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amour et liberté d'une flamme blanche
+2
eznogood
marc
6 participants
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
amour et liberté d'une flamme blanche
1
Arrivé en fin de matinée à Perpignan
La liberté, la pointe extrême de la liberté
Ce sera une débâcle !
Mourir dans l’alliage blanc de cette chaleur
Sex-shop : salle de projection. L’ombre m’a suivi dans un petit recoin. Accroupi, je goute sa queue.
Des à-coups brutaux.
Va pour ça !
Il jouis devant moi s’essuie, remonte. Je suis resté un peu dans la pénombre climatisé attendant d’autre intrus dans mon âme.
Et les rues au miracle
Les projections d’amour sur les téléphones
Cigarettes, lèvres !
La chaleur utérine de l’appartement m’oppresse en rentrant
(La maison, le sexe de la femme. C’est tout un !)
Sous l’œil solaire
Et les rivages blancs dans ma mémoire.
Parler
Clignement de paupières
Rire centre Afrique
Possibilités néons
« Personne, je ne suis personne ici, n’importe qui ! »
Et vaincu, attendant l’amour
Un havre librement cauchemardesque
Je me laisse dévorer
A quoi bon….
2
Il me faudra me réveiller
Brule l’âme
En sueur
Ce vertige, ce vertige retenu dans le monde
Cela pourrait s’appeler « amour et liberté d’une flamme blanche »
Sous-titres : « les êtres ne sont que ce qu’ils ont de secret »
Regarde je suis là
Un bonheur par le feu et la soumission
Regarde
L’horizon féminin /s éteindre dans le labyrinthe. Ce qui travaille en moi n’a rien de réel/ d’anciennes mains coupées données comme fleurs/ pénombre climatisé/ les visages limitrophes/ en soirée dans un registre barbare…
La naissance, un passé de révoltes
Ce silence dehors en coupoles bleues, la muraille en dalle lisse de l’hôtel d’en face cachant regard et patience.
Le soir donc
Les sentinelles ont dormies d’un sommeil en coupe grises
3
Pensée à Aude alors que je marchais en ville. Le jour coule doucement. Il y avait une rage en dessous de ma politesse mais cette politesse, mon sourire. « Il a bon cœur » répétait ma mère.
Le monde va-t-il se taire ? C’est l’âme du monde qu’il faut étreindre. Et le visage en dessous.
Berceuse moderne !
Vous voyez bien de quoi il retourne ?
Inutile d’expliquer
Arrivé en fin de matinée à Perpignan
La liberté, la pointe extrême de la liberté
Ce sera une débâcle !
Mourir dans l’alliage blanc de cette chaleur
Sex-shop : salle de projection. L’ombre m’a suivi dans un petit recoin. Accroupi, je goute sa queue.
Des à-coups brutaux.
Va pour ça !
Il jouis devant moi s’essuie, remonte. Je suis resté un peu dans la pénombre climatisé attendant d’autre intrus dans mon âme.
Et les rues au miracle
Les projections d’amour sur les téléphones
Cigarettes, lèvres !
La chaleur utérine de l’appartement m’oppresse en rentrant
(La maison, le sexe de la femme. C’est tout un !)
Sous l’œil solaire
Et les rivages blancs dans ma mémoire.
Parler
Clignement de paupières
Rire centre Afrique
Possibilités néons
« Personne, je ne suis personne ici, n’importe qui ! »
Et vaincu, attendant l’amour
Un havre librement cauchemardesque
Je me laisse dévorer
A quoi bon….
2
Il me faudra me réveiller
Brule l’âme
En sueur
Ce vertige, ce vertige retenu dans le monde
Cela pourrait s’appeler « amour et liberté d’une flamme blanche »
Sous-titres : « les êtres ne sont que ce qu’ils ont de secret »
Regarde je suis là
Un bonheur par le feu et la soumission
Regarde
L’horizon féminin /s éteindre dans le labyrinthe. Ce qui travaille en moi n’a rien de réel/ d’anciennes mains coupées données comme fleurs/ pénombre climatisé/ les visages limitrophes/ en soirée dans un registre barbare…
La naissance, un passé de révoltes
Ce silence dehors en coupoles bleues, la muraille en dalle lisse de l’hôtel d’en face cachant regard et patience.
Le soir donc
Les sentinelles ont dormies d’un sommeil en coupe grises
3
Pensée à Aude alors que je marchais en ville. Le jour coule doucement. Il y avait une rage en dessous de ma politesse mais cette politesse, mon sourire. « Il a bon cœur » répétait ma mère.
Le monde va-t-il se taire ? C’est l’âme du monde qu’il faut étreindre. Et le visage en dessous.
Berceuse moderne !
Vous voyez bien de quoi il retourne ?
Inutile d’expliquer
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: amour et liberté d'une flamme blanche
il y a de bonnes choses pourtant je trouve cela trop facile et racoleur dans l'ensemble
ne m'en veut pas j'exprime juste ma déception et tu n'as pas le droit de gâcher ton talent beaucoup de talent
nous sommes tous d'éternels chercheurs.
" Apprendre à détourner les yeux de soi-même pour voir beaucoup de choses, - cette dureté est nécessaire à tous ceux qui gravissent des montagnes."
Ainsi parlait Zarathoustra (1883-1885)
"J'emporte tout Nietzsche avec moi.
Je reviendrai plus fort ou plus faible, peu importe.
Mais je serai le même. Plus que le même. Mieux que le même.
Un autre que moi. Le même
J'emporte avec moi mon non-savoir. Il me sera plus utile que mon savoir. Il est plus grand car il est plus fort.
Je suis un fou mais je ne le sais pas. Ou plutôt si je le sais. Mieux que les autres."
Bepopalula
ne m'en veut pas j'exprime juste ma déception et tu n'as pas le droit de gâcher ton talent beaucoup de talent
nous sommes tous d'éternels chercheurs.
" Apprendre à détourner les yeux de soi-même pour voir beaucoup de choses, - cette dureté est nécessaire à tous ceux qui gravissent des montagnes."
Ainsi parlait Zarathoustra (1883-1885)
"J'emporte tout Nietzsche avec moi.
Je reviendrai plus fort ou plus faible, peu importe.
Mais je serai le même. Plus que le même. Mieux que le même.
Un autre que moi. Le même
J'emporte avec moi mon non-savoir. Il me sera plus utile que mon savoir. Il est plus grand car il est plus fort.
Je suis un fou mais je ne le sais pas. Ou plutôt si je le sais. Mieux que les autres."
Bepopalula
Re: amour et liberté d'une flamme blanche
Ici je rejoins Ez. Tu cèdes à la facilité, et c'est dommage. Tu as maintes fois su nous dire le même genre de choses mais avec beaucoup plus de classe.
Ce qui fait que j'attendrai la suite de tes envois.
Nilo, liberté de le dire.
Ce qui fait que j'attendrai la suite de tes envois.
Nilo, liberté de le dire.
_________________
... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
Re: amour et liberté d'une flamme blanche
et bien je suis d'accord, un faute de gout d'entée de jeu.
j'avoue être assez navré de ce déballage
j'avoue être assez navré de ce déballage
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: amour et liberté d'une flamme blanche
cher eznogood, tu m’écris cela et surtout cela "tu n'as pas le droit etc...."
si j'ai le droit, devant un feuille blanche, j'ai tout les droits et ce que j'écris a tout les droits sur moi.
le reste n'a aucune importance
si j'ai le droit, devant un feuille blanche, j'ai tout les droits et ce que j'écris a tout les droits sur moi.
le reste n'a aucune importance
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
re
Bien entendu que tu as le droit de tout dire. Si l'on commence à se censurer pour un oui ou pour un non, autant cesser d'écrire. IL est vrai que ça n'est peut-être pas ton poème le plus pertinent mais il y a toujours dans tes textes des fulgurances qui me parlent beaucoup :
Le monde va-t-il se taire ? C’est l’âme du monde qu’il faut étreindre. Et le visage en dessous.
Percutant.
Le monde va-t-il se taire ? C’est l’âme du monde qu’il faut étreindre. Et le visage en dessous.
Percutant.
léo- MacadAccro
- Messages : 1224
Date d'inscription : 25/03/2010
Age : 40
Localisation : Nord
Re: amour et liberté d'une flamme blanche
Ah marc et sa plume sauvage!
On aura beau dire, moi ce sont les écritures folles, parfois trop sauvageonnes ou mal maîtrisées qui m'inspirent le plus, qui me donnent l'élan, l'envie d'écrire. ( surtout que marc a du talent facile)
Oui dans un sens c'est racoleur mais cela semble si sincère que tout ici y est pardonnable.
Combien de fois ne devons-nous pas lisser nos pensées, calibrer nos mots, sous-peser nos dires et contrôler nos gestes? A tel point qu'il ne reste parfois plus que des lambeaux de notre moi véritable.
Moi je dis un grand OUI même si je préfère le raffinement, certes, mais qu'importe, la vérité crue a plus de prix que les diamants *****
On aura beau dire, moi ce sont les écritures folles, parfois trop sauvageonnes ou mal maîtrisées qui m'inspirent le plus, qui me donnent l'élan, l'envie d'écrire. ( surtout que marc a du talent facile)
Oui dans un sens c'est racoleur mais cela semble si sincère que tout ici y est pardonnable.
Combien de fois ne devons-nous pas lisser nos pensées, calibrer nos mots, sous-peser nos dires et contrôler nos gestes? A tel point qu'il ne reste parfois plus que des lambeaux de notre moi véritable.
Moi je dis un grand OUI même si je préfère le raffinement, certes, mais qu'importe, la vérité crue a plus de prix que les diamants *****
Comateen- MacadMalade
- Messages : 370
Date d'inscription : 02/09/2009
Localisation : Au Sud du Nord & au Nord du Sud
Re: amour et liberté d'une flamme blanche
et bien ce texte a plutôt bien vécu, au final...
merci pour vos lectures a tous
merci pour vos lectures a tous
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Macadam :: MacadaTextes :: Poèmes
Page 1 sur 1
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