Ana

Ta lèvre douce et Cette pulpe ...

Es-tu lippe ? rebelle ?


ez (petit peuple léger qui se soulève)

Tu vois "EZ" et bien je te remercie pour ton passage sur ma poésie qui ne plait "apparemment" pas!!

Ce poème ne m'est pas tombé du ciel et j'y ai travaillé, crois moi, alors ça fait vraiment plaisir de voir que certains, même si ils sont peu, voir qu'un ( toi) ! à me laisser une petite trace !

Alors je t'en remercie une nouvelle fois et ceci très sincèrement.

Sylvie

oui un bel effet miroir au je de l'être !

B..ez

Perso, ce n'est pas que je n'aime pas Sylvie...pas du tout.
Mon silence est ici le reflet de mon "ignorance" ..tout simplement.
Je l'ai lu et vu plusieurs fois....il ne me laisse pas de marbre, loin de la...mais je ne sais pas si je fais bonne route, si je vais là ou tu veux nous emmener...

Sylvie, on voit très bien le travail que tu fais avec les mots, et comme dit EZ – l’effet miroir. Ta recherche lexique est incroyable… on ne peut pas passer sans sourire, avec admiration.
(les mots se touchent, s’étreignent, se transpercent), lire à haut voix et ne pas que survoler les deux cimes.
Bises Sol

D'abord charnel, puis quelque chose d'humaniste. Je ne sais plus très bien où poser mon regard. Comme le nombril du monde.
Mes line

Si je ne comprends pas, je regarde le travail, l'architecture des mots pendus, ciselés, taillés au burin. Un tableau.
Je prends ce qui est.

IL est encore plus joli ce texte sous la neige.....il tient tout chaud!

Texte intéressant. Je ne suis pas très adepte du "mot-silence", dans le sens où, selon les sensibilités, ça passera ou pour de la facilité ou pour du génie. Et je me situe plutôt dans le premier cas.

Cela dit un texte intéressant.

Z.

séduction éternelle


ez

Se cogner au Mur à Dédé et tomber sur un texte de Sylvie c'est une occasion de plus de se prendre la tête.
Mais c'est bon.

Nilo, même pas mal.

j'admire le travail, même si je peine à entrer dans ton univers ...
vraiment bravo pour cette " ana "
Yzaé, qui progresse de + en +

Irrésistible !

Zlat', heureusement il y a d'autres sensibilités que celles
qui mesurent le génie ou la nullité d'un texte.
Je sais bien moi, que Sylvie écrit dans un lieu qui s'écarte de tels "a priori".
Lire un texte ici c'est peut-être aller à la rencontre.

Ah et puis aussi ce mot-silence [ou ce mot-paroles, je lui préfère
encore ici ce mot-miroir, (l'ambiguïté, le silence renvoie positivement la grille de lecture
du lecteur à lui même comme le fait un mot-savant un mot-jargon, le possible d'un présupposé savoir qui nous place forcément dans une situation difficile, le mot-silence devient vite le mot-travail : que faire avec une perte des sens ? La tentation de colmater
le réservoir... C'est entendu et c'est Chomskien - Choms quoi ? -) ] n'est -il pas au cœur
même de la poésie - surréaliste pour ne citer qu'une école - .

Et je te rejoins : je me suis intéressé au texte aussi :
Au premier coup d'œil, la forme. Puis un monde ensuite.
Et je te remercie pour ton com sur lequel je me suis attardé
et à partir du quel j'ai construit le mien.
On est bien d'accord je suis pas objectif.

++


Jeoffrey Stiernon

C'est beau et simple pour moi. Il n'y a rien entre les lignes, ça me parle directement et c'est plein de sens.

Un coup dans le mur à Dédé, j'aime toujours autant. C'est un vrai bijou celui là.

De ton avis Nicolas et heureuse de te revoir traîner tes guêtres sur le Macadam

En voilà un qui traverse " l'éternité " !

Du Sylvie pur, du Sylvie tellement bon...

J'ai fait le vœu de mettre mon aumône dans la sébile de tous les mendiants que je trouverai sous toutes les portes cochères qui mènent au Petit Etablissement de Crédit que je viens d'ouvrir au profit de ceux qu'en ont pas besoin. En particulier à la Troisième liste que j'vous ai filée.
Juste histoire de pas avoir bossé pour rien à les chercher pasque si j'compte que sur vous j'crains qu'y en ait qu'entendent pas le son de votre obole tombant sans leur coupelle.
Charité bien ordonnée...

Dédé.

Relisez ça.
On ne sait jamais, peut-être que vous allez y prendre le même plaisir que la première fois.
Et pour ceux qui ne l'aurait pas déjà lu, lisez-le. On ne sait jamais, des fois que vous aimiez ça.

Nilo, encore et toujours.