Le Monstre

Texte effacé à la demande de l'auteur.

Nilo, administrateur.

S'il n'y en n'avait qu'un !

Tu vois le precedent avait du bon : Perso, je te prefere en prose et j'ai bien aimé toutes questions là...
Monstre je n'en sais rien, mais c'est quoi un monstre?

Pour ma part je me serais arrêté à
Et puis j’écris, j’écris, j’écris
Le reste semble tellement inutile... Et vient ternir cette introspection.

Nilo, pour trois fois rien.

Il semble que je n'arrive pas à répondre, ceci n'est donc qu'un test

Oui, je me sens de plus en plus prosaïque... est-ce de la prose que j'ai écrit ?

J'avais répondu à Ratoune mais mon post s'est perdu (pare-feu hyper intolérant).

Pour répondre à vous deux : oui, on peut dire qu'on a plusieurs monstres au sens métaphorique "As-tu réussi à apprivoiser tes monstres" ?
On fait référence à des défauts, des vices ouo des obsessions.
Ce n'est pas de ça que je parle, bien que LE MONSTRE est peut-être le père de tous les autres...Je parle d'une expérience que tu n'as pas vécue puisque
tue ne comprends visiblement pas de quoi je parle... LE MONSTRE, c'est une expérience que j'ai vécue et vis très souvent quand je plonge en moi-même
(je ne dis pas "médite" car le mot a trop de connotations). Il est unique, il est aufond de nous, comme le Mr Hide du Dr Jekyll... et je l'ai rencontré.

Je crois aussi que quelque part Rimbaud parlait de se faire "monstrueux" ou quelque chose comme ça. Je ne pensais pas à la poésie quand j'ai rencontré le Monstre.
Mais c'est lui qui me pousse à écrire.

Nilo a écrit:Pour ma part je me serais arrêté à
Et puis j’écris, j’écris, j’écris
Le reste semble tellement inutile... Et vient ternir cette introspection.

Nilo, pour trois fois rien.

Ben... Je pose la question aux autres aussi, c'est pour ça que j'ai mis cette fin, je les questionne (sans attendre forcément une réponse directe)

De l'énervement, du questionnement... Moi aussi je t'aime bien en prose et je trouve qu'ici tu t'exprimes sans réelle barrière. Je suis mitigée pour la fin, elle n'apporte rien peut-être, mais je l'aime bien quand même. À suivre

Bon, si c'est que ça j'enlèverai la fin pour mon éditeur.
Le mot "énervement" me semble un peu trop modéré. A suivre...

Ce n'était en rien une remarque désobligeante. Je m'excuse si elle t'a blésé. Je t'ai juste dit ce que j'ai ressentit en lisant ton poème.

Moi non plus je ne voulais pas être désobligeante. Toutes mes excuses si je l'ai été.

J'ai bien placé tes mots en moi et si il y a réponse à ce poème, je dirais
Oui, un "monstre" dort en nous, mais n'est ce pas lui aussi la source de nos écrits?
" l'ange" donne des ailes, "le monstre" les construit.

Pour les réflexions:

Moi aussi j'aime la fin mais exactement comme Nilo, je me serais arrêté à : "j'écris..."

Ceci dit, je pense que le après pourrait être allégé et glissé au coeur du poème car j'y vois bien sa place et je trouverais dommage de le bannir.

Sylvie

Sylvie a écrit:J'ai bien placé tes mots en moi

Ah ! Merci, Sylvie, c'est un poème qui se lit comme ça, il me semble

et si il y a réponse à ce poème, je dirais
Oui, un "monstre" dort en nous, mais n'est ce pas lui aussi la source de nos écrits?
" l'ange" donne des ailes, "le monstre" les construit.

Oui, je le pense aussi.

Merci pour tes autres réflexions. Oui, le questionnement est peut-être un peu lourd car repris à la fin.