Attente

Attente

Gris glacis de la brume... au crépuscule sus-
-pendue. les goélands sentinelles guettent
la marée.. Ribambelle plantée sur la tangue
– un promontoire que menace l’éboulement –

L’heure est miroir.. et promesse de remous
La mer sera pleine…....… …la vague arrive !



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Bonjour,

Pour être honnête, je n'ai pas compris ton poème.
Je trouve, cela n'engage que moi, mais je trouve que la coupure des mots casse le rythme.

C'est une chose qui peut arriver qu'on ne parvienne pas à ressentir les images telles que je les ai décrites. Je croyais pourtant être parvenue à trouver mes mots !

Merci de m'avoir lue en tout cas.

Carmen

Je rejoins le précédent lecteur.
De plus, la forme monolithique me semble peu à même de restituer marée et oiseaux.

Etant Bretonne, les monolithe me plaisent bien !

Les sables autour du Mont St Michel étaient comme un miroir... d'où la forme de ce poème, étalée... et il y avait vendredi cette impatience des goélands. Pour moi le mouvement est à l'intérieur de mon monolithe, au-delà du bloc de l'instant présent en apparence statique.

Je veux toujours mettre tant de choses dans un poème !

Merci d'avoir lue même si tu n'es pas rentré dans l'image.

Carmen

Les grèves du Mont, tout en douceur, en pastel... Beauté normande... Loin des monolithes bretons.

Je sais, zénobi...mais si proche malgré tout (dans la continuité de St Broladre qui est bien dans mon département). Il fait parti de mon paysage depuis que je suis toute petite.