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L'amour,la lune et Prague
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Io Kanaan
Sylvie
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Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
L'amour,la lune et Prague
Rentrer dans tes yeux
tout oublier
c'est comme ton intimité
sait si bien me dire
que la vie est là autour de nous
Que nous saurons déchirer
les drapeaux d'or
qu'ils voulaient nous accrocher
autour du cou
déshabillée je t'aime plus que tout
simple et complexe à l'infini
Le sexe aura sa mission à minuit
Redonner aux humains leur chair
leur odeur et leur pudeur aussi
La dignité animale qu'on nous avais ôté
l'instinct d'aimer
et même dans l'amour
l'instinct de se soulever
au dessus des discours
Jouissons discrètement pour entendre nos blessures
Touche ma bouche de tes lèvres et ressent les brûlures
Des non-dits, des esprits qui me hanteront à vie
et bois cette larme qui sort de mon cercueil
Moi je suis reparti incendié mon linceul
Le bon dieu qui nous guette à envoyés ses anges
Ils ont survolés tout ça
nous ont vu tellement nus
décharnés de tristesse
de haine et d'espérance
qu'on était plus beaux qu'eux
qu'on était prêts pour l'envol
légers souples comme les blés
qui poussaient autrefois.
J'écrirai ta voix et j'écrirai tes seins
qui sont beaux comme tes yeux
qui me donnent la main
Camarade amoureuse
joue tes secrets aux runes
en dessous de la lune
lascive, calme. Uruz .
Posté derrière les dunes
je suis réincarné
en un million de morts
et je renaît enfin
pour leur dire qu'après
qu'après ça y'a plus rien
amie intime je t'aime
frôlons l'infime bohême
j'ai brûlé mes poèmes
c'était tellement idiot
mes derniers mots
pour la Moldau.
Moi qui ai le ciel pragois de ton corps romantique
qui s'élève sur moi comme un couteau tragique
tue moi une dernière fois que je puisse toucher l'aurore
Envoie moi en l'air c'est là qu'est mon port.
tout oublier
c'est comme ton intimité
sait si bien me dire
que la vie est là autour de nous
Que nous saurons déchirer
les drapeaux d'or
qu'ils voulaient nous accrocher
autour du cou
déshabillée je t'aime plus que tout
simple et complexe à l'infini
Le sexe aura sa mission à minuit
Redonner aux humains leur chair
leur odeur et leur pudeur aussi
La dignité animale qu'on nous avais ôté
l'instinct d'aimer
et même dans l'amour
l'instinct de se soulever
au dessus des discours
Jouissons discrètement pour entendre nos blessures
Touche ma bouche de tes lèvres et ressent les brûlures
Des non-dits, des esprits qui me hanteront à vie
et bois cette larme qui sort de mon cercueil
Moi je suis reparti incendié mon linceul
Le bon dieu qui nous guette à envoyés ses anges
Ils ont survolés tout ça
nous ont vu tellement nus
décharnés de tristesse
de haine et d'espérance
qu'on était plus beaux qu'eux
qu'on était prêts pour l'envol
légers souples comme les blés
qui poussaient autrefois.
J'écrirai ta voix et j'écrirai tes seins
qui sont beaux comme tes yeux
qui me donnent la main
Camarade amoureuse
joue tes secrets aux runes
en dessous de la lune
lascive, calme. Uruz .
Posté derrière les dunes
je suis réincarné
en un million de morts
et je renaît enfin
pour leur dire qu'après
qu'après ça y'a plus rien
amie intime je t'aime
frôlons l'infime bohême
j'ai brûlé mes poèmes
c'était tellement idiot
mes derniers mots
pour la Moldau.
Moi qui ai le ciel pragois de ton corps romantique
qui s'élève sur moi comme un couteau tragique
tue moi une dernière fois que je puisse toucher l'aurore
Envoie moi en l'air c'est là qu'est mon port.
_________________
le silence se fait entendre
spandrell- MacadAccro
- Messages : 573
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: L'amour,la lune et Prague
Que de belles choses ici.
Comme ce passage
Jouissons discrètement pour entendre nos blessures
Touche ma bouche de tes lèvres et ressent les brûlures
Des non-dits, des esprits qui me hanteront à vie
et bois cette larme qui sort de mon cercueil
Moi je suis reparti incendié mon linceul
pour n'en citer qu'un.
Je n'ai pas tout aimé (et les fautes m'ont gêné) mais je dis ça parce que globalement je suis content de t'avoir lu ainsi.
Nilo, Danube bleu nuit.
Comme ce passage
Jouissons discrètement pour entendre nos blessures
Touche ma bouche de tes lèvres et ressent les brûlures
Des non-dits, des esprits qui me hanteront à vie
et bois cette larme qui sort de mon cercueil
Moi je suis reparti incendié mon linceul
pour n'en citer qu'un.
Je n'ai pas tout aimé (et les fautes m'ont gêné) mais je dis ça parce que globalement je suis content de t'avoir lu ainsi.
Nilo, Danube bleu nuit.
Dernière édition par Nilo le Mar 9 Nov - 19:48, édité 1 fois
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: L'amour,la lune et Prague
Autant le début paraissait comme une écriture naïve, autant la suite m'a vraiment impressionnée.
"Le sexe aura sa mission à minuit
Redonner aux humains leur chair
leur odeur et leur pudeur aussi
La dignité animale qu'on nous avais ôté
l'instinct d'aimer
et même dans l'amour
l'instinct de se soulever
au dessus des discours"
C'est à partir de là que je me suis accrochée au texte
Ta plume mérite le détour.
Sylvie
"Le sexe aura sa mission à minuit
Redonner aux humains leur chair
leur odeur et leur pudeur aussi
La dignité animale qu'on nous avais ôté
l'instinct d'aimer
et même dans l'amour
l'instinct de se soulever
au dessus des discours"
C'est à partir de là que je me suis accrochée au texte
Ta plume mérite le détour.
Sylvie
Re: L'amour,la lune et Prague
Bravo Spandrell !
J'ai aimé !
H.
J'ai aimé !
H.
hortense- MacadAccro
- Messages : 832
Date d'inscription : 19/09/2009
Re: L'amour,la lune et Prague
Moi j'ai eu du mal.
Le début sonne comme une cavalcade, court, bref, concis, malheureusement je n'accroche pas vraiment, parce qu'il n'y a pas de réelle cavalcade au sein des mots, la forme me donne envie d'un autre fond, mais elle m'entraîne malgré tout vers la suite, alors le pari est probablement réussi.
"c'est comme ton intimité
sait si bien me dire"
Ca fait quand même faussement simpliste et ça me dérange.
"leur odeur et leur pudeur aussi"
Ce vers-là je l'aime bien, il relance ma lecture.
"Jouissons discrètement pour entendre nos blessures
Touche ma bouche de tes lèvres et ressent les brûlures
Des non-dits, des esprits qui me hanteront à vie
et bois cette larme qui sort de mon cercueil
Moi je suis reparti incendié mon linceul"
C'est vrai que c'est pas trop mal, ce passage, mais pourquoi ajouter "de tes lèvres" ? C'est tellement un non-sens avec "des non-dits" juste après, et c'est tellement en trop ici, j'ai l'impression...
"légers souples comme les blés
qui poussaient autrefois."
Et là, j'ai décroché.
"J'écrirai ta voix et j'écrirai tes seins
qui sont beaux comme tes yeux
qui me donnent la main"
Ouh là... Pour les poèmes, même si on veut faire des comparaisons, on s'entraîne à éradiquer le mot "comme" du vocabulaire, on s'entraîne même aussi à éradiquer "qui sont beaux comme tes yeux" des possibles.
"lascive, calme. Uruz ."
?
"pour leur dire qu'après
qu'après ça y'a plus rien"
Un peu naïf, mais au fond ça passe pas mal ici. Ca rend le texte vivant quelque part, et m'incite à terminer ma lecture.
"amie intime je t'aime
frôlons l'infime bohême
j'ai brûlé mes poèmes
c'était tellement idiot
mes derniers mots
pour la Moldau."
L'allitération en m est intéressante, mais trop poussive, et l'assonance en o juste derrière anéantit malheureusement l'effet, trop de o tue le m.
"qui s'élève sur moi comme un couteau tragique
tue moi une dernière fois que je puisse toucher l'aurore"
Le premier vers ici est beau, le deuxième poussif et absurde, le but d'un poème n'est pas forcément de toucher la métaphore, mais plutôt nous transpercer nous aussi à coups de couteaux au coeur des mots.
Il n'y a qu'en écrivant qu'on apprend sans cesse à écrire, et si je te dis tout ça, c'est parce qu'avec un peu de recul et du travail, on arrive souvent à faire mieux, je suis sur que tu le peux, il ne tient qu'à toi de le vouloir.
Essaye d'épurer, ne te laisse pas hanter par tous les mots qui déboulent quand une idée ou un sentiment te dévorent, prends le temps de vivre avec ton idée ou ton sentiment, et laisse l'esprit s'y mêler doucement, il fera le tri plus simplement.
Le début sonne comme une cavalcade, court, bref, concis, malheureusement je n'accroche pas vraiment, parce qu'il n'y a pas de réelle cavalcade au sein des mots, la forme me donne envie d'un autre fond, mais elle m'entraîne malgré tout vers la suite, alors le pari est probablement réussi.
"c'est comme ton intimité
sait si bien me dire"
Ca fait quand même faussement simpliste et ça me dérange.
"leur odeur et leur pudeur aussi"
Ce vers-là je l'aime bien, il relance ma lecture.
"Jouissons discrètement pour entendre nos blessures
Touche ma bouche de tes lèvres et ressent les brûlures
Des non-dits, des esprits qui me hanteront à vie
et bois cette larme qui sort de mon cercueil
Moi je suis reparti incendié mon linceul"
C'est vrai que c'est pas trop mal, ce passage, mais pourquoi ajouter "de tes lèvres" ? C'est tellement un non-sens avec "des non-dits" juste après, et c'est tellement en trop ici, j'ai l'impression...
"légers souples comme les blés
qui poussaient autrefois."
Et là, j'ai décroché.
"J'écrirai ta voix et j'écrirai tes seins
qui sont beaux comme tes yeux
qui me donnent la main"
Ouh là... Pour les poèmes, même si on veut faire des comparaisons, on s'entraîne à éradiquer le mot "comme" du vocabulaire, on s'entraîne même aussi à éradiquer "qui sont beaux comme tes yeux" des possibles.
"lascive, calme. Uruz ."
?
"pour leur dire qu'après
qu'après ça y'a plus rien"
Un peu naïf, mais au fond ça passe pas mal ici. Ca rend le texte vivant quelque part, et m'incite à terminer ma lecture.
"amie intime je t'aime
frôlons l'infime bohême
j'ai brûlé mes poèmes
c'était tellement idiot
mes derniers mots
pour la Moldau."
L'allitération en m est intéressante, mais trop poussive, et l'assonance en o juste derrière anéantit malheureusement l'effet, trop de o tue le m.
"qui s'élève sur moi comme un couteau tragique
tue moi une dernière fois que je puisse toucher l'aurore"
Le premier vers ici est beau, le deuxième poussif et absurde, le but d'un poème n'est pas forcément de toucher la métaphore, mais plutôt nous transpercer nous aussi à coups de couteaux au coeur des mots.
Il n'y a qu'en écrivant qu'on apprend sans cesse à écrire, et si je te dis tout ça, c'est parce qu'avec un peu de recul et du travail, on arrive souvent à faire mieux, je suis sur que tu le peux, il ne tient qu'à toi de le vouloir.
Essaye d'épurer, ne te laisse pas hanter par tous les mots qui déboulent quand une idée ou un sentiment te dévorent, prends le temps de vivre avec ton idée ou ton sentiment, et laisse l'esprit s'y mêler doucement, il fera le tri plus simplement.
Epiphyte- MacaDeb
- Messages : 43
Date d'inscription : 28/09/2009
Re: L'amour,la lune et Prague
Merci à tous de votre passage ici, oui Nilo, c'est sur que tout n'est pas du même niveau, et je dois aussi corriger les fautes. Io, oui se réincarner en million de mots c'est très plaisant comme image, merci pour les soutiens de Lalou, Hortense, Sylvie.
Epiphyte, tu as du passer du temps à découper mon texte en tranches pour l'analyser et rien que ça, ça a quelque chose d'appréciable; je vais tenter de te répondre...
Le début est simple et il se peut que l'homogénéité des mots ne soit pas parfaite puisque ça faisait longtemps que je n'avais pas écrit.
-"c'est comme ton intimité
sait si bien me dire"
Ca fait quand même faussement simpliste et ça me dérange.
-C'est juste vraiment simpliste comme un retour aux sources, peut-être un peu pathétique à la rigueur.
-"Jouissons discrètement pour entendre nos blessures
Touche ma bouche de tes lèvres et ressent les brûlures
Des non-dits, des esprits qui me hanteront à vie
et bois cette larme qui sort de mon cercueil
Moi je suis reparti incendié mon linceul"
C'est vrai que c'est pas trop mal, ce passage, mais pourquoi ajouter "de tes lèvres" ? C'est tellement un non-sens avec "des non-dits" juste après, et c'est tellement en trop ici, j'ai l'impression...
-Ce n'est pas un non-sens puisque les lèvres sont les siennes et les non-dits sont les miens, il y a aussi le sexe, la mort ici, alors les lèvres, ça peut aussi bien être le baiser de la mort qu'un jeu d'amour... à chacun de voir ce qu'il veut y voir.
-"légers souples comme les blés
qui poussaient autrefois."
Et là, j'ai décroché
-Là je peux te comprendre, c'est peut-être de trop voir hors-sujet.
-"J'écrirai ta voix et j'écrirai tes seins
qui sont beaux comme tes yeux
qui me donnent la main"
Ouh là... Pour les poèmes, même si on veut faire des comparaisons, on s'entraîne à éradiquer le mot "comme" du vocabulaire, on s'entraîne même aussi à éradiquer "qui sont beaux comme tes yeux" des possibles.
-Oui c'est mon côté "lover" un peu niais^^.
-"lascive, calme. Uruz ."
?
-Le jeu de runes a parlé.
-"amie intime je t'aime
frôlons l'infime bohême
j'ai brûlé mes poèmes
c'était tellement idiot
mes derniers mots
pour la Moldau."
L'allitération en m est intéressante, mais trop poussive, et l'assonance en o juste derrière anéantit malheureusement l'effet, trop de o tue le m.
-Le O tue le M: Oh merde.
Bon en fait je suis nul pour l'analyse, mais ce genre de texte est à prendre comme il est, je ne cherche pas la perfection mais poser des sentiments difficiles à expliquer. La perfection des poèmes outre que je suis incapable de l'appliquer, je trouve ça chiant, ça m'énerve de lire un texte comme une litanie du début à la fin pendant une plombe.
"Il n'y a qu'en écrivant qu'on apprend sans cesse à écrire, et si je te dis tout ça, c'est parce qu'avec un peu de recul et du travail, on arrive souvent à faire mieux, je suis sur que tu le peux, il ne tient qu'à toi de le vouloir.
Essaye d'épurer, ne te laisse pas hanter par tous les mots qui déboulent quand une idée ou un sentiment te dévorent, prends le temps de vivre avec ton idée ou ton sentiment, et laisse l'esprit s'y mêler doucement, il fera le tri plus simplement."
Entièrement d'accord avec toi, c'est mon défaut de ne pas travailler plus, mais mon amour du spontané ainsi que le manque de temps me font souvent défaut.
Merci en tout cas de t'être attardé ici.
Epiphyte, tu as du passer du temps à découper mon texte en tranches pour l'analyser et rien que ça, ça a quelque chose d'appréciable; je vais tenter de te répondre...
Le début est simple et il se peut que l'homogénéité des mots ne soit pas parfaite puisque ça faisait longtemps que je n'avais pas écrit.
-"c'est comme ton intimité
sait si bien me dire"
Ca fait quand même faussement simpliste et ça me dérange.
-C'est juste vraiment simpliste comme un retour aux sources, peut-être un peu pathétique à la rigueur.
-"Jouissons discrètement pour entendre nos blessures
Touche ma bouche de tes lèvres et ressent les brûlures
Des non-dits, des esprits qui me hanteront à vie
et bois cette larme qui sort de mon cercueil
Moi je suis reparti incendié mon linceul"
C'est vrai que c'est pas trop mal, ce passage, mais pourquoi ajouter "de tes lèvres" ? C'est tellement un non-sens avec "des non-dits" juste après, et c'est tellement en trop ici, j'ai l'impression...
-Ce n'est pas un non-sens puisque les lèvres sont les siennes et les non-dits sont les miens, il y a aussi le sexe, la mort ici, alors les lèvres, ça peut aussi bien être le baiser de la mort qu'un jeu d'amour... à chacun de voir ce qu'il veut y voir.
-"légers souples comme les blés
qui poussaient autrefois."
Et là, j'ai décroché
-Là je peux te comprendre, c'est peut-être de trop voir hors-sujet.
-"J'écrirai ta voix et j'écrirai tes seins
qui sont beaux comme tes yeux
qui me donnent la main"
Ouh là... Pour les poèmes, même si on veut faire des comparaisons, on s'entraîne à éradiquer le mot "comme" du vocabulaire, on s'entraîne même aussi à éradiquer "qui sont beaux comme tes yeux" des possibles.
-Oui c'est mon côté "lover" un peu niais^^.
-"lascive, calme. Uruz ."
?
-Le jeu de runes a parlé.
-"amie intime je t'aime
frôlons l'infime bohême
j'ai brûlé mes poèmes
c'était tellement idiot
mes derniers mots
pour la Moldau."
L'allitération en m est intéressante, mais trop poussive, et l'assonance en o juste derrière anéantit malheureusement l'effet, trop de o tue le m.
-Le O tue le M: Oh merde.
Bon en fait je suis nul pour l'analyse, mais ce genre de texte est à prendre comme il est, je ne cherche pas la perfection mais poser des sentiments difficiles à expliquer. La perfection des poèmes outre que je suis incapable de l'appliquer, je trouve ça chiant, ça m'énerve de lire un texte comme une litanie du début à la fin pendant une plombe.
"Il n'y a qu'en écrivant qu'on apprend sans cesse à écrire, et si je te dis tout ça, c'est parce qu'avec un peu de recul et du travail, on arrive souvent à faire mieux, je suis sur que tu le peux, il ne tient qu'à toi de le vouloir.
Essaye d'épurer, ne te laisse pas hanter par tous les mots qui déboulent quand une idée ou un sentiment te dévorent, prends le temps de vivre avec ton idée ou ton sentiment, et laisse l'esprit s'y mêler doucement, il fera le tri plus simplement."
Entièrement d'accord avec toi, c'est mon défaut de ne pas travailler plus, mais mon amour du spontané ainsi que le manque de temps me font souvent défaut.
Merci en tout cas de t'être attardé ici.
_________________
le silence se fait entendre
spandrell- MacadAccro
- Messages : 573
Date d'inscription : 14/09/2009
Re: L'amour,la lune et Prague
Un chant d'amour qui admettrait les fausses notes pour toujours donner une chance... Un chant d'espoir surtout donc.
Dam.
Dam.
Re: L'amour,la lune et Prague
Ça fait du bien de te lire Spandrell. Ta plume se fait trop rare et pourtant elle est merveilleuse. Plein de sensibilité, de désir, de timidité, de pensées, d'émotions... Tellement de choses qui font que j'admire ton imagination.
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
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