Une image peut en cacher une autre.

Quand même leur ombre ne résonne plus, les bruits nous manquent.

Pourtant je ne me suis pas égarée parmi ces images perdues une derrière l’autre – ton écriture énigmatique nous mène à nos propres réflexions … universelles.
Je me trompe ? (c’est une question aux autres lecteurs !)
Cordialement Solweig

Je reviendrai, Sylvie.

Je suis partagé.
Au parfait et envoûtant "au regard des fumées échappées de l'asile."

succède un vers que je trouve malheureux (oui, je me doute bien que tu souhaitais une rupture, de ton, de rythme, de style, mais quand même, je trouve ce vers bien laid:)
Une auto-psy s'impose à la chose !

Merci à vous pour vos mots.

Il est peut être "laid, voir très laid" ce vers Zenobi mais il a un sens d'où mon choix. et je ne compte ni l'ôter, ni le changer.
Mais j'accepte la remarque d'autant que justement, ce vers, je voulais qu'il soit bien visible et il est puisque tu t'y es arrêté...Victoire donc pour moi

J'aime beaucoup.

C'est toujours aussi spéciale de te lire chère Jonquille
Il me faut plus de temps qu'avant pour capter l'âme de l'artiste ( mea culpa, je ne t'ai plus lue depuis longtemps)
Mais je prends toujours du plaisir à me laisser porter par ton surréalisme.

Bizzzz

Sylvie a écrit:Merci à vous pour vos mots.

Il est peut être "laid, voir très laid" ce vers Zenobi mais il a un sens d'où mon choix. et je ne compte ni l'ôter, ni le changer.
Mais j'accepte la remarque d'autant que justement, ce vers, je voulais qu'il soit bien visible et il est puisque tu t'y es arrêté...Victoire donc pour moi

Je n'escomptais pas te le faire changer.
Je n'exprimais que mon ressenti, rien de plus.

La vue, les bruits et tout disparaît, le soir, pour n'être plus qu'images rémanentes dans le regard du chat. Il en est ainsi de l'agitation du monde. J'ai aimé te suivre dans ce jeu de miroirs et j'aime aussi interroger le regard de mon chat pour m'assurer que tout est "normal" dans le monde où il vit.

"entrelassant" est intéressant, si cela est une volonté

J'ai lu comme on avance dans l'histoire, dans sa propre histoire
avec les brumes qui s'élèvent pour mieux étouffer les cris
que cherche-t-on sinon un peu de lumière ?

Je me suis laissé prendre avec un plaisir non feint.
Surtout à ce magnifique

Il devait être minuit
L'ombre des bruits n'y était plus

Quelle merveille de précision !

Nilo, ombre déportée.