L'effet minime

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=2hDPfsnbVUw

Je consomme des croupions nacrés
Je nage dans ta jeune chatte
Car jamais je n'oserais avouer
Mon penchant plus certain pour le poulet
Béant ton sexe de poufiasse
Aussi large qu'une flaque diarrhéique
Je t'encule aussi avec des lombrics
Tant ! qu'ils te rendent la langue opaque
Sur ce muscle puant de fioritures
La merde y fait par cents ses confitures
Mais dans ta maison ce n'est pas l'odeur de la prune
Qui distille dans mon alambic mon besoin d'aimer
De superbes connasses déçues par des badauds
Cherchent ensachées en pétasses encore leur alter ego
Des pisseuses malotrues bullent un balai dans l'cul
Pendant que des salopes imberbes baisent des pédés ratés
Longtemps j'ai regardé, posée sur la cheminée
La poussière plaquée, derrière le verre de son portrait
Longtemps je l'ai cherchée, ma reine, ma mégère
Qu'aussi longtemps je n'ai trouvé, que des factieuses légères

Ca n'engage que moi mais je vais le dire comme je le pense : ça craint.

Nilo, et pourtant pas bégueule.

Pareil a part que j'ai envie d'ajouter que je n'y vois aucun interet..ni littéraire, à peine de la provoc vulgaire et insultante.
mais chacun son trip

Lalou vive la femme

Tu ne dois pas être sur le bon forum.
si encore on pouvait classer ça dans la poésie...
Je n'ai rien contre la vulgarité ni la grossièreté, au contraire, mais là... ça me laisse comme qui dirait une odeur de merde dans les oreilles.

et pourtant elles voulaient un mari ...
pour la petite info je ne suis pas misogyne mais j'espère réaliste en tous cas
et quand à ceux qui parlent de provoc, j'aimerais bien qu'ils me parlent d'amour,
et on verra si ce qu'ils disent n'est pas semblable à ce que j'ai écrit, modestement

P.S

[ commentaire irréfléchi de la part de l'auteur du texte ]

Aussi bien pour la "provoc" à bon compte et bon marché que pour ce qui est de "parler d'amour" tu me sembles être à côté de la plaque.
Nous avons ici, dans ces deux domaines, des auteurs qui t'en remontreraient aisément. Et modestement.
Mais il est vrai que ce sont des auteurs.

Nilo, ... redites-moi des choses tendres...

Nilo a écrit:Aussi bien pour la "provoc" à bon compte et bon marché que pour ce qui est de "parler d'amour" tu me sembles être à côté de la plaque.
Nous avons ici, dans ces deux domaines, des auteurs qui t'en remontreraient aisément. Et modestement.
Mais il est vrai que ce sont des auteurs.

Nilo, ... redites-moi des choses tendres...

La modestie très cher ça commence par ne pas faire des menaces, mais je suppose que vous êtes d'accord ...

Des "menaces" ? Où ça ?
Jusqu'à présent j'avais mis des gants, mais là tu commences à me gonfler.
On en a connus deux ou trois déjà des comme toi sur Macadam. Il n'y sont plus.
Ca c'est une menace.

Nilo, à bon entendeur.

réaliste ? bin dis donc elle est sacrement moche, ta réalité à toi.

Je compatis.

c'est con on m'avait dit qu'ici les com's était constructifs ... manque de pot un artiste, oui c'est comme cela que ça s'appelle et je le regrette, manque de pot donc, un artiste n'a pas besoin des com's des autres pour faire ce qu'il désire faire


Petite parenthèse

Non que je critique l'état de femme, car il est logé au même titre que l'état d'homme, mais ce que je veux dire, c'est que beaucoup de femmes aiment le mensonge, autant que beaucoup d'hommes l'aiment aussi, avec cette particularité que les femmes le cultivent souvent plus que ne le cultivent les hommes.

Il s'agit du sexe de la femme qui la fait culpabiliser sur son état d'être une femme.
Il s'agit de l'héritage de siècles et de siècles de misogynie ambiante, qui a elle aussi conduit les femmes, à cultiver un certain besoin d'affirmation, voire, par refoulement un besoin de supériorité, du à une reconnaissance impossible, selon cette misogynie ambiante, par quelque voie que ce soit, si ce n'est par leur habilité à l'accouplement, seul fait qui les honore conditionnellement ; ceci n'étant pas sans l'idée inconsciente ou consciente, qu'elles doivent passer par l'obligation d'être enceintes pour être des femmes.

En outre, on a jadis pensé que l'hystérie, déficience mentale spécifique des femmes, était liée à leur utérus qui se promenait dans leur sexe, et qui a par la suite donné son nom à l'hystérie. Mais aujourd'hui, l'hystérie pourrait s'expliquer davantage de par ce que je viens de dire sur la condition des femmes.

Et puis pour finir, en ce qui concerne le texte " L'effet minime ", je crois définitivement qu'il faut le prendre comme une caricature de la misogynie, cependant que certaines idées, outre dimension caricaturale, sont subtiles, et peut être détiennent un soupçon de vérité.