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Zonards zéllés
Macadam :: MacadaTextes :: Nouvelles
Page 1 sur 1
Zonards zéllés
Nouvelle en cours d'écriture, je note ici je suis pas sur mon pc, j'essaie de la boucler rapidement (encore une histoire vraie elle est fonky)
histoire seconde, zonards celestes
qui débute sur la fin de la précédente, fin les deux sont mêlées, elle
cherchait un poète et j'ai trouvé une déesse en sabots, bipolaire de
haut niveau ça a envoyé du lourd, déboires judiciaires, drogue, poésie
et piraterie au rv (dailleurs si un ptit malin s'essaie à m'emmerder sur
le plan judiciaire qu'il remballe son idée illico, il aimerait pas
m'avoir sur le dos... rien n'est prouvable, je suis blanc comme neige,
tout comme mon casier, et mes potes n'existent que sur papier en ce qui
nous concerne.)
Devant l'entrée de l'épicerie de nuit Nina s'arrête discuter avec une
démoiselle s'évertuant à taper la manche, une bonne gueularde visiblement. J'en
profite pour m'en rouler une et les laisser discuter. Il ne fallut pas vingt secondes pour que la demoiselle m'interpelle du ton de celle qui compte bien tirer profit d'un flegme affiché.
- hé ! si tu passes à l'épicerie tu peux me prendre une bière ?
- tiens va la choper direct, jte garde le chien j'ai ma clope là.
- ah cool merci.
La demoiselle et Nina filent se réapprovisionner, puis finissent par ressortir.
moi : - tin y caille sa mêre
- oui... en plus j'ai pas de couverture pour ce soir manquerait plus qu'y pleuve
- t'es chiante... viens passe à la maison je te dépanne ça je suis à côté.
- cool! t'es sur ? c'est sympa !
- c'est une couette. qu'une copine m'a laissée par oubli, juste retour des choses.
Approximativement trois minutes plus loin nous arrivosn à l'appartement, le salon est trop sombre les lumières ont sautées la semaine passée. Nous descendons dans ma chambre qui se situe à demi sous le salon, en souplex
- tin c'est classe en plus.
- carrément j'aime bien aussi, mais j'ai pas de quoi payer le loyer ça risque de pas durer.
- ah, c'est dommage.
- ^^ vas y pose toi tu vas pas ressortir du cash avec le froid qui fait, y'a un drap pour que le chien se pose là bas, il a bouffé ?
- heu ouep, merci.
- Tu t'appelles ?
- Sand'.
- Flo enchanté.
je file chercher des verres et désespérer une fois de plus devant le
vide du frigo, les filles se marrent, apparemment elles se connaissent
bien, tant mieux.
Sand : - Vous vous connaissez depuis longtemps ?
- oui, mais on est pas maqués, on se connait depuis quoi, 12 ans,
depuis le collège quoi, pas ici vers nice, nina est arrivée sur toulouse
il y'a peu on s'était pas vus depuis un bail.
- Et tu vas me dire qu'un beau blond comme toi t'es célibataire ?
- Non, je suis amoureux, nuance, mais c'est compliqué, je te ferais lire un
truc après si t'es motivée, tu cernera mieux l'histoire (nda: cf le mail
ci-dessus).
- Nina : ce con a été mon premier amour, quand on avais 12/13 ans, mais il a jamais voulu de moi.
- ouais ouais ouais, j'suis toujours le même petit con que j'ai toujours été.
- enfoiré, tu te souviens y'a même une fois ou on a fini ensemble au lit,
t'as commencé à me caresser et sans rien dire tu t'es tiré dormir sur le
canap! j'en ai chialé et tout je comprenais pas !
- oui j'm'en souviens, désolé j'avais pas envie c'est tout, rien de personnel, c'est moi.
- enfoiré !
- haha ! il est bien le mec que t'as trouvé en arrivant sur toulouse, fais gaffe avec les conneries faut le garder celui là.
- oui je sais, c'est parti pour durer j'espère.
- Y'a deux potes, qui vont passer là d'ici peu normalement, on les attend et on vois si il se passe quelque chose en ville ?
- sand : Ok ! t'habites tout seul ici ?
- nan y'a ma colloc dans sa chambre au fond du couloir, mais on va pas
tarder a splitter ça la fait vriller que je n'ai pas de quoi payer le loyer, on s'engueule non-stop c'est nimporte quoi.
- elle est mignone ?
- elle se défend pas mal
- viens on va la voir tu me la présente !
- haha, elle est hétéro, au grand dam de ces dames, ça lui ferait pourtant pas de mal une nana à l'occasion.
- c'est là bas ?
- en effet.
- coucou ! (en aparté : elle est canon putain)
- en effet.
sand fait son numero, ma colloc fait ce qu'elle peut pour paraitre
sociable, les copines qui déboulent sans prévenir dans sa chambre ça
commence à lui taper sur le système et ça peut se comprendre, la chose
est assez récurrente.
Les conversations se poursuivent, je lui fais lire le début du mail,
elle trouve ça magnifique et semble touchée, xav et groseille débarquent
et on enchaine sur un bon apero. au final on bouge pas et nina propose à
sand de l’héberger pour la soirée. 'Sand qui viens de passer la soirée
à me brancher en long en large et de travers, on a joué autour du fait que j'étais en pleinne periode fleur bleue ce qui se termine sur un léger baiser, très distingué.
- à bientôt ! de toutes façons je zone dans le quartier on va se recroiser
- Avec plaisir, passe à la maison prendre le café
- non, rencard demain matin à 11h au café sur la place où on s'est rencontrés
- demain 11h ? allez c'est vendu
- et pas de lapin je viendrais pas te secouer ici
-
Lendemain, je poireaute vingt minutes à l'attendre devant le café, cette
saloperie m'a foutu un lapin...tant pis je demande au manchard d'à
côté de lui dire de passer à la maison si il la voit passer et file
rentrer au chaud.
Plus tard dans la journée Nina passe à la maison, elles ont fini par
rentrer chez nina après avoir zoné dans les rues un moment, fais pas mal
de conneries, chouré des vélos et les avoir abandonnés, nina ne sachant
pas en faire. puis sur le coup de 6h du mat sand à eu la bonne idée de
vouloir aller rechoper à boire et est sortie de chez nina, depuis plus
de nouvelles et on a sa chienne en pleines chaleurs sur les bras. fonky.
Nina passe faire le tour du quartier prévenir tout le monde qu'on a sa
chienne, sand a été vue complètement bourrée sur la place
y'a une heure ou deux, mais personne ne sait ou elle a fini. y'a plus
qu'a attendre que la demoiselle se manifeste, on est dimanche.
- ça fait quatre jours que je parle de toi, maintenant que je t'ai retrouvé je te garde !
- ah non, nononon c'est moi qui te kidnappe, mais embrasse moi d'abord.
c'est qui ce type ?
le mec avec qui je flirtais avant de te rencontrer, on a même pas couché ensemble mais y me colle
je le dégage ?
non attend laisse moi faire, c'est un ancien légionaire il est pas méchant mais il se laisse pas emmerder
ça change pas grand chose
arrette va pas t'en prendre une t'es à moitié cassé et il fait deux fois ton poids, laisse moi faire
je carressais ses mains l'air pensif
- elles sont moches hein
- moi je les aiment, mais ne piques plus dedans s'il te plait
- d'accord
je restais en retrait et observait sa technique, l'air amusé, et
résistant fortement à mon envie de venir pointer du doigt ses failles et
lui montrer comment passer au niveau supérieur. Elle avait son rôle,
elle était heureuse et belle à voir.
jeu débile, à celui qui ouvrira le plus d'immeubles avant d'arriver à la maison
- Sand sans déconner arrête ! pas dans mon quartier tu vas nous griller !
- Attend, tu vois la lumière là haut ? je te parie je monte et je lui empreinte dix balles
- Et tu lui expliques qu'on vient d'enfoncer son entrée au passage ?
- On parie ?
- tenu
...
- Attrapes la chienne on se tire !!
- Sand...
- Grouille !
résultat des courses, une douzaine d'euros, deux tickets restos, du
blanc, du rouge, des clopes et à manger. comme quoi même sortir le chien
ça peut rapporter. aucun doute cette fille me plait.
sur le chemin elle tape sa raque tous les vingt metres, on s'arrette descendre la biere près d'un parc pour enfants avant d'aller se faire le resto
- de toutes façons vous êtes pas des oiseaux ! vos ancêtres c'étaient des rats ! vous êtes des rats volants !
la conversation se tarrit à mesure que la bouteille se finit et nous finissons à loucher tous deux sur le demi litre de la table d'à côté, amusé l'homme nous interpelle
- Vous en voulez peut être un verre ?
- pardon ? oh ! eh bien avec plaisir !
elle sort cinq minutes, folle de rage et en pleurs, je l'entend chanter
notre chanson en sanglots, en revenant elle me trouve sur google map
regardant le trajet pour aller chez son grand père, elle pose un billet de 10
devant l'ordi et s’assoit.
- j'ai croisé un couple, garde je vais les paumer.
passant les portes de la gare je me suis senti perdu, ruiné, cette ville
je ne la connaissait plus. qu'était elle devenue en quatre ans ?
connaitrais-je encore du monde ? serais-je capable de vriller une ville
là comme ça a blanc ? je n'abordai personne et entrepris d'arpenter le
centre en long en large et en travers, le temps de m’imprégner des lieux
et de cesser de trop penser. et bordel j'avais la dalle, et soif en
plus.
putain c'est pas croyable, ces blaireaux se tapent tous leur speed en
taquet c'est débile. il est pourave y vont se ternir les arteres en 2/2
ces cons.
l'optimisme.. où comment se mettre une flic dans la poche avec un poème et une bonne gueule.
-mais c'est sublime! vous etes le nouveau..
elle retint sa pensée, faut pas déconner elle est en service et son collegue est mort de rire dans la bagnole.
- gardez le il est à vous
- haha non, nonon
- ou affichez le au commissariat, jsuis sur que la femme du commissaire appréciera
- ^^ certainement pas, rangez vos bouteilles et continuez à rester tranquilles comme ça, on tourne pas loin de toute façon
- ciao, au plaisir!
eric : - elle etait magnifique, t'as déjà immaginé te taper une flic, en uniforme ?
- c'est plus l'idée d'effeuiller l'uniforme pour faire se découvrir la femme qui est en dessous qui me titille.
- pourtant le bleu ça rend bien sur une blonde.
histoire seconde, zonards celestes
qui débute sur la fin de la précédente, fin les deux sont mêlées, elle
cherchait un poète et j'ai trouvé une déesse en sabots, bipolaire de
haut niveau ça a envoyé du lourd, déboires judiciaires, drogue, poésie
et piraterie au rv (dailleurs si un ptit malin s'essaie à m'emmerder sur
le plan judiciaire qu'il remballe son idée illico, il aimerait pas
m'avoir sur le dos... rien n'est prouvable, je suis blanc comme neige,
tout comme mon casier, et mes potes n'existent que sur papier en ce qui
nous concerne.)
Devant l'entrée de l'épicerie de nuit Nina s'arrête discuter avec une
démoiselle s'évertuant à taper la manche, une bonne gueularde visiblement. J'en
profite pour m'en rouler une et les laisser discuter. Il ne fallut pas vingt secondes pour que la demoiselle m'interpelle du ton de celle qui compte bien tirer profit d'un flegme affiché.
- hé ! si tu passes à l'épicerie tu peux me prendre une bière ?
- tiens va la choper direct, jte garde le chien j'ai ma clope là.
- ah cool merci.
La demoiselle et Nina filent se réapprovisionner, puis finissent par ressortir.
moi : - tin y caille sa mêre
- oui... en plus j'ai pas de couverture pour ce soir manquerait plus qu'y pleuve
- t'es chiante... viens passe à la maison je te dépanne ça je suis à côté.
- cool! t'es sur ? c'est sympa !
- c'est une couette. qu'une copine m'a laissée par oubli, juste retour des choses.
Approximativement trois minutes plus loin nous arrivosn à l'appartement, le salon est trop sombre les lumières ont sautées la semaine passée. Nous descendons dans ma chambre qui se situe à demi sous le salon, en souplex
- tin c'est classe en plus.
- carrément j'aime bien aussi, mais j'ai pas de quoi payer le loyer ça risque de pas durer.
- ah, c'est dommage.
- ^^ vas y pose toi tu vas pas ressortir du cash avec le froid qui fait, y'a un drap pour que le chien se pose là bas, il a bouffé ?
- heu ouep, merci.
- Tu t'appelles ?
- Sand'.
- Flo enchanté.
je file chercher des verres et désespérer une fois de plus devant le
vide du frigo, les filles se marrent, apparemment elles se connaissent
bien, tant mieux.
Sand : - Vous vous connaissez depuis longtemps ?
- oui, mais on est pas maqués, on se connait depuis quoi, 12 ans,
depuis le collège quoi, pas ici vers nice, nina est arrivée sur toulouse
il y'a peu on s'était pas vus depuis un bail.
- Et tu vas me dire qu'un beau blond comme toi t'es célibataire ?
- Non, je suis amoureux, nuance, mais c'est compliqué, je te ferais lire un
truc après si t'es motivée, tu cernera mieux l'histoire (nda: cf le mail
ci-dessus).
- Nina : ce con a été mon premier amour, quand on avais 12/13 ans, mais il a jamais voulu de moi.
- ouais ouais ouais, j'suis toujours le même petit con que j'ai toujours été.
- enfoiré, tu te souviens y'a même une fois ou on a fini ensemble au lit,
t'as commencé à me caresser et sans rien dire tu t'es tiré dormir sur le
canap! j'en ai chialé et tout je comprenais pas !
- oui j'm'en souviens, désolé j'avais pas envie c'est tout, rien de personnel, c'est moi.
- enfoiré !
- haha ! il est bien le mec que t'as trouvé en arrivant sur toulouse, fais gaffe avec les conneries faut le garder celui là.
- oui je sais, c'est parti pour durer j'espère.
- Y'a deux potes, qui vont passer là d'ici peu normalement, on les attend et on vois si il se passe quelque chose en ville ?
- sand : Ok ! t'habites tout seul ici ?
- nan y'a ma colloc dans sa chambre au fond du couloir, mais on va pas
tarder a splitter ça la fait vriller que je n'ai pas de quoi payer le loyer, on s'engueule non-stop c'est nimporte quoi.
- elle est mignone ?
- elle se défend pas mal
- viens on va la voir tu me la présente !
- haha, elle est hétéro, au grand dam de ces dames, ça lui ferait pourtant pas de mal une nana à l'occasion.
- c'est là bas ?
- en effet.
- coucou ! (en aparté : elle est canon putain)
- en effet.
sand fait son numero, ma colloc fait ce qu'elle peut pour paraitre
sociable, les copines qui déboulent sans prévenir dans sa chambre ça
commence à lui taper sur le système et ça peut se comprendre, la chose
est assez récurrente.
Les conversations se poursuivent, je lui fais lire le début du mail,
elle trouve ça magnifique et semble touchée, xav et groseille débarquent
et on enchaine sur un bon apero. au final on bouge pas et nina propose à
sand de l’héberger pour la soirée. 'Sand qui viens de passer la soirée
à me brancher en long en large et de travers, on a joué autour du fait que j'étais en pleinne periode fleur bleue ce qui se termine sur un léger baiser, très distingué.
- à bientôt ! de toutes façons je zone dans le quartier on va se recroiser
- Avec plaisir, passe à la maison prendre le café
- non, rencard demain matin à 11h au café sur la place où on s'est rencontrés
- demain 11h ? allez c'est vendu
- et pas de lapin je viendrais pas te secouer ici
-
Lendemain, je poireaute vingt minutes à l'attendre devant le café, cette
saloperie m'a foutu un lapin...tant pis je demande au manchard d'à
côté de lui dire de passer à la maison si il la voit passer et file
rentrer au chaud.
Plus tard dans la journée Nina passe à la maison, elles ont fini par
rentrer chez nina après avoir zoné dans les rues un moment, fais pas mal
de conneries, chouré des vélos et les avoir abandonnés, nina ne sachant
pas en faire. puis sur le coup de 6h du mat sand à eu la bonne idée de
vouloir aller rechoper à boire et est sortie de chez nina, depuis plus
de nouvelles et on a sa chienne en pleines chaleurs sur les bras. fonky.
Nina passe faire le tour du quartier prévenir tout le monde qu'on a sa
chienne, sand a été vue complètement bourrée sur la place
y'a une heure ou deux, mais personne ne sait ou elle a fini. y'a plus
qu'a attendre que la demoiselle se manifeste, on est dimanche.
- ça fait quatre jours que je parle de toi, maintenant que je t'ai retrouvé je te garde !
- ah non, nononon c'est moi qui te kidnappe, mais embrasse moi d'abord.
c'est qui ce type ?
le mec avec qui je flirtais avant de te rencontrer, on a même pas couché ensemble mais y me colle
je le dégage ?
non attend laisse moi faire, c'est un ancien légionaire il est pas méchant mais il se laisse pas emmerder
ça change pas grand chose
arrette va pas t'en prendre une t'es à moitié cassé et il fait deux fois ton poids, laisse moi faire
je carressais ses mains l'air pensif
- elles sont moches hein
- moi je les aiment, mais ne piques plus dedans s'il te plait
- d'accord
je restais en retrait et observait sa technique, l'air amusé, et
résistant fortement à mon envie de venir pointer du doigt ses failles et
lui montrer comment passer au niveau supérieur. Elle avait son rôle,
elle était heureuse et belle à voir.
jeu débile, à celui qui ouvrira le plus d'immeubles avant d'arriver à la maison
- Sand sans déconner arrête ! pas dans mon quartier tu vas nous griller !
- Attend, tu vois la lumière là haut ? je te parie je monte et je lui empreinte dix balles
- Et tu lui expliques qu'on vient d'enfoncer son entrée au passage ?
- On parie ?
- tenu
...
- Attrapes la chienne on se tire !!
- Sand...
- Grouille !
résultat des courses, une douzaine d'euros, deux tickets restos, du
blanc, du rouge, des clopes et à manger. comme quoi même sortir le chien
ça peut rapporter. aucun doute cette fille me plait.
sur le chemin elle tape sa raque tous les vingt metres, on s'arrette descendre la biere près d'un parc pour enfants avant d'aller se faire le resto
- de toutes façons vous êtes pas des oiseaux ! vos ancêtres c'étaient des rats ! vous êtes des rats volants !
la conversation se tarrit à mesure que la bouteille se finit et nous finissons à loucher tous deux sur le demi litre de la table d'à côté, amusé l'homme nous interpelle
- Vous en voulez peut être un verre ?
- pardon ? oh ! eh bien avec plaisir !
elle sort cinq minutes, folle de rage et en pleurs, je l'entend chanter
notre chanson en sanglots, en revenant elle me trouve sur google map
regardant le trajet pour aller chez son grand père, elle pose un billet de 10
devant l'ordi et s’assoit.
- j'ai croisé un couple, garde je vais les paumer.
passant les portes de la gare je me suis senti perdu, ruiné, cette ville
je ne la connaissait plus. qu'était elle devenue en quatre ans ?
connaitrais-je encore du monde ? serais-je capable de vriller une ville
là comme ça a blanc ? je n'abordai personne et entrepris d'arpenter le
centre en long en large et en travers, le temps de m’imprégner des lieux
et de cesser de trop penser. et bordel j'avais la dalle, et soif en
plus.
putain c'est pas croyable, ces blaireaux se tapent tous leur speed en
taquet c'est débile. il est pourave y vont se ternir les arteres en 2/2
ces cons.
l'optimisme.. où comment se mettre une flic dans la poche avec un poème et une bonne gueule.
-mais c'est sublime! vous etes le nouveau..
elle retint sa pensée, faut pas déconner elle est en service et son collegue est mort de rire dans la bagnole.
- gardez le il est à vous
- haha non, nonon
- ou affichez le au commissariat, jsuis sur que la femme du commissaire appréciera
- ^^ certainement pas, rangez vos bouteilles et continuez à rester tranquilles comme ça, on tourne pas loin de toute façon
- ciao, au plaisir!
eric : - elle etait magnifique, t'as déjà immaginé te taper une flic, en uniforme ?
- c'est plus l'idée d'effeuiller l'uniforme pour faire se découvrir la femme qui est en dessous qui me titille.
- pourtant le bleu ça rend bien sur une blonde.
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