Je n’ai pas su

Je n’ai pas su

Je n’ai pas su t’entendre
Quand tu me disais "reste"
Je n’ai pas su t’attendre
Espérais - tu un geste ?

Alors, vint le temps…

…de cet amour-là,
Que personne ne sait
Que personne ne voit
Qui bouleverse ma vie
Et joue à faire pleurer

Indifférente aux autres,
C’est toi et pas un autre.
Tu ne seras jamais
L’amant de tous les soirs,
Peu importe, j’ai fini d’y croire

Je tremble mais pas de froid
Quand sur le cadran, ton nom
N’apparaît pas.
J’espère, un peu plus chaque jour,
Ce baiser qui ne sera jamais d’amour.

Tu es mes pleurs, mes heures-douleur,
Mes tendres espoirs, mon dernier miroir.
Tu as détruit mes instants-bonheur

Et de cet amour-là
Je ne guérirai pas.

H.

..mais si, mais si !!

Il faut !

J'aimerais te lire comblée et heureuse , mais tu ne nous donnerais sans doute plus de billets à lire;

J'ai juste accroché à ce passage qui , à la lecture parait un peu cassé:

"Peu importe, j’ai fini d’y croire" ( il manque un truc)

Pour le reste c'est toujours avec plaisir que je te lis.

Sylvie

Ce genre de sentiments trace des sillons douloureux, qui sont aussi profonds qu'inguérissables.
Des mots simples qui m'ont parlé.

Z.

Des sillons profonds, qui me font penser que chaque terre est différente.
Une belle terre que la tienne, une bénédiction pour le jardinier patient et constant.
Je réalise en te lisant que je suis de sable, je m'envole sous la tempête et j'offre au jour nouveau une surface lisse.
Amitiés.
Carmen

Oui Sylvie, il manque l'essentiel : y croire !
(sourire)

A tous, merci

H.

Lalou a écrit:
J'aimerais te lire comblée et heureuse , mais tu ne nous donnerais sans doute plus de billets à lire.

Comme dirait le Joker (wouh ! la référence !) : "Quel pauvre choix de mots !"

Courage et force...

L'amour est un tyran qui n'épargne personne.

Corneille