nota bene

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Lorsque j'ai lu ton poème, je l'ai relu, vu chaque vers pour me mettre en situation direct avec les mots.
Ils ont frappé comme une mort indirecte, comme une solitude aussi mais surtout comme une peur, celle que l'on rencontre face à l'inconnu.

Beaucoup de choses sortent de ce texte et je pense que les interprétations sont divers et qu'il suffit au lecteur de choisir une porte.

Ta façon d'écrire est fascinante.

Ton texte m'a mis mal à l'aise...heureusement que la fin était là.

La posture d’artiste face à un monde mal contenu de violence et de mensonges en tout genre vaut bien quelques sacrifices aussi ‘hypocondriaques’

Dam, lever de rideau.

Ah ! la colère contre le doute, la solitude qui détaille les objets autour de soi... ces cendriers toujours, où l'on mesure le passage vain du temps.
Tout y est. les rares sentinelles de la ville endormie qui la guettent , elle, et peut être quelque chose d'autre, qui sait.

C'est vrai que ton texte a quelque chose d'effrayant.
Mais tant que tu tiens, on peut dire que tout ne va pas si mal.

Les râles et les crachats s’époumonent au détour des mots. L'heure approche, toujours à la même vitesse pour chacun. Il n'y a que quand on entend sonner le glas qu'il est trop tard pour s'en plaindre.

Nilo, par paquets de vingt.

J'y sens presque le tabac, la nuit blanche et l'aurore. Texte au couteau, au burin, d'amertume et de résistance furieuse par les mots. Une voix si entièrement 'vraie', dans ces phrases-viscères, que je la trouve aussi presqu'effrayante !

Z.

Un texte qui a une saveur particulière et un écho animé visuel et sonore : « tu m’as pris toutes mes lampes ! - Mais non voyons... C’est moi ta lumière. »

Dam.