Il m'est venu en pensée.

L'heure cligne ces aiguilles
La fenêtre ouvre la vue sur les ruelles embellies de brillants,
Les chats fouinent les résidus,
L'espérance est longue, je médite au chœur d'amour d'antan,
Je prie ta présence dans mes nuits.
j'engloutis tes notes de musique,
Les mains tendres effleurent l'opaline et domptent la sombre,
Ta partition trouble la distraction vers la pénombre des songes.
Je souffle, pour ton âme, les cris de mon cœur,
Une confession intime, mon esprit te désir.
La pendule agite les feux de détresses,
Les volets de l'entracte se referment sur les souvenirs,
Les félins dégustent leur festin,
La réalité est jugée, je respire les lugubres ennuis
Je déserte l'espoir de ta venue.
J'opte pour le chandail de mamie et m'étale dans le lit,
La soie rose enlisée au satin noir de mes draps,
La chandelle aromatisée s'éteint, l'ondée frappe ma face.

Pourtant
L'heure cligne ces aiguilles
La fenêtre ouvre la vue sur les ruelles embellies de brillants,
Les chats fouinent les résidus,
ça commençait plutôt bien.

Sérieusement, travaille dans ce sens, oublie tes démons et merveilles.

Nilo, sincère.

Nilo,

Je sais que beaucoup de choses sont à corriger!