Absence présente au quatrième degré

Comateen Ven 24 Aoû - 19:11

Coquelicots bleus
Cliquetis de phalanges
Et ancre violine
Attachée à ton cœur
Et tes cils,
...noirs

Des messages s'entrechoquent
Improbable image, bang cardiaque
Étoile orange,mon ciel liquide
Hirondelle numérique
Tu me manques

Tes mots, Papillon de Nuit
Pour ce chaton au corps ubique
Créent la fusion magnétique
Regard Indigo Indigène posé sur elle
Onde tournoyante,destin frileux

La Seine est agitée mais Paris brille
Moirée de suie et marrée humaine
Je me tais ailleurs
Mon ventricule claque en toi
Je suis encore là

Dam Lun 27 Aoû - 8:29

Ca me parle bien, et l'évocation de Paris puis ce Papillon de nuit, sidérant !
Loin des yeux, loin du cœur, peut-être, mais le rêve résiste encore bien.

Dam.

Carmen P. Mar 28 Aoû - 18:52

Légèreté et palpitations. Des mots qui portent les sentiments jusqu'aux souvenirs les plus ténus mais encore vibrants.

solweig Jeu 30 Aoû - 11:08

Qu'est-ce que j'aime cette sorte de poésie, volatile et très pointue en même temps. Des sentiments profondément ancrés sur ces quelques mots qui semblent faire une petite promenade ! Pourtant ....

Cordialement Solweig

Sylvie Ven 31 Aoû - 7:51

Un texte très fort et qui me parle.

J'aime la légèreté de la lecture
J'aime les sentiments qui se sont introduits dans les vers.

J'ai vraiment aimé ton texte.

Merci de l'avoir partagé.