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Texte supprimé suite à l'eviction du membre

S'abstenir, ou se restreindre ?

Ceux de la restriction la trouvent pire que l'abstinence, et réciproquement.

Mais la surdose, ce n'est pas bien non plus...

Je ne connais pas d'issue.

Ce poème me donne la sensation d'une suite de celui que tu as précédemment publié et dont tu as eu la gentillesse d'offrir quelques explications face à la torture de ceux qui sont dépendants de l'alcool.

Je ne peux pas me mettre à la place de ces gens qui vivent une douleur au quotidien, mais je peux dire que j'en ai parlé et que c'est loinnnnnnnnnnnnn d'être facile d'arrêter sauf si le coeur du problème est brûlé et qu'il laisse place à la sérénité nécessaire pour combattre à fond.

Ton poème est fort sensible
Sylvie

j'ai trouvé ce poème assez moyen, sans grande originalité mais il se tient tout de même

Tu fais bien d'employer le terme "bruler", Sylvie. L'eau, le feu. Le combat contre le feu, qui peut passer par la destruction dans un autre feu.

Des rimes simples qui font leur effet.
Ton poème a du charme.

Je rejoins marc, j'ai eu du mal a trouvé une envolée dans ton poème, oui il se tient je l'ai lu sans problème mais du mal à ressentir des choses.

Merci à tous pour vos coms.

spandrell a écrit: j'ai eu du mal a trouvé une envolée dans ton poème,

Bon, bah....normal. Le "buveur d'eau" est un pauvre oiseau englué dans la douleur du manque. Tu les vois faire des trilles et des vols planés ? Non. Un jour peut-être, un jour...
Pour "ressentir", ben dans un sens, j'en suis contente pour toi. Et cette souffrance bien particulière est difficile à faire passer. Merci d'avoir pris la peine de me lire : ça peut être bassinant pour les autres les poèmes de / sur la désyntox.

Un sujet que je ne saurais aborder, alors je suis heureuse de le voir traité par d'autres plumes. Il parle de vie...un combat de chaque instant ; trouver en soi la paix alors que la joie, la détente étaient si faciles à obtenir avec la béquille de l'alcool !

Ce poème me rejoint moins que d'autres que tu as écrit sur le même thème, mais je me dis que tu n 'écris pas pour nous faire plaisir, tu écris pour TOI, surtout TOI, pour ce que cela te procure...Voilà l,essentiel Babylon5 !

J'aime ces vers :

Hier il a brisé son verre
en mille morceaux
entre les larmes et la colère :
c’était le verre de trop.


Chantal