À quoi le réel. (Marine 3/8)

Peindre le réel et le pendre au fil du temps !

Du fil de l'eau bien au delà des pensées...

J'ai aimé les images qui forment ce voyage cousu main.

Sylvie

Déjà, je vous remercie d'être passées par là, c'est le moins.
Ensuite, tiens, ce poème est l'histoire d'une sculpture jamais commencée, sensée représenter une veuve suicidaire (très belle et très empoitraillée) de marin se noyant dans les flots où son homme lui même fut perdu.
Mes line, du pain sur la planche

J'ai beaucoup apprécié. Moi qui me plains souvent de l'absence de musique, celui-ci en est chargé, au bon sens du terme. Les mots coulent et se répondent en échos, comme une évidence. Après deux relectures je n'ai pas grand-chose à lui reprocher.

Tu me pardonneras, j'espère, de n'avoir posté que sur la troisième partie. J'ai lu les autres, qui m'ont simplement moins séduites.

Z, oyé.

Cette série de Marines me semble bien partie.
Même si, pour ma part, celle-ci mis à part sa musicalité comme le dit Z. me séduit moins. Son côté décousu peut-être mais que je ne saurais lui reprocher compte tenu du thème, l'urgence des cri, la patience des sanglots.

Nilo, à si peu.

Noir c'est noir, mais c'est une bonne manière "noire" de voir les choses ainsi...

Dam, toute couleur

C'est chantant, c'est beau tout simplement...
À la recherche du début !

L’aquarelle affine
L’étincelle halo.

++


Jeoffrey Stiernon