mouth to the floor. He whips her. He canes her. Harsh marks crisscross all over her body, spiking her into the never never land of love. Her pussy swells. She's lost all sense. She's hysterical. He spanks her ass till it's red like a baboon in heat. Pure animal. Pure flesh. Pure love.
The stocks are made of thick wood, heavy. They hold her wrists and neck. She's chained to a post.
This is how people go mad. Because there's no relief. No end. Nothing but the unrelenting pain of being alive. He stuffs food into her mouth until she overflows. She tries her best. But it will never be enough. Not for her or for him. At some point he'll make it worse. It always gets worse. Because he's restless. So he wanders about, held in thrall, lost in her garden of misery. »
John pleure en lisant. Est-ce Palladium qui l’a écrit ?
LONDRES, 2010, cabinet de toilettes de Sir John.
État incompréhensible : viens là près de moi pour oublier que la terre existe.
Les fleurs sont le cuir du langage.
Quant à la jeunesse, elle est si « émotive » qu’il lui faut inventer des loups bleus, d’un kif
approximatif. Il lui faut inventer des pleurs d’oignons pour soins palliatifs.
Mea culpa, erreurs du diable, sagas de la diarrhée, aux trois couchers du soleil il sera bien trop tard pour vous vous exaspérer de la fossilisation ! Les écailles s’engouffrent. Le charbon danse.
Chaque impair mérite le rêve du matelot. Les pâquerettes mortes gambadent sur les rêves de
Tristan.
Jerez de la Frontera, moi, Lord John, je fais des anglaises aux espagnoles.
Adieu ! Adieu ! Les échos s’endorment. Je te disais qu’il faisait si froid sur Londres.
Et le gâteau de sable, un fauteuil victorien et les seins de la petite paysanne, l’enfant n’est pas
rentrée, j’ai oublié ma canne.
Je ferme les yeux.
Je ferme ma porte et oublie tout.
La mort de l’empereur crie contre l’arbre.
Du long voyage qui me conduira bientôt en portrait d’artiste jusqu’à Quidam ou Lol Del Putas.
Frutas y calor, repaires de traces.
Les cathédrales se blessent en tombant.
Des eaux de pluie engouffrées dans une Mercedes jaune.
Un parapluie, des bottines; et le chauve-sourire de Lord John.
Et de ce triste moi, un monde d’écumes :
Un monde très-formidable.
L’eau de la rosée ne descend jamais dans le puits. Car le silence s’épuise.
La verdure est morne ce soir.
Les mêmes ingratitudes suivent les tumultes grossiers.
La révolution est le seul endroit du monde où la terre est ferme, où la chair est ferme.
Petite, il y a la grande mort. Elle se cache. Vent d’autan, comme le soleil qui brûle.
SCENE AVEC PALLADIUM
Un baillon en métal perfuse ses lèvres molles. Le goût de la cendre.
Ainsi DIEU !
Courir la nuit ne sert à rien car demain il fera JOUR..
Proxima Centauri .Des étoiles vont et viennent dans ses yeux.
L’escalier qui monte vers les étoiles sanglote à perdre la voix.
Son visage, l’entourloupe.
Vieux chien, air autochtone.
Au fusain, elle nourrit l’angoisse avec sa chair plastique. Le chaos se nourrit de sa chair plastique.
Elle vient vitreuse-observée.
Il gifle ses joues.
Pas beaucoup de réponse.
Il se radoucit.
Elle a passé commande pour se déshabiller. C'est difficile.
Elle est moitié-pas. Pas encore allée.
Une triangulaire sauvage de sueur mouille son cou.
Elle vient mais jamais ne cherche un sourire.
Voulez-vous des espoirs ou des chaînes ?
A proxima. Le fumeur de souffrance.
Il serre. Il frotte. L'implacabilité du métal. Les petites douleurs s'accroissent.
Il la place de sorte qu'elle ne puisse pas tout à fait se tenir. Elle ne peut pas s'asseoir. Il n'y a aucun confort. Pas ici.
Il la roule dehors pour l'affichage. Laura D is a song.
Il l’appelle sa porcine. Caresse sa joue avec le pied.
Dans l’obscurité.
Croix de l’obscurité.
Quand elle vient, elle a des gémissements qui sont les mêmes gémissements que pour la douleur.
Mais la machine ne s'inquiète pas. Le métal ne s'inquiète pas. Elle est nulle part maintenant. Elle a misé une étape trop loin - au-dessus du bord de la terre et près de tomber.
Elévation.
Enigma.
L’ombre terrible tourne la clef et fait de l’ombre entre ses cuisses.
Mordue, elle ne sait plus comment utiliser sa bouche.
Sa langue fait bouche trou.
Mouche maritime. Biseautante.
…
Elle ressemble à l’abeille et se déhanche malencontreusement, attachée sur le banc, un
Marshmallow jaune et noir.
Lord John, dans ses invitations au voyage, monde d’Oliver Cromwell, traduit l’amour des effroyables, ange-oiseau aux préférences nocturnes dans les traversées aux miroirs.
La jeune fille fume sur la table du vétérinaire. Elle fume des rêves aux teintes noires…
Le montreur d’abbesses, ah ! nom d’un petit foutre !
II/
JEREZ DE LA FRONTERA, 2011
Elle m’a vu enfermé là, dans ma bulle, au milieu des tombeaux, là-haut
une sonate hurlait au croissant de la lune.
Me rapprochant du point de fuite, en promenade sous les acacias.
– « les Mâtins de Naples combattaient les lions dans l’arène, le saviez-vous John ? »
Des règles très strictes l’ont empêché d’emmener le jeune monstre avec elle dans son voyage en Transylvanie. Quatre vingt cinq kilogrammes d’amour monstre, de puissance et de douceur. Elle me montre des photos. Affectueusement, elle l’a surnommé Doctor John, affirme t-elle espiègle.
Par téléphone, avant notre rencontre, je ne me souvenais pas que Laura Davies avait autant de tâches de rousseurs dans la voix.
« Je ne connais plus aucun personnage capable
de peupler un poème quel qu’il soit
je ne suis l’affinité que de mon oeil »
– « C’est le dernier que j’ai écrit pour vous…dans les caves de Dracula ! »
Quel magnifique geste phallique !
Le savoir n’a pas été trahi.
Rêveuse de lampions dans l’exacte décimale, ma Laura.
Aux trois couchers du soleil qu’avale l’écaille des chardons, mon équilibre trébuche car Laura a grandi.
Elle me dit ne plus vouloir jouer de mon instrument. Elle hait les statisticiens de la musique. L’horloge
payante de tous ces chiens de critiques l’a jetée bohémienne le long des routes de la vieille Europe de l’ouest.
Au croisement des routes dévisagées, elle a mûri sans doute. Gardant mes lettres sur son coeur, mes lèvres sur sa bouche. Elle sentait mon sexe s’enfoncer dans sa tête. Chaque jour, elle lisait les longues énumérations de Daniel Defoe, « Journal de l’année de la peste », l‘ « Ulysse » de Joyce, Swfit, Dickens…
Elle a beaucoup aimé la Roumanie, les yeux abattus des chevaux, les vieilles femmes lui ont parlé
de religion, de stupeur, en avançant sur le Delta du Danube les oiseaux déshabillaient le soleil
couchant.
– « Vous pleurez John ? »
– « Non, il faut que je m’habitue. Choisir les bons mots, savoir faire les bons gestes. Me taire, boire, écrire un peu. J’ai choisi mon Alcatraz. Sans regrets, alors… »
– « Avez-vous eu des nouvelles de Palladium ? J’ai respecté le contrat. Il y a trois mois, je me suis rendu à Amsterdam. Sa boîte de prod m’a refusé l’entrée et ils m’ont dit que si je publiais sa biographie, Palladium me mettrait des bâtons dans les roues, qu’il tuerait mon avenir. »
– « Je ne b…e plus mais je possède encore tout l’argent nécessaire pour le faire plier. Il me reste encore quelques amis sur la côte Est qui se verraient ravis d’embrasser son cadavre. Sans te parler de l’administration américaine, et même si Obama vient à être élu, il se verra lui aussi enchanté d’avoir une si belle épine enlevée du pied. Je connais Palladium, nous irons lui rendre visite tous les deux. »
En référence à Artaud, quel tue-mouche celui-là…! un article sous la vidéo retranscrit le passage de Laura.
En sainte de Palladium ou Le Théâtre de la cruauté
« Maybe sometimes he wonders why he likes to hurt them. The women. Why he likes to make them not quite human. With this one, he's decided he'll immobilize her mouth, thereby immobilizing her flesh. Because her flesh controls him, those breasts that he ties so tight they balloon. He beats them. Palladium, himself. Tweaks them. Foamy drool spills down her chin.
She squirms. She screams. And then he plays with her clit and she begs for it. She moans. And when she comes, she screams again. It's not that different - the pain and the pleasure. And besides, maybe he likes the screams.
He screws her mouth to the floor. He whips her. He canes her. Harsh marks crisscross all over her body, spiking her into the never never land of love. Her pussy swells. She's lost all sense. She's hysterical. He spanks her ass till it's red like a baboon in heat. Pure animal. Pure flesh. Pure love.
The stocks are made of thick wood, heavy. They hold her wrists and neck. She's chained to a post.
This is how people go mad. Because there's no relief. No end. Nothing but the unrelenting pain of being alive. He stuffs food into her mouth until she overflows. She tries her best. But it will never be enough. Not for her or for him. At some point he'll make it worse. It always gets worse. Because he's restless. So he wanders about, held in thrall, lost in her garden of misery. »
John pleure en lisant. Est-ce Palladium qui l’a écrit ?
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Il me faut du temps pour bien suivre et comprendre...
Donc accorde m'en un peu ok?
PS: pour la partie en anglais, je vais faire appel au traducteur mais pas celui du net ( même si je suis certaine qu'il va à nouveau me donner des idées mais à celui avec lequel je partage ma vie et qui , lui aussi, va me donner des idées...juste un peu différentes!
....à suivre
Sylvie
Donc accorde m'en un peu ok?
PS: pour la partie en anglais, je vais faire appel au traducteur mais pas celui du net ( même si je suis certaine qu'il va à nouveau me donner des idées mais à celui avec lequel je partage ma vie et qui , lui aussi, va me donner des idées...juste un peu différentes!
....à suivre
Sylvie
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Oh Putain !
Laura est de retour !
Pas le temps tout de suite de lui faire la cour mais j'y reviendrai.
Nilo, vivement ce soir.
Laura est de retour !
Pas le temps tout de suite de lui faire la cour mais j'y reviendrai.
Nilo, vivement ce soir.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Cette rencontre est brutale, faite de liens très forts.
Peut-être est-ce de les serrer si fort qui a mis des taches de rousseur dans la voix de Laura D.
Mais sans doute qu'elle doit aimer ces rapports "tendus" à l'extrême pour s'y soumettre ainsi.
Je n'ai pas vu la vidéo mais j'ai vu les images...
Tu fais de la poésie avec l'insoutenable, et tu le rends léger.
On n'embastille plus la poésie, le Divin Marquis aurait peut-être aimé notre époque.
Nilo, DAFiste.
Peut-être est-ce de les serrer si fort qui a mis des taches de rousseur dans la voix de Laura D.
Mais sans doute qu'elle doit aimer ces rapports "tendus" à l'extrême pour s'y soumettre ainsi.
Je n'ai pas vu la vidéo mais j'ai vu les images...
Tu fais de la poésie avec l'insoutenable, et tu le rends léger.
On n'embastille plus la poésie, le Divin Marquis aurait peut-être aimé notre époque.
Nilo, DAFiste.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Lu a une époque. Difficile d'y poser des mots.
A lire de toute façon!
Z.
A lire de toute façon!
Z.
Zlatko- MacadAccro
- Messages : 1621
Date d'inscription : 30/08/2009
Age : 33
Localisation : Centre
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Tu as bien fait Z. de nous ramener Laura.
Nilo, en manque.
Nilo, en manque.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Venez lire du LauraDavies, pas parce que Le Printemps de la Prose vous y invite.
Non, simplement parce que c'est parmi ce qui se fait de mieux dans l'écriture poétique du XXIème siècle.
Nilo, même pas peur.
Non, simplement parce que c'est parmi ce qui se fait de mieux dans l'écriture poétique du XXIème siècle.
Nilo, même pas peur.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Relu cet ensemble avec intérêt... Et délectation.
C'est peu, je m'en rends compte, comme ce qu'il y a dessus d'ailleurs.
Pourquoi on dit, "sur" mon compte, et pas "dans" mon compte ? Question de respect sans doute. Il s'est barré en courant comme un chien sur un os. Encore un sur... sûr de son coup.
C'est sûr !
Dam.
C'est peu, je m'en rends compte, comme ce qu'il y a dessus d'ailleurs.
Pourquoi on dit, "sur" mon compte, et pas "dans" mon compte ? Question de respect sans doute. Il s'est barré en courant comme un chien sur un os. Encore un sur... sûr de son coup.
C'est sûr !
Dam.
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
TES MOTS NOUS MANQUENT BIEN SOUVENT !!!
Mille pensées
Sylvie
Mille pensées
Sylvie
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Merci à Jonqmarley d'avoir fait "remonter" ce texte, cette œuvre ... non ce chef d'œuvre serait plus exacte
Tu dois peut être beaucoup à l'écriture mais crois moi, et je ne suis pas la seule à le penser et à le dire, la poésie "d'aujourd'hui" te doit et te devra beaucoup ...
J'ai mis du temps à comprendre ton écriture, enfin comprendre n'est pas le terme approprié, à l'approcher, à me laisser apprivoiser par tes mots, et au fur et à mesure de mes rencontres avec ta plume j'ai grandit poétiquement parlant, j'ai découvert tant de mondes insoupçonnés, tant de chose, de sentiments ... tu es un artiste dans le sens le plus noble du terme, ne l'oublie jamais, n'en doute jamais.
Clémence
Tu dois peut être beaucoup à l'écriture mais crois moi, et je ne suis pas la seule à le penser et à le dire, la poésie "d'aujourd'hui" te doit et te devra beaucoup ...
J'ai mis du temps à comprendre ton écriture, enfin comprendre n'est pas le terme approprié, à l'approcher, à me laisser apprivoiser par tes mots, et au fur et à mesure de mes rencontres avec ta plume j'ai grandit poétiquement parlant, j'ai découvert tant de mondes insoupçonnés, tant de chose, de sentiments ... tu es un artiste dans le sens le plus noble du terme, ne l'oublie jamais, n'en doute jamais.
Clémence
cendrillon- MacadAdo
- Messages : 142
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 36
Localisation : Ardennes (08)
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Ma voix au concert du silence
Ratoune- MacadAccro
- Messages : 1891
Date d'inscription : 01/09/2009
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Et je vous le ramène et j'exulte autant que d'habitude !
Z, que dire après ça.
Z, que dire après ça.
Zlatko- MacadAccro
- Messages : 1621
Date d'inscription : 30/08/2009
Age : 33
Localisation : Centre
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Onzième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...
Dédé.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant dans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...
Dédé.
_________________
Ciao les gonzesses, c'était Dédé.
Dédé- MacaDédé
- Messages : 1885
Date d'inscription : 04/09/2009
Re: Rencontre d'un autre type avec Laura D
Quel bonheur de lecture !
Nilo, en manque.
Nilo, en manque.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
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