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Macadam :: MacadAdmire :: MacadaThèque
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côté vidéo, rien a dire ou déclarer.
mais les lectures progressent et mes écoutes aussi.
en train de lire Gabriel Matzneff. carnets noirs 2007-2008. si la personne m'apparait au fil de ma lecture comme une somptueuse tête à claques, je ne décroche pas. écriture admirable, tenue.
"la vie passe, l'écriture....elle."
ne jamais confondre l'auteur et son œuvre et cela même si la vie de l'auteur est son œuvre.
plus que quelques pages à lire et je me mets a d'autres carnets de Matzneff.
étant friand des carnets, journaux intimes, je poursuis ma lecture de Imre kertesz: "journal de galère". une vision lucide du monde et non pas seulement au sens des de l'analyse des faits, c'est le talent d'un désespoir pertinent, vécu.
a lire sans modérations.
deux émanations d’œuvres, d'auteurs chez ces deux là. arthur Schopenhaueur pour le premier et kafka pour le second.
quant à mon livre de chevet "jubilatoire": "minima moralia" de théodore Adorno.
côté musique:
- le concert d'Archive au Zénith
- la 7ieme de Beethoven dirigé par Kleiber
et toujours pas trés loin une passion de Bach.
mais les lectures progressent et mes écoutes aussi.
en train de lire Gabriel Matzneff. carnets noirs 2007-2008. si la personne m'apparait au fil de ma lecture comme une somptueuse tête à claques, je ne décroche pas. écriture admirable, tenue.
"la vie passe, l'écriture....elle."
ne jamais confondre l'auteur et son œuvre et cela même si la vie de l'auteur est son œuvre.
plus que quelques pages à lire et je me mets a d'autres carnets de Matzneff.
étant friand des carnets, journaux intimes, je poursuis ma lecture de Imre kertesz: "journal de galère". une vision lucide du monde et non pas seulement au sens des de l'analyse des faits, c'est le talent d'un désespoir pertinent, vécu.
a lire sans modérations.
deux émanations d’œuvres, d'auteurs chez ces deux là. arthur Schopenhaueur pour le premier et kafka pour le second.
quant à mon livre de chevet "jubilatoire": "minima moralia" de théodore Adorno.
côté musique:
- le concert d'Archive au Zénith
- la 7ieme de Beethoven dirigé par Kleiber
et toujours pas trés loin une passion de Bach.
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: post
si dans ses carnets Matzneff nous raconte ses galipettes entre autres choses bien sur, c'est ce qui s'y trouve de plus anecdotiques.
combien d'hommes hypocrites il faut bien le dire calme, un soupir dans l'esprit, les angoisses, colères, doutes de leurs femmes, amantes en leur faisant l'amour.
ainsi, je dirais personnellement mais en m'éloignant du sujet que les bistrots et l'afflux sanguin pénien évitent bon nombres de problèmes. dans ces problèmes je mets presque naturellement la triste colonne des faits divers sordides.
une idée de Brel me passe par la tête. l'homme est celui qui va voir derrière la colline, l'aventurier si vous préférez. la femme rencontré, cette quête picaresque masculine prend fin. Elle le réconforte, l'assouplit et cercle autour de lui le foyer. neuf mois plus tard, elle en pond la légitimité: l'enfant. l'aventurier est alors castré et se métamorphose en père.
la passion, l'amour, les habitudes confortables puis l'habitude et malheureusement la routine.
vous m'excuserez de cette caricature j'espère, assez misogyne il est vrai. pourtant comme toute fable, conte, elle contient sa/une part de vérité.
la solitude n'est pas tenable. les longues journées a ne rien dire, a ne pas parler paraissent parfois comme un rocher de Sisyphe à l'horizontale mené, sans but, ni destination.
alors il me semble plus moral et moins hypocrite les maitresses et les amants plutôt que des rancœurs muettes, sourdes et aveugles.
on peut aisément ne pas "apprécié" les amours, les gouts de Matzneff pour les jeunes filles mais, on ne peut lui reprocher l’hypocrisie dans ce domaine.
l'homme est un aventurier au sens léger du terme et à défaut de découvrir l’Amérique, il visite quelques alcôves et s’amourache du voluptueux .
on pourrait rétorquer: et l'amour, le grand, le beau, le vrai etc et bla-bla
une citation de Platon me semble pertinente à ce sujet: le commencement est comme un dieu qui lorsqu'il se trouve parmi les hommes rend toutes choses plus merveilleuses"
et si l'on veut invoquer ce dieu a nouveau et bien il faut recommencer.
combien d'hommes hypocrites il faut bien le dire calme, un soupir dans l'esprit, les angoisses, colères, doutes de leurs femmes, amantes en leur faisant l'amour.
ainsi, je dirais personnellement mais en m'éloignant du sujet que les bistrots et l'afflux sanguin pénien évitent bon nombres de problèmes. dans ces problèmes je mets presque naturellement la triste colonne des faits divers sordides.
une idée de Brel me passe par la tête. l'homme est celui qui va voir derrière la colline, l'aventurier si vous préférez. la femme rencontré, cette quête picaresque masculine prend fin. Elle le réconforte, l'assouplit et cercle autour de lui le foyer. neuf mois plus tard, elle en pond la légitimité: l'enfant. l'aventurier est alors castré et se métamorphose en père.
la passion, l'amour, les habitudes confortables puis l'habitude et malheureusement la routine.
vous m'excuserez de cette caricature j'espère, assez misogyne il est vrai. pourtant comme toute fable, conte, elle contient sa/une part de vérité.
la solitude n'est pas tenable. les longues journées a ne rien dire, a ne pas parler paraissent parfois comme un rocher de Sisyphe à l'horizontale mené, sans but, ni destination.
alors il me semble plus moral et moins hypocrite les maitresses et les amants plutôt que des rancœurs muettes, sourdes et aveugles.
on peut aisément ne pas "apprécié" les amours, les gouts de Matzneff pour les jeunes filles mais, on ne peut lui reprocher l’hypocrisie dans ce domaine.
l'homme est un aventurier au sens léger du terme et à défaut de découvrir l’Amérique, il visite quelques alcôves et s’amourache du voluptueux .
on pourrait rétorquer: et l'amour, le grand, le beau, le vrai etc et bla-bla
une citation de Platon me semble pertinente à ce sujet: le commencement est comme un dieu qui lorsqu'il se trouve parmi les hommes rend toutes choses plus merveilleuses"
et si l'on veut invoquer ce dieu a nouveau et bien il faut recommencer.
marc- MacadAccro
- Messages : 787
Date d'inscription : 03/09/2009
Re: post
Merci à toi marc de faire vivre ce forum.
Et puis tu as raison
on pourrait rétorquer: et l'amour, le grand, le beau, le vrai etc et bla-bla
on s'en tape de ça. L'important est ce que l'auteur a à dire, qu'il le dise. Et bien !
Et ta conclusion en appel à Platon me convient assez.
Nilo, et s'il le faut je recommencerai.
Et puis tu as raison
on pourrait rétorquer: et l'amour, le grand, le beau, le vrai etc et bla-bla
on s'en tape de ça. L'important est ce que l'auteur a à dire, qu'il le dise. Et bien !
Et ta conclusion en appel à Platon me convient assez.
Nilo, et s'il le faut je recommencerai.
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... Tu lui diras que je m'en fiche. Que je m'en fiche. - Léo Ferré, "La vie d'artiste"
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