Rira bien qui rira le dernier

Ton nom se fait mirage dans ce néant de paroles
L’air et la haine ne se séparent que grâce à eux
L’art se fait lanterne de cette douce farandole
Dans les sous-bois du monde, ton sourire est malicieux

Les oiseaux migrateurs chantent nos secrets inventés
Seules histoires de ces ménestrels de pacotille
Aux alizés se fondent les coups de soleil osés
Et nos rires glorieux face à ces mesquines chenilles

Et l’on nous croit pervers de badiner avec candeur
Dans ce lieu sacré où plume d’ange et larmes sang
Déversent leurs rêves de vie, verbiage de leurres
Nous ne sommes que de pauvres rieurs, oui deux vivants



Cend'

Ah, tu as bien raison, les oiseaux migrateurs sont là pour répandre en tous lieux nos petits secrets...

Belle image.